Keynes Et Les Classiques

CLASSIQUES SMITH Adam: (1723-1790) économiste écossais. Pour lui, l’intérêt personnel est le moteur de l’activité économique et la somme de toutes les activités individuelles la source de richesse, mais celles ci sont réparties d’une manière souvent injuste. voir aussi l'analyse de Camille MALTHUS, Thomas Robert : (1766-1834) économiste anglais. Il étudia le rôle de la monnaie, de l’épargne et des investissement. RICARDO David : (1722-1823) économiste anglais. Analyste du capitalisme

La courbe LM 3- L’équilibre de sous emploi 1) L'effet KEYNES a) Un retour automatique à l’équilibre est-il possible ? Revenons à la situation initiale dans laquelle aucune politique n’est menée et où l’on est donc dans un équilibre de sous-emploi. Peut-on imaginer, comme le pensaient les classiques et les néo-classiques, que l’économie puisse revenir d’elle-même au plein emploi, sans aucune intervention ? Pour KEYNES, comme pour les keynésiens orthodoxes, le retour à l'équilibre automatique

de travail émane des salariés tandis que la demande provient des entreprises. Les économistes Classiques considèrent le travail comme n’importe quel marché qu’il étudie à partir d’une analyse micro-économique. La flexibilité du salaire réel conduit les Classiques à qualifié le chômage de volontaire. A l’inverse l’analyse keynésienne connait des différences profondes avec l’analyse classique. Pour Keynes le chômage ne résulte pas de rigidité du salaire à la baisse mais d’une insuffisance de la demande

population ; restituer à la France le transport maritime de ses produits ; développer les colonies et les attacher commercialement à la France… » Le courant physiocratique (1756-1777) pour le « gouvernement de la nature » et contre l’Etat tout puissant (Classiques au sens large) La terre est la mère de tous les biens   A l’amoralisme des mercantilistes qui privilégient la raison d’Etat, ils proposent une philosophie plus humaniste et plus libérale. Ils insistent sur l’importance d’une agriculture créatrice

Chapitre VI : La Consommation. Introduction I- Formes de la consommation II - Analyse théorique de la consommation A - Approche classique et néo-classique. B- Approche Keynésienne (revenu courant) C - les nouvelles théories de la consommation. 1 - J. Dusenberry : la théorie du revenu relatif 2 - T. Brown : effet de cliquet et effet d’hystérésis 3 - Milton Friedmann : la théorie du revenu permanent 4 - Théorie du cycle de vie de Modigliani (1954) III - Les rapports entre la consommation

Chapitre 0 : Histoire de la pensée économique I) La pensée pré-classique A. La genèse de la raison économique : les écrits dit mercantilistes (monnaie, marchands et le Prince) Découverte des Amériques ( pillages or et argent ( arrivée d’or ++ en Europe (dès 1503) Espagne = puissance dominante Les métaux précieux affluent ( montée des prix (grande inflation entre 1475 et 1590) Et la stabilité des salaires nominaux ( baisse salaires réels (-50%) ( révoltes et troubles sociaux Réponse

concentre sur la « rareté ». Pourquoi ? 12 les besoins humains sont illimités Le besoin économique est un manque qui peut être satisfait par l’acquisition ou la consommation de biens et services. Tout le monde éprouve des besoins. John Maynard Keynes dans « essais sur la monnaie et l’économie (1930) » distingue 2 catégories de besoins : ❑ Ceux qui possèdent un caractère absolu (boire et manger par exemple) ❑ Ceux qui ont un caractère relatif, que l’on éprouve au contact des autres, et qui

et la sphère monétaire, deux sphères qui n’ont pas de lien de causalité, mais qui vont s’égaliser. Keynes, quant à lui, va énoncer une fonction de préférence pour la liquidité. Il s’agit d’une fonction de demande de monnaie qui traduit la propension des agents à détenir de la monnaie en fonction de trois motifs (transaction, précaution, spéculation). Contestant les théories quantitativistes, Keynes bâtit une fonction de demande de monnaie qui prend en compte le taux d’intérêt et le revenu permanent

En vous appuyant sur vos supports de CM et de travaux dirigés, faites une analyse transversale de l’ensemble des courants de pensée économique que nous avons étudiés, (Classique, Keynésiens, Monétaristes, Nouveaux classiques) C'est Adam Smith, philosophe et moraliste écossais, qui a publié l'ouvrage qui marqua le véritable commencement de l'économie en tant que science, les Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776). Le thème central de son livre est l'accroissement

même à propos des prix puisqu’en microéconomique on utilisait des prix relatifs (et non exprimés en unités monétaires). Le problème est là: monnaie grande absente de la doctrine classique. Car la philosophie classique est assimilée à la théorie quantitative de la monnaie, très peu d’évolution, à tel point que classiques et néoclassiques s’accordent pour dire que la monnaie est neutre. Sa fonction principale est de faciliter les échanges, elle est l’intermédiaire, mais reste neutre sur ces échanges: