KGB

l’invitent à Hanoï, pour enquêter sur les bombardements. Il revient, ici, sur son séjour d’étude, aux conditions pour le moins étonnantes : départ précipité de Paris sans visa, transfert par Moscou assuré par deux hommes qui semblent appartenir au KGB, accueil à Hanoi par un militaire vietnamien, puis départ, dans la nuit et sous la pluie, sur le terrain « en jeep soviétique », avec les cartes des zones bombardées, qu’il a durement réussies à se procurer. Yves Lacoste démontre précisément et de manière

restant une zone de tension particulièrement vive. III. DU RETOUR DE LA DETENTE A LA DISSOLUTION DES BLOCS : 1985-1991 1. DE LA DETENTE A L’ENTENTE. A- Un contexte désormais différent Brejnev, mort en 1982, puis Andropov, ex-patron du KGB, puis Tchernenko, mort en mars 1985, ne parviennent pas à résorber la crise du système soviétique. Gorbatchev parvient au pouvoir en 1985: il veut moderniser le pays et tenter de faire face à l'échec économique total de l'économie soviétique, réformer

Staline ; pendant l’insurrection laisse augurer de leur attitude future envers la pologne. Durant les derniers mois de l’année 1944, les communistes se consolident au sein du PKWN ; les fonctionnaires du NKVD (police politique soviétique, ancêtre du KGB) résident dans tout l’appareil politique. Les partis traditionnels, solidement implantés dans les clandestinités en Pologne sont représentés au gouvernement de Londres, ces derniers n’ont pas la moindre intention de jouer un jeu dont les règles ont

soviétique et de la soumission des ses membres il a mis en place un système de contrôle par la terreur. Tout d'abord, il surveille les opposants du régime grâce à la police politique qu'il a lui même créée : le NKVD, remplacé en 1954 par le KGB qui demeura bien après sa mort jusqu'à l'implosion du bloc soviétique en 1991. Staline confère à cette police politique tous les pouvoirs : l’arrestation, le jugement, la condamnation… Anciennement  « Ministère de l’intérieur », le NKVD est devenu

conservateurs. Le pouvoir est sauvé par l’intervention de B. Eltsine. Gorbatchev est donc de plus en plus isolé et affaibli. Le nouvel homme fort de l’URSS est Eltsine. - fort de sa popularité, Eltsine prend des décisions essentielles : le PC est interdit, le KGB est dissous… Le pouvoir échappe à Gorbatchev. Eltsine entérine les indépendances des anciennes Républiques : il crée une nouvelle alliance entre la Russie et les nouveaux Etats : la CEI (accords de Minsk, décembre 1991). - Gorbatchev est donc à la

41-49) Quelles sont les origines du modèle ? - La Propagande (censure) - Le Culte du Chef - Un parti unique (PCUS) - Embrigadement de la jeunesse - Un chef unique - Un état tout puissant - La police politique (NKUD, KGB) - Suppressions des libertés - Suppressions des opposants (Goulag) - Une économie contrôlée (collectivisation, planification) = La Terreur I – L’idéologie marxiste leniste La conquête de la Russie s’est fait par Lénine

les partis communistes étrangers, il est admiré, vénéré, vanté par les poètes, écrivains communistes. 2.2 Une société contrôlée par de puissants moyens policiers Un appareil policier important interdit toute opposition: le NKVD, qui deviendra le KGB en 1954. C’est lui qui organise l’espionnage et le contre-espionnage, la surveillance politique et la répression. La liberté d’expression n’existe pas : les journaux, les revues, la radio, puis la télévision dépendent de l’Etat. Les artistes doivent

tombe près de Rathenow à Brandenburg[73]. En 1970, le KGB doit restituer au gouvernement d’Allemagne de l’Est les lieux qu’il occupe à Brandenburg. Craignant que l’existence de la tombe de Hitler ne soit révélée et que le site ne devienne alors un lieu de pèlerinage néo-nazi, Youri Andropov, chef du KGB, donne son autorisation pour que soient détruits les restes du dictateur et les neuf autres dépouilles[74],[75]. Le 4 avril 1970, une équipe du KGB se charge de la crémation des dix corps, et disperse

la plupart des habitants sont à son service. Enfin, Gazprom dispose de son propre service de sécurité de 50 000 hommes et de blindés légers, qui collabore étroitement avec les services officiels comme le FSB (Federal Security Service, l’héritier du KGB). La stabilité, la puissance, la richesse, la solidité, voilà ce qui est au centre de la vision du monde promue par Gazprom. b) Des ressources considérables Avec environ 20% des réserves mondiales connues, Gazprom dispose donc des plus grandes

dans la décennie 1980, les Berlinois de l’est commence à manifester leur volonté de liberté, et critiquent la censure, la dictature, la baisse du niveau de vie et surtout la surveillance policière de la Stasi (police politique)  Staats Sicherkei = KGB : contrôle de ce qu’ils pensent et des liberté créant des dénonciations et des dilations. Un évènement extérieur à la RDA va radicalement changer la situation Berlinoise : mars 1985: arrivé au pouvoir d’un nouveau dirigeant : Gorbatchev (lorsqu’il