Keynes Néoclassiques Marché Du Travail

LES NEOCLASSIQUES INTRODUCTION théorie prédominante dans les écono capitaliste, fondée 1870’. néoclassiques = MARGINILISTES (raisonnent à la MARGE : théorie différentielle de RICARDO) Utilité marginale : UTILITE de la dernière unité achetée / Productivité marginale : PRODUCTIVITE du dernier salarié embauché Les fondateurs : WALRAS L : Franco-suisse, école de Lausanne (La théorie du modèle général; 1874, son livre « Eléments d’économie politique pur ») ; MARSCHALL A (La théorie des ciseaux)

classes sociales : la bourgeoisie qui détient les moyens de production et les prolétaires qui ne disposent que de leur force de travail, qu’il sont contraints de vendre aux bourgeois. Marx critique fermement le système capitaliste.Pour lui, il entraine l’aliénation des prolétaires c’est à dire leur deshumanisation. De plus les ouvriers sont dépossédés du fruit de leur travail car le patronat leur « volent » une partie de la richesse qu’ils créent, c’est ce qu’on appelle la plus-value. Plus cette plus-value

règle générale, d'être bien payé de son travail. Les économistes classiques se demandaient comment expliquer la croissance. Les néoclassiquesse demandent comment le marché peut-il conduire à l’équilibre économique. Ils se référent par ailleurs à une autre théorie de la valeur abandonnant la théorie de la valeur travail pour adopter la théorie de la valeur utilité. • Les économistes néoclassiques reprennent les idées des classiques comme l’économie de marché, une intervention minimale de l’État

remplace un autre. Les néoclassiques, disent que le chômage est volontaire liés à la hausse de travail. Pour Keynes, cela est faux, car il constate dans les années 30 qu’il Ya des chômeurs qui réclament un travail. Donc pour lui, le chômage n’est pas volontaire, il Ya une rigidité du salaire nominal, une flexibilité du salaire réel W/P. Il va proposer une nouvelle analyse du chômage. La vraie cause du chômage selon Keynes : La logique de l’offre : réduire le coût du travail pour que les entreprises

sciences économiques, celles-ci prenant appui sur des théories économiques, et sur la gestion pour sa mise en pratique. Le terme d'« économie » (economics en anglais), au sens uniquement d'économie politique, a été popularisé par les économistes néoclassiques tel qu'Alfred Marshall. Le mot « économie » devient alors, de façon concise, synonyme de « science économique » et peut être considéré comme substitut de l'expression « économie politique »[]. Cela correspond à l'influence notable des méthodes

la pratique de l’économie appliquée. Acquérir la connaissance à partir de signes observables. Ce diagnostic est nécessairement la définition d’une norme (règle de fonctionnement). Ex : chômage. Première définition : gens qui recherchent un travail. Norme : rarement inférieur à 5%. Avec 95% de personnes employées nous sommes au plein-emploi. Avec 6%, 7% nous ne sommes pas loin du plein-emploi et pourtant ce chiffre fait mal. Si nous considérons que le bon taux de chômage c’est 0% on s’adresse

Première partie : les classiques ; quelle est l’analyse de la croissance et des crises selon les classiques ? Deuxième partie : analyse marxiste de la croissance et des crises. Troisième partie : dynamique de la croissance et des crises chez Keynes, en insistant sur les déterminants financiers de l’accumulation du capital, et de la crise en analysant les logiques spéculatives. Quatrième partie : modèles post-keynesien, analyse financière et analyse de la répartition. PARTIE 1 : LES CLASSIQUES :

Emploi et chômage Définitions : • Courant classique : Adam Smith (1776), il faut laissez faire le marché, il s’autorégule • Le marché : lieu de rencontre de l’offre et de la demande ce qui donne naissance à des flux d’échanges • Taux de salaire : prix du travail sur le marché • Flexibilité : capacité d’une entreprise à adapter sa main d’œuvre à ses besoins • Flexibilité quantitative externe : l’entreprise fait varier les effectifs en fonction de la variation de la production (assouplissement

MALTHUS   (1766-1834)   | | 1817 RICARDO(1772-1823) | | 1874 à 1877WALRAS(1834-1910) | | 1936 KEYNES(1883-1946) | | 1944F.HAYEK(1899-1992)1976M.FRIEDMAN(1912-2006) | Théorie économique   | LES LIBERAUX | Marxiste | Keynésienne | Les écoles | Classique | Néoclassique | | | Les auteurs principaux | Smith :J.R Malthus D. Ricardo Hayek | WalrasM.Friedman | Marx | J.M Keynes Samuelson | Définition | Le courant classique, se développe dans les année 1750, et continue avec

« être sans travail », c’est-à-dire ne pas avoir d’activité, même minimale, pendant la semaine de référence ; « être disponible pour travailler », c’est-à-dire être en mesure d’accepter toute opportunité d’emploi qui se présente dans les quinze jours, sans qu’une tierce obligation soit une entrave au retour à l’activité ; « rechercher activement un emploi, ou en avoir trouvé un qui commence ultérieurement ». En France, le nombre de diplômés formés dans certains domaines