Keynes Néoclassiques Marché Du Travail

(effet de capacité). Les capacités de production sont accrues de façon proportionnelle au niveau de l’investissement si l’on suppose le coefficient de capital (v = K/Y) constant, c’est à dire que les facteurs de production ne sont pas substituables. Keynes avait mis de côté cette caractéristique puisqu’il s’intéresse à une analyse de court terme, donc il considérait le stock de capital comme constant et indépendant de l’investissement de la période. Il y a donc une dissymétrie : du coté de l’offre,

Chapitre 7 : L’approche keynésienne de l’équilibre macroéconomique Introduction • John Maynard Keynes (1883-1946) est le plus connu des économistes • Contestation de l’orthodoxie libérale dominante • Keynes, en tant que témoin de la crise de 1929, réfute le diagnostic et les remèdes des néoclassiques et affirme : • d’une part, qu’il n’existe pas de marché du travail ; • d’autre part, le chômage est principalement involontaire car il reflète l’insuffisance de la demande effective • situation

essentielles 1. Fonction de consommation  et revenu permanent L'apport original de Friedman en ce qui  concerne la fonction de consommation consiste en l'application de la  théorie néoclassique du capital et du  choix entre consommation immédiate et  différée à l'explicitation d'une relation  dans laquelle Keynes s'était contenté de  voir « une loi psychologique fondamentale » : quand le revenu augmente, la consommation augmente aussi,  mais moins que le revenu. Or, les travaux de Kuznets (Prix

économiques Il s’agit dans cette partie de s’intéresser aux façons d’organiser le fonctionnement d’une économie globale. D’un point de vue théorique, on peut distinguer deux modèles : - une économie organisée uniquement par le marché (soumise au jeu de l’offre et de la demande) - une économie administrée (dirigée) par l’ État (notion de planification : tout est calculé, alloué de façon centrale - plan) on tirera profit du tableau comparatif du capitalisme

une fonction croissante du taux d’intérêt. Sur le marché des capitaux, l’épargne des ménages rencontre l’investissement des entreprises. Le taux d’intérêt se fixe sur ce marché, alors que pour les keynésiens le taux d’intérêt se fixe sur le marché de la monnaie (c’est la « révolution keynésienne »). Dans la théorie néoclassique, le calcul économique aide le chef d’entreprise à choisir entre investir dans son entreprise ou placer sur le marché financier puisqu’il peut comparer le coût (taux d’intérêt)

compte la pollution, les catastrophes naturelles (ces dernières peuvent même augmenter le PIB car elles induisent des activités non gratuites de réparation des dommages causés !). Le PIB ne prend pas non plus en compte l’économie souterraine, le travail domestique, le bénévolat. Questions sous-jacentes Le PIB est-il un bon indicateur de développement ? C’est pour toutes ces raisons attenantes au statut imprécis de la croissance et de son instrument de mesure, trop centrée sur la dimension qualitative

classiques et les néoclassiques. Ce modèle n'existe pas indépendamment de l'analyse de Keynes. Keynes ''invente'' la macroéconomie. En revanche, il avait construit un modèle pour démontrer que le chômage était involontaire, l'état devait donc agir pour le résoudre, chez les nouveaux classiques, il est volontaire car ils ont le choix entre le loisir et le travail. Le modèle nouveau classique est un modèle macroéconomique d'auto-ajustement par les marchés. S'il y a du travail, c'est que, selon

monnaie est d'être un moyen d'échange. On a des marché sur lesquels on trouvera des offres et des demandes sur chacun des biens, et de ces demandes, on retire des prix relatifs en fonction de l'abondance de la demande et de l'offre. Et de l'ensemble des fonctions de ces marchés va se dégager un équilibre global de l'économie qui est assuré précisément par les équilibres multiples des différents marchés. La monnaie fait également l'objet d'un marché a part. Il y a bien une offre de monnaie, mais cette

des administrations publiques ont généralement un besoin de financement. 2.1. L’épargne des ménages TP pages 84, 85 Activité 1 L’épargne est l’excédent de revenu par rapport à la dépense de consommation. La définition est la même chez Keynes et dans la comptabilité nationale ce qui montre l’inspiration Keynésienne de la comptabilité nationale. L’épargne nationale est la somme de l’épargne des différents secteurs institutionnels. Cependant on privilégie l’étude de l’épargne des ménages

Chapitre 1.2. Histoire de la pensée économique Modifié le : 21/10/07 Section 1 Le courant fondateur des classiques Section 2 Les grands courants de la pensée économique contemporaine (néoclassique, keynésien, marxiste) Section3 Repérage des orientations théoriques récentes Section 4 Analyse des divergences et des convergences Prolégomènes : quelques définitions de base I. L’économie Économie signifie en grec les règles (nomos) de la maison (oikos). Elle s’intéresse aux