L'Empire des anges

impose le drapeau tricolore comme drapeau de la Seconde République issue de la Révolution de 1848. Dans une harangue à la foule en 1848, le poète défendit le drapeau bleu-blanc-rouge, arguant qu'il « a fait le tour du monde avec la République et l'Empire, alors que le drapeau rouge n'a fait que le tour du Champ-de-Mars dans le sang du peuple ». Oeuvres d'Alphonse de Lamartine Poésie  Méditations poétiques (1820) dont « Le Lac » et « L'Isolement » La Mort de Socrate (1823)

phares Rubens, fleuve d’oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l’on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s’agite sans cesse, Comme l’air dans le ciel et la mer dans la mer ; Léonard de Vinci, miroir profond et sombre, Où des anges charmants, avec un doux souris Tout chargé de mystère, apparaissent à l’ombre Des glaciers et des pins qui ferment leur pays, Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d’un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s’exhale

phares Rubens, fleuve d’oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l’on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s’agite sans cesse, Comme l’air dans le ciel et la mer dans la mer ; Léonard de Vinci, miroir profond et sombre, Où des anges charmants, avec un doux souris Tout chargé de mystère, apparaissent à l’ombre Des glaciers et des pins qui ferment leur pays, Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d’un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s’exhale

phares Rubens, fleuve d’oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l’on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s’agite sans cesse, Comme l’air dans le ciel et la mer dans la mer ; Léonard de Vinci, miroir profond et sombre, Où des anges charmants, avec un doux souris Tout chargé de mystère, apparaissent à l’ombre Des glaciers et des pins qui ferment leur pays, Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d’un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s’exhale

sont d’époque médiévale et ce sont les acteurs les plus riches qui avaient les plus beau costumes, étant donné que c’est eux-mêmes qui les payaient. Le public aimait les effets spéciaux, qui à l’époque s’appelaient des “secrets”. Il y avait des anges qui volaient, les spectateurs voyait la gueule de l’enfer s’ouvrir et se fermait, des apparitions et des disparitions extraordinaires, des lampes de feu, l’ascension du Christ, ou encore de l’eau qui se transforme en vin ou les traits rouge qui apparaissent

PHARES Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer; Léonard de Vinci, miroir profond et sombre, Où des anges charmants, avec un doux souris Tout chargé de mystère, apparaissent à l'ombre Des glaciers et des pins qui ferment leur pays; Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s'exhale

la mentalité ambiante, il pactise avec le siècle, peut en épouser les erreurs, capitule avec élégance. (On peut se demander ce qu'il en aurait été du christianisme si celui-ci avait suivi, dans les premiers siècles de son existence, les idéaux de l'Empire romain finissant.) 2. L'ésotérisme : autrement appelé "gnose" (à ne pas confondre avec "gnosticisme" : dualisme chrétien mêlé de mazdéisme et de philosophies orientales d'origines diverses), ou philosophia perennis (Augustin Steuco, XVI e siècle

étroite proximité étroite avec la frontière mexicaine. Mais Los Angeles est avant tout une métropole qui possède un lien historique fort avec le Mexique. En effet, la Cité des Anges est fondée en 1781 par 42 colons mexicains et 2 colons Espagnols sous le drapeau de l’empire colonial espagnol. Suite à l’indépendance mexicaine de l’empire espagnol, Los Angeles fera partie de la République du Mexique entre 1821 et 1848. Cette période a marqué le développement d’une culture et d’une identité et régionale mexicaine

phares Rubens, fleuve d’oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l’on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s’agite sans cesse, Comme l’air dans le ciel et la mer dans la mer ; Léonard de Vinci, miroir profond et sombre, Où des anges charmants, avec un doux souris Tout chargé de mystère, apparaissent à l’ombre Des glaciers et des pins qui ferment leur pays ; Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d’un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s’exhale

Schiller, et non celui des Grecs ou des classiques français. Il était donc facile de les accuser de manquer de patriotisme, surtout dans les années qui suivirent la victoire Anglos-prussienne de Waterloo sur la garde napoléonienne. La Révolution puis l'Empire avaient balayé le cosmopolitisme du siècle de Montesquieu, de Voltaire, du prince de Ligne. La pensée politique, et même philosophique, de la France était devenue nationale, à droite comme à gauche. Une dizaine d'années devait s'écouler après 1815