L'Arbre

solidaire de l'arbre moteur, vient frapper et entraîner une douzième roue a ailettes solidaire de l'arbre de la machine réceptrice, il s'ensuit un démarrage progressif et un fonctionnement d'une grande souplesse. [pic] DESCRIPTION: Le coupleur est compensé de deux roues a ailettes identiques placées en vis-à-vis et a faible intervalle, les deux roues sont montées sur roulement et calées l'une sur l'arbre solidaire de l'arbre de moteur, l'autre sur l'arbre solidaire de l'arbre de la machine

Références aux programmes  Découpage en séquences  Pistes pédagogiques  Fiches élèves et compléments  Fiche 1 : Les innovations au cours de l’histoire de la vie (3e / 2de / term. S)  Fiche 2 : Le tri des êtres vivants (6e)  Fiche 3 : Les représentations de l’arbre du vivant (tout niveau)  Fiche 4 : La lignée des primates (1re ES / 1re L / term. S)  Fiche 5 : Les convergences évolutives (3e / 2de)  Fiche 6 : Les groupes naturels d’êtres vivants (6e / 3e / 2de)  Fiche 7 : Une nouvelle espèce décrite (6e / 3e / 2de) 

et que je l’apprécie. Je voudrais en savoir plus sur ce qui vous inspire, d’où viens cette inspiration. Dans vos nouvelles, vous parlez très souvent de l’Algérie. Pourquoi surtout parler de la guerre d’Algérie ? Dans « La fille dans l’arbre », la fille se fait violer par des soldats français, les soldats sont même comparés a des bêtes sauvages. Vous parlez aussi des femmes lors de cette fameuse guerre. « La fille et la photographie », où là vous mélangez très bien les personnages, on

l'organisme: 15 à 25m de hauteur pour un étalement de 10 à15m Port de l'arbre: Feuilles: En forme d'aiguille (taille:10 à18cm),Capte bien le soleil Type de sol: sec Le pin sylvestre: Répartition géographique: Taille de l'organisme: Entre 15 à 40 m environ Port de l'arbre: Feuilles: En forme d'aiguille (taille:10cm), Type de sol: s'adapte a son milieu(sec

fait une pause sur un banc. Pendant ce temps, elles ont été voir un manège en bois et un arbre cerisier japonais avec des branches retombantes. L’arbre leur donnaient envie de se reposer, de s’allonger dessous. A ce moment, elles ont discuté avec un monsieur qui prenait l’arbre en photo. En parlant avec lui, elles ont appris qu’au mois d’avril-mai, l’arbre était en fleurs et que c’était très beau, le plus bel arbre, d’après le Monsieur. Ensuite nous sommes rentrés à l’esat. Un Wallaby

vent "doux". Pour suggérer le paysage, Verlaine ne fait preuve d'aucune volonté descriptive, d'aucune recherche de pittoresque. Il se limite à la mention de quelques éléments isolés comme l'arbre — un aulne — ou l'eau qui ont par ailleurs tous les deux une valeur métaphorique, l'eau est celle des "Regrets" et l'arbre "au tronc plié" est le coeur du poète, ce que dit explicitement le texte aux vers 4 et 5. Les seules notations précises sont celles des couleurs et des sons qui se caractérisent par une

son visage. Désirant profiter des rayons qui perçaient à travers le feuillage épais des arbres, il tourna son beau visage vers la lumière. Lorsque ses yeux émeraude se posèrent sur la rive opposée, il se figea. Elle était là, accroupie au creux de l’arbre, au bord de l’étang. Les yeux dans le vague, elle ne faisait visiblement pas attention à ce qui l’entourait. Sans faire de bruit, il fit demi tour dans l’intention de contourner la rive pour pouvoir l’approcher, sans la faire fuir à nouveau. Sur le

qui médite dans la solitude à Bruxelles avant son transfert à Mons I-La fenêtre Le regard du narrateur bute constamment sur des obstacles, le toit, l'arbre même s'il s'efforce de les contourner en levant les yeux ou en faisant appel à son interprétation " cette rumeur vient de la ville ". L'horizon figé, pris entre des lignes verticales (l'arbre) et horizontales (le toit) suppose un immobilisme forcé du poète. C'est une vision restrictive qui procède par plans successifs et s'accroche aux détails

enthousiasme. Dans le premier poème du livre VII, Victor Hugo se fait prophète. Lux est l’énonciation de cette prophétie et proclame le bonheur. Le premier vers est une reprise et un bilan de cette attente qu’avaient les proscrits. Métaphore de l’arbre du progrès. Les bannis sont morts pour nourrir les siècles à venir. Ces vers annoncent un rayonnement universel, symbole de liberté (qui se réfère au monde entier). Idée d’universalité (« Amérique »), de progrès et de liberté. I- Comment transparaît

carcan court et petit comme un lion et brave dès que sa fille et fillette remet et abandonne rapidement et bientôt sa jupe et cotte en cuir et chagrinLes animaux et bêtes de foret et bois sauvage et rustique s’endorment et s’assoupent contre l’arbre et l’arbuste qui mange et consomme une pomme et fruit au bureau et table blanc et