Klement Gottwald

adversaires puis opposants. Ce parti régnait, de manière quasi absolue, sur la Tchécoslovaquie communiste de 1948 à 1989. » 1 (Annexe 1) « Cette deuxième - ou troisième - République prend fin avec le coup de Prague le 25 février 1948 quand Klement Gottwald, premier ministre depuis 1946 et chef du parti communiste tchécoslovaque, parvient à s'emparer de tous les pouvoirs. » 2 (Annexe 2) Interprétation : Le parti communiste tchécoslovaque est l'un des partis communistes les plus importants

présidence de Bénès, un libéral. Cependant, de fortes tensions existent entre les démocrates et le parti communiste qui s’affermit avec notamment le support de Staline. Le premier ministre, Klement Gottwald est d’ailleurs lui-même un communiste et est un proche de Moscou. Ainsi, comme le montre l’affiche de propagande, Gottwald est, si l’on veut reprendre les termes de celle-ci, l’ami de Staline. Les deux dirigeant sont représentés regardant dans la même direction, ce que nous pouvons interpréter par le fait

1946, les élections en Tchécoslovaquie donnèrent le parti communiste gagnant à 38 %. Ce parti détenait donc dans le nouveau gouvernement les places les plus importante. En effet, les communistes placèrent des hommes au poste de premier ministre (Klement Gottwald), de ministre de l’Intérieur (Vaclav Nosek) et de ministre de la Défense (Ludvik Svoboda). Même si ce gouvernement à l'air de bien fonctionner, l'annonce du Plan Marshall par les USA vient tout bouleversé. En effet, même si ce plan a été tout

de la République d’avant-guerre, Bénès, a retrouvé le pouvoir et communiste Gottwald est président du conseil. Staline impose le renoncement au plan Marshall et les communistes placent nombre d’entre eux à des postes clés, notamment dans la police. Le 20 février 1948, les ministres libéraux présentent leur démission pour protester contre cette influence grandissante et obtenir un remaniement gouvernemental. Klement Gottwald mobilise alors la classe ouvrière ; il exige de Benes, président de la République

décisions de Moscou qui remplace le gouvernement en place et le remplace en nommant le Gouvernement de Prague incarné par Klement Gottwald en 1948. Ce dernier ne laisse que très peu de pouvoir décisionnel aux différents organismes slovaques: ils peuvent contrôler les affaires d'éducation et l'organisation du système de santé. Le 26 juillet 1948 le pays perd toute trace d'autonomie. Gottwald est entièrement pro URSS, il se méfie des slovaques et tout particulièrement du parti communiste qui résiste comme

mobilisation générale et rejette l'ultimatum allemand. La France et la Grande-Bretagne ayant renoncé à intervenir, la Wehrmacht occupe la région tchécoslovaque des Sudètes (1er-10 octobre 1938). La Tchécoslovaquie pendant la Seconde Guerre mondiale Klement Gottwald, affiche L'occupation allemande des Sudètes est suivie de celle de Těšín et Bohumín par la Pologne (1er octobre 1938), l'arbitrage Ribbentrop-Ciano attribuant à la Hongrie le sud de la Slovaquie (2 novembre 1938). Adolf Hitler achève de morceler

communiste à Prague Après deux semaines de pression soviétique, les communistes tchèques opèrent "le coup de Prague". Cumulant une vague de démissions communistes et le lancement de mouvements de rue et de grèves, les communistes menés par Klement Gottwald parviennent à prendre le contrôle du pays. Le président Edouard Benes, affaibli et isolé, se retire et démissionne, laissant s’installer une démocratie populaire pour éviter la guerre civile. C’est ainsi qu'au cœur de la Guerre froide, le cas

In the aftermath (à la suite de) of World War II, the communists began to lose some of their popularity, and, as the 1948 election approached, their public support began to decline. → The Communist Party of Czechoslavakia's leader was Klement Gottwald, During the winter of 1947-48, in the parliament, tension between the Communists and their opponents led to increasingly bitter conflict. In early February 1948, the Communist minister of the interior, Václav NOSEK, illegally

procès en Tchécoslovaquie »[8] ; l’on fabriqua ainsi de fausses correspondances, des preuves truquées — de rapports douteux, par exemple, entre Slansky et la CIA. Ces preuves, montées de toutes pièces, finirent par faire céder le président tchèque Klement Gottwald qui livra Slansky aux agents de la police politique soviétique, lui qui renâclait d’abord à l’idée de le faire arrêter[9]. Rappelons en outre qu’il fut vrai que la Tchécoslovaquie, plus qu’aucune autre démocratie populaire, était attachée et

l’image (réponse 2) → Après deux semaines de pression soviétique, les communistes tchèques opèrent "le coup de Prague". Cumulant une vague de démissions communistes et le lancement de mouvements de rue et de grèves, les communistes menés par Klement Gottwald parviennent à prendre le contrôle du pays. Le président Edouard Benès, affaibli et isolé, se retire et démissionne, laissant s’installer une démocratie populaire pour éviter la guerre civile. C’est ainsi qu'au cœur de la Guerre froide, le