KGB

l’URSS. Applique un socialisme plus proche des idéaux de Staline. Ouvriers contrôlés par le SED. Le parti a tous les pouvoirs. Grève interdite. Juin 1953 : Staline meurt. Ouvriers de Berlin Est se révoltent > veulent des réformes. Le chef du KGB veut donner plus de liberté aux ouvriers. Sévèrement réprimés > intervention des chars soviétiques contre les ouvriers. Plusieurs centaines de morts. SED dirigé par un secrétaire général Allemand : Walter Ulbricht > meurt et est remplacé par

fait couler beaucoup d’encre quand à sa qualification par rapport aux concepts élaborés par les transitologues. En effet, ce régime est qualifié tantôt d’autoritarisme, d’autocratie ou encore de Poutinisme. Dans la même veine, « on pourrait avoir KGB Is Back, Russia Is Back ou Gazprom Forever dans des journaux occidentaux fin 2008. Car, autant qu’elle énerve, la Russie de M. Vladimir Poutine et M. Dimitri Medvedev fascine ». Un certain nombre d’éléments au fil du temps ont forgé une culture politique

Mogilevich (marchand d'armes, blanchisseur d'argent) * Nodar Mikeladze (Escroc, originaire de Tbilissi, Géorgie.) * Michael Cherney (marchand d'armes, trafiquant d'armes, blanchisseur d'argent, accusé de terrorisme) * Viktor Bout (Commandant du KGB converti en marchand d'armes) * Konstantin Golikov (Se cache, probablement mort) * Sergueï Mikhaïlov dit "Mikhas" (Parrain de la plus grande organisation criminelle moscovite) * Evsei Agron dit "Little Don" (tueur) * Ludwig Fainberg dit

[pic]Côté sujets de discussion, il vaut mieux éviter de parler de la politique quand on ne connaît pas bien la personne en face de soi, et imaginer que les Russes ont parfois des points de vue différents du nôtre comme par exemple sur le gaz... Parler du KGB est également un sujet tabou. [pic]Les Russes reprochent parfois aux Français leur mauvais goût. Restez sobre au niveau vestimentaire, avec des couleurs pastelles et peu d'accessoires. [pic]Mieux vaut éviter de serrer la main aux femmes en Russie

colonel du KGB: Vladimir Poutine. C'en est fini des ambitions de Tchernomyrdine, nommé un peu plus tard ambassadeur en Ukraine. Elu président de la Russie en mars 2000, Poutine est déterminé à restaurer ce qu'il appelle " la verticale du pouvoir ", fondée sur une reprise en main autoritaire de tous les pouvoirs. Par sa puissance et les enjeux dont il est porteur, Gazprom constitue bien sûr une cible de choix pour le nouveau maître du Kremlin. Dans un premier temps, l'ancien colonel du KGB évite d'attaquer

Lénine en 1924, il modèle l’URSS, il fait de son pays une grande puissance industrielle. Il met en place un régime totalitaire, il s’entoure de fidèles (qu’il purgera régulièrement). Il crée une police politique, le NKVD qui deviendra par la suite le KGB, qui surveille la population. Cette police s’occupe aussi des Goulags. La répression avant la seconde guerre mondiale est énorme. Il est le grand gagnant de la seconde guerre mondiale. Il devient le modèle communiste parfait dans le monde occidental

soldats. Mais, comme le souligne Raymond Aron, ce contrôle des esprits ne passe pas seulement par la propagande, mais aussi par une terreur de masse auprès de la population. Ainsi, des milices, comme la Waffen-SS allemande, les Squabre italiens et le KGB soviétique, procèdent à des arrestations en masse, voire même à des exécutions, contre les "traîtres" ou les ennemis du régime. Selon les idéologies, ces ennemis varient : ainsi, les premiers "ennemis du Reich" sont les Juifs, les Tziganes, les handicapés

des leaders historiques que sur le plan économique (CAEM ou COMECOM en 1949) que sur le plan militaire (pacte de Varsovie 1955) - Une lutte idéologique : maccarthysme aux USA, propagande antiaméricaine (doc p 113), création de la CIA en 1947 et du KGB en 1954.

totalitaire en URSS ? Doc.1 p.221 + 6 p.229 Khrouchtchev engage officiellement la déstalinisation (tout en la limitant strictement). Ses souvenirs ont été rédigés après sa mise à l’écart par Brejnev, quand il vit sous étroite surveillance du KGB ; Ils sont parus en France l’année de sa mort en 1971 ; Il s’agit d’un témoignage à forte dimension politique, dans lequel il cherche aussi à se justifier (mais quasiment rien sur sa vie privée). Il insiste ici sur la permanence des pratiques politiques

police puissante, la désobéissance devient donc impossible. On peut voir cette utilisation de la contrainte aux totalitarismes dont Hannah Arendt essaye de théoriser suite à leur essor dans la première moitié du XXème siècle. Notamment on peut citer le KGB, la Gestapo, l´Armée Rouge, etc. Par exemple lors de l´insurrection en Budapest, où les citoyens se révèlent contre le régime stalinien d´une façon massive. Cependant ils sont contraints lorsque les chars soviétiques bouleversent cette tentative de