L’Assaut final

Le rôle des ménages La consommation finale des ménages est le principal emploi des ressources crées par la production. La consommation des ménages est plus stable que les autres emplois (investissements, exportations). En période de crise elle permet d’atténuer la baisse de la croissance. La consommation des ménages dépend des revenus, du pouvoir d’achat, mais aussi de la répartition de ce revenu. Elle dépend en outre de la confiance des ménages, c’est à dire de leur perception de la conjoncture

Chapitre 1 : Consommation et épargne des ménages. La consommation finale (C) des ménages est la principale composante de la demande globale. Si l’on s’en tient à l’économie française, en retenant le cas de la comptabilité nationale, on considère deux agrégats qui sont relatifs à la consommation des ménages : La dépense de consommation finale : elle correspond aux dépenses que les ménages supportent directement. Cet agrégat comprend entre autre les dépenses de santé, d’éducation et de logement

:Accroche            En France, la fin des années 90 est caractérisée par un retour de la croissance économique tirée en                           partie par la consommation. Définitions           Sans autre précision, cette consommation désigne la consommation finale des ménages, c'est-à-dire                           les biens et services utilisés pour la satisfaction immédiate des besoins.                           Le revenu est un terme générique qui regroupe toutes les rémunérations du travail, du capital

la production, la répartition, l'épargne et l'investissement, la consommation est une fonction économique fondamentale qui se définit comme un acte de destruction de biens (ou de services) destiné à satisfaire les besoins. La notion de consommation finale des ménages recouvre deux aspects : -- la consommation dite « marchande » -- il s'agit de la consommation de biens et de services vendus sur un marché. -- la consommation dite « non marchande » qui correspond à ce que l'on appelle « la consommation

montrer qu’il  se partage entre consommation finale et épargne (p. 20 et 21) ;  ‐  d’étudier  l’influence  des  revenus  et  des  prix  sur  la  consommation  finale  et  ce  en  recourant, sans formalisation excessive, aux notions d’élasticité‐revenu et d’élasticité‐prix  (p. 22 à 25) ;  ‐  de  définir  la  notion  de  pouvoir  d’achat,  d’en  spécifier  l’origine  et  de  montrer  que  son  évolution influe sur la structure de la consommation finale des ménages (p. 26 et 27).    Ouverture de chapitre (p

ensuite inutilisable. Pour un ménage, consommer consiste à dépenser son revenu pour acheter des biens, destiné à satisfaire la plupart de leurs besoins. La Comptabilité Nationale distingue une consommation finale et une consommation intermédiaire. La consommation des ménages est une consommation finale car il satisfait directement leurs besoins. Alors que la consommation intermédiaire est utilisé indirectement pour produire un autre bien, en disparaissant dans le processus de production ou en étant incorporé

». Signe des temps! : finalement l'ensemble de la consommation correspond à notre La consommation consommation finale,biens et services marchands, mais aussi à la consommation de services non marchands. Consommation finale effective = consommation finale + consommation de biens publics 2.1 la consommation des ménages en France Le document ci-dessous ne concerne que la consommation finale des ménages Analyse ce document en répondant aux questions: 1) Que signifie 37 en 1960? 2) Peut-on dire que

identique pour chaque type de contrat), la cause subjective étant le mobile ayant poussé les parties à contracter (cause concrète). D’autre part, l’on distingue la cause efficiente de la cause finale du contrat. La cause efficiente est le fait générateur de l’obligation au sens technique, et la cause finale est le but poursuivi par les parties, soit pourquoi les parties ont conclu. Les deux conceptions sont utilisées par la jurisprudence. En l’espèce, la conception objective de la cause fut retenue

préféré à B ⇿ A≻B) * Relation de d’indifférence (A est indifférent à B ⇿ A∽B) * Relation de préférence ou d’indifférence (A est préféré ou indifférent « moins aussi désirer à » à B ⇿ A≿B) | Bien économique C’est un bien de consommation finale : différent du bien libre, ou reproductible. | Bien non durableC’est l’exemple des biens alimentaires. | Bien durableC’est l’exemple des meubles. | Biens substituables C’est lorsque deux biens « pain et riz » sont capables de satisfaire le

l’augmentation du prix se traduira également par l’augmentation de la demande de consommation, ce qui est le cas dans notre analyse. II. Tests économétriques a) Présentation du modèle Ct = β1 + β2Rt + β3Pt + εt Avec : Ct : Dépense de consommation finale des ménages en produits alimentaires à la période t (en millions d’euro constants, année de base nationale). Rt : Revenu national disponible brut à la période t (en millions d’euro constants, année de base nationale). Pt : Prix à la consommation alimentaire