Kolkhoze

comportement des Allemands qui va être déterminant . En effet, les envahisseurs ont d’abord été accueillis favorablement. On voit en eux des libérateurs, dont on espère des réformes (liberté religieuse, du commerce, dissolution des kolkhozes) mais rien ne vient. L'extermination des communautés juives et le traitement des prisonniers de guerre entraînent une remise en question des paysans soviétiques sur ces « libérateurs ». Ils développent progressivement une haine contre eux. De plus

met en place un plan quinquennal afin de développer la puissance industrielle et il valorise le stakhanovisme. En 1929, il lance la collectivisation pour développer l’agriculture à travers la mise en commun des moyens de production à travers les kolkhozes. Cette politique est un véritable succès pour l’industrie sidérurgique et l’industrie lourde mais l’agriculture reste en source, famine meurtrière, 5 à 6 millions de mort en URSS. Les paysans essaient de s’opposer à cette politique, cachent leur

mettent aux prises Malenkov et Khrouchtchev. Cependant, Khrouchtchev s’imposera davantage en tentant de résoudre un principal problème de l’économie : l’agriculture. C’est alors qu’il fait adopter un substantiel relèvement des prix payés par état aux kolkhozes afin d’éviter un effondrement conséquent de l’agriculture. Ceci va s’accompagner d’un abaissement des taxes sur le produit des ventes au marché libre. L’année suivante, Khrouchtchev fait entériner un vaste projet de mise en valeur des terres vierges

veut faire de l'URSS un pays moderne et industriel, et il engage donc une série de réformes visant à relancer l’économie : étatisation des entreprises de transport, industrielles et commerciales, collectivisation des terres et regroupement dans des kolkhozes. En 1929 un premier plan quinquennal est lancé, établissant ainsi les objectifs de production pour les cinq prochaines années.Mais cette politique, et surtout la collectivisation, se heurte à de fortes résistances de la part des koulaks, les paysans

faire, les démocraties mettent en place des réformes agraires, la confiscation des terres des grands propriétaires et la distribution de parcelles aux paysans pour aboutir au regroupement des parcelles en coopératives d'État comme des sortes de Kolkhozes. Cependant, certains paysans arrivent à garder leurs fermes comme en Pologne où toutes les terres n'ont pas réussi à être collectivisées ce qui ne fut pas le cas en URSS. Les plans quinquennaux favorisent d'abord l'industrie lourde au détriment

à l'étatisation. Cela veut dire qu'elles ne sont plus privées, mais qu'elles appartiennent désormais à l'état. Dans l'agriculture, la collectivistion abolit la propriété privée des terres, qui sont regroupées dans de grandes exploitations, les kolkhozes. L'Etat lance un premier plan quinquennal. II) Le régime totalitaire stalinien. La collectivisation se heurte à de très fortes résistances violemment réprimées sur ordre de Staline. Les paysans dénoncés comme koulaks sont déportés au goulag,

changer d’entreprise et de région. La retraite est fixé à 60 ans pour les hommes et 55 ans pour les femmes. La semaine de travail passe de 48 à 42 heures. Le nombre de logements augmente. La vie quotidienne semble s’améliorer. Dans les campagnes les kolkhozes sont regroupés en unités de production plus vastes. Khrouchtchev lance l’opération des terres vierges du Kazakhstan où 40 millions d’hectares sont défrichées. Les cultures céréalières (blé, mais surtout maïs) sont développées, ainsi que l’élevage

problème de sécurité alimentaire de l’URSS (Union des Républiques socialistes soviétiques).  S’ajoute à ça, l’abolition de la propriété privée, des terres et des moyens de production des  paysans qui sont regroupés dans des fermes d’Etats et des coopératives. (Kolkhozes/  Sovkhozes)   EN 1935, Staline accepte que chaque famille soit proprio d’une terre dont les produits peuvent  être vendus sur les marchés. La moitié des fruits et légumes représentent 25% des récoltes sur  seulement 3% des terres.   Le deuxième axe concerne l’industrie

d'être présents sur d'autres listes). Toutefois leur entrée en politique n'est pas sans risques. Dans ces deux pays, les partis conservateurs (ex-communistes) cherchant à retarder l'intégration en Union européenne, leur ont distribué dans les anciens kolkhozes des terres qui étaient revendiquées par leurs anciens propriétaires, les agriculteurs locaux spoliés par la collectivisation. Les partis rénovateurs pro-européens, favorables à la restitution, soutenaient ces agriculteurs contre les Roms, ce qui

priorités de Staline pour le domaine économique. La planification est jugée nécessaire pour rationaliser et améliorer la production nationale, la collectivisation des terres se manifeste par l'augmentation des fermes collectives et fermes d'Etats, les kolkhozes et les sovkhose. Enfin, l'industrialisation, se voit réserver 80% des investissements pour tenter de combler le retard de l'URSS et afin d'augmenter le nombre d'ouvriers, en effet le nombre d'ouvrier double pendant le premier plan, mais aussi d'augmenter