L'Aveu

s'étaient enthousiasmés pour le stalinisme « parce qu'il ouvrait des perspectives qui paraissaient formidables. Jusqu'à ce que, peu à peu, on prenne conscience de l'envers du décor. » Yves Montand adhère aussi au projet de L'Aveu, et les financements se débloquent grâce au succès de Z. L'Aveu est sorti après Z, dans une époque assez manichéenne : on lui a reproché d'attaquer la droite, puis la gauche, alors qu'il ne voulait que dénoncer les totalitarismes. Certaines personnes ne lui pardonnèrent pas d'avoir

fonction de révéler l’imprévisible. Quelle portée cette réflexion vous semble-t-elle avoir ? L’art est-il fait d’inattendu ou de prévisible ? Lorsque paraît La Princesse de Clèves, Bussy-Rabutin écrit ainsi à Madame de Sévigné à propos de la scène de l’aveu : « L’auteur, en le faisant, a plus songé à ne pas ressembler aux autres romans qu’à suivre le bon sens. » La valeur de l’imprévisible pourrait ainsi relever d’une certaine esthétique, essentiellement baroque, à laquelle s’opposerait la conception

Britannicus, son ennemi. Néron est perçu comme un homme cruel et Junie elle, comme la victime de toute cette histoire. Dans cette scéne, Néron passe à l'aveu de l'amour qu'il porte à Junie. La scéne 2 de l'acte II suscite plusieurs enjeux et réactions que nous allons étudier. J'ai également cherché pour un plan : I - Le récit d'un coup de foudre * l'aveu * la description de Junie * Néron bouleversé par la vue de Junie II - Un double coup de théâtre * Narcisse : confident et traître * L'étonnement

Nemours : « m'éloigner de la Cour », « je veux éviter les périls », « me retirer de la Cour ». - L'incompréhension de M. de Clèves :qui ne comprend pas pourquoi sa femme, à son âge, veut se retirer, et croit qu'elle cherche à l'éviter : il provoque l'aveu en la pressant de lui répondre. - L'originalité de la conduite de Mme de Clèves (« un aveu que l'on a jamais fait à son mari », « m'en donne la force », « quelque dangereux que soit le parti que je prends », « songez que pour faire ce que je fais »

devant Thésée, et préfère lui avouer sa passion pure pour Aricie en IV-2 ; · Elle prend fin par l'aveu final de Phèdre à Thésée en V-7. · Comme le dit Roland Barthes, un critique littéraire, « Dire ou ne pas dire ? Telle est la question. [...] L'enjeu tragique est ici

C.II. L'aveu de Phèdre fait ressortir sa fureur suite à la réaction d'Hippolyte CONCLUSION • Confirmation : La passion dévorante de l'héroïne envers son beau-fils l'amène vers des souffrances fatales qui nous démontrent que l'être humain peut être victime de ses passions. • Synthèse : C.I. Phèdre est en proie à une passion coupable qu'elle ne peut réprimer et dont l'aveu scelle le destin

aveu de Phèdre au cours d’une tirade en alexandrins s’adressant à Thésée, scène qui constitue le dénouement de la pièce. Lecture de l’extrait I) Un ultime aveu pour dénouer l’intrigue / Ni tout à fait innocente, ni tout à fait coupable A) L’aveu : Phèdre reconnait sa culpabilité  Un aveu qui intervient de manière brutale, dans les trois premiers vers de la tirade, introduit par un alexandrin brisé qui marque l’urgence, renforcée par l’impératif.  Chiasme des adjectifs « chaste et respectueux

Cet aveu est donc nécessaire.PB : en quoi cette scène apparait-elle comme une scène sublime ?1mvmt : 1er paragraphe : l’aveu sublime de la princesse2eme mvmt : 2eme paragraphe : le prince abasourdi3eme mvtm : 3eme paragraphe : du mari aimant au mari jaloux 1er mvmt Femme a l’initiative de la paroleInverse représentation traditionnelle des rapports mari/femme Interjection

cela qu'il est question dans cet extrait. I. Un aveu dramatique 1) Le rôle d'Oenone - Très grande intimité entre Phèdre et Oenone. Oenone est à genoux : « Par vos faibles genoux que je tiens embrassés »  marque de respect. Pour obtenir l'aveu de Phèdre, Oenone utilise : • l'affection : « Madame, au nom des pleurs que pour vous j'ai versés » • le questionnement : « Que faites-vous, madame ? », « Aimez-vous ? » • les ordres (injonctions) : « Délivrez mon esprit de ce funeste doute

dans le but de résoudre des cas typiques (Une femme doit-elle céder à son amant ?) L’amour est un thème central du mouvement précieux. Des problèmes de ce type se retrouvent dans l’ensemble de l’œuvre, de manière plus ou moins explicite. Par exemple, l’aveu que Madame de Clèves fait de son amour pour Monsieur de Nemours à son mari est un cas typique de question précieuse : une femme doit-elle avouer qu’elle a un amant à son mari ? De la même façon, le comportement de Madame de Tournon pose certaines