Klephte

Othman  « Qu'Othman, fils d'Ortogrul, vive en chacun de vous » Mufti  «  Cri de guerre du mufti » Spahis et timariots  Icoglans  Le pacha=le vizir et les imams  « Qu'a-t-il donc le pacha, le vizir des armées » Les klephtes  « Ce n'est point un pacha, c'est un klephte à l'œil noir » Les Djinns Le sultan Achmet Lazzara  « Lazzara » Albaydé  « Depuis qu'Albaydé dans la tombe a fermé / Ses beaux yeux de gazelle » Juana  « A Juana la grenadine, / Qui toujours chante

population exploitent les communautés paysannes avec l’aide des armatoles, la milice grecque. Cette oppression entraine une fuite des paysans qui se réfugient de plus en plus nombreux dans les montagnes de Morée où ils viennent soutenir la rébellion des klephtes, les brigands qui tiennent la montagne et attendent l’heure. Entre les primats et le peuple apparait une classe moyenne de commerçants. Le développement de la marine marchande grecque au cours des guerres napoléoniennes (seuls les marins grecs pouvaient

frein que l’or damasquine ; Jusqu’à cette espagnole, envoi du dey d’Alger, Qui soulève, en dansant son fandango léger, Les plis brodés de sa basquine ! Ce n’est point un pacha, c’est un klephte à l’œil noir Qui l’a prise, et qui n’a rien donné pour l’avoir ; Car la pauvreté l’accompagne ; Un klephte a pour tous bien l’air du ciel, l’eau des puits, Un bon fusil bronzé par la fumée, et puis La liberté sur la montagne/ Victor HUGO Les Orientales (1829) CHANSON D’APRES-MIDI Quoique

classes sociales, des marins grecs aux montagnards qui n'ont pas vraiment été dominés par les turcs ottomans, ils sont bergers mais aussi brigands, et vont nourrir au fond ce sentiment, ils vont constituer la force, les combattant, ils sont appelés les klephtes. Et puis le sentiment va s'étendre également chez les paysans mais aussi dans l'entourage du tsar et c'est dans cet entourage (les aides de camp) qu'on va trouvé Ypsilanti. Ce sont les grecs qui vont mettre l'Europe devant le fait accompli  Les

siècles Dès 1821 et le déclenchement de la guerre d’Indépendance, Athènes fut libérée de l’occupation turque lorsque les troupes s’emparèrent de la forteresse de l’Acropole. En 1826 et 1827, les Turcs assiégèrent l’Acropole, défendue d’abord par le klephte Gouras et Makriyánnis, puis, après la mort de Gouras, par le général français Fabvier. Toutes les tentatives de dégager la ville, menées par Karaïskákis puis, après son décès par l’amiral Cochrane puis le général Church, échouèrent. Les troupes de

personnage qui préfère la liberté. Grande notion du romantisme : on préfère la liberté aux richesses (cf. Hernani en 1830). La dernière strophe est construite sur les oppositions entre le pacha et le klephte : « pauvreté » s’oppose aux richesses énumérées précédemment. De même, les biens du klephte s’opposent aux biens du pacha. Le terme « la liberté » est mis en valeur par le contre-rejet qui invite à faire une pause juste avant le terme « liberté ». De même, finir un vers par « puis » montre

(Pages 198) : Grand chandelier avec plusieurs branches. - Concentriques (Pages 199) : La concentricité est la propriété des objets qui sont concentriques, c'est-à-dire qui partagent le même centre. -Escadre (Pages 206) : Importante force navale. - Klephte (Pages 244) : Bandit de montagnes de Grèce. - Faulx (Pages 245) : Commune Française située dans le département «Meurthe-et-Moselle», en «Loraine». - Vicomte (Pages 401) : Le mot vicomté comporte deux sens : À l'origine, on désignait à l'époque carolingienne

plus de minaret maure, Plus de sérail fleuri, plus d'ardente Gomorrhe Qui jette un reflet rouge au front noir de Babel ! C'est Paris, c'est l'hiver. — À ta chanson confuse Odalisques, émirs, pachas, tout se refuse. Dans ce vaste Paris le klephte est à l'étroit ; Le Nil déborderait ; les roses du Bengale Frissonnent dans ces champs où se tait la cigale ; A ce soleil brumeux les Péris auraient froid. Pleurant ton Orient, alors, muse ingénue, Tu viens à moi, honteuse, et seule, et

certains remontent à la plus haute Antiquité ce qui lui permet d’établir une continuité entre Homère et les rhapsodes contemporains qui habitent des villages occupés par les Ottomans. Le lien entre les deux périodes s’établit autour de la figure du klephte, le brigand grec, qui combat contre l’occupant et pour la liberté. La langue utilisée pour mettre par écrit ces chants, la katharevoussa (la langue pure), facilite l’impression de continuité car elle est épurée des apports turcs. De la tradition à

de la guerre d’Indépendance, Athènes fut libérée de l’occupation turque, mais les Grecs ne s’emparèrent de la forteresse de l’Acropole qu'en juin 1822 après un long siège. En 1826 et 1827, les Turcs assiégèrent l’Acropole, défendue d’abord par le klephte Gouras et Makriyánnis, puis, après la mort de Gouras, par le général français Fabvier. Toutes les tentatives de dégager la ville, menées par Karaïskákis puis, après son décès par l’amiral Cochrane et le général Church, échouèrent. Les troupes de Rachid