Keynes 30 Glorieuses

Keynesienne : mécanismes du marché ne permettent pas le plein emploi. Il faut que l’Etat intervienne sur la demande ( investissements publics ) : politique de grands travaux. Il faut une couverture sociale ( Etat providence ). Pendant les 30 glorieuses les precepts de Keynes ont ete suivis par de nombreux gouvernements Pensée monétaristes : Pour baisser le chomage il faut plus d’inflation. Indemnisation chomage entraine l’oisiveté et diminue l’offre du travail . Ils considèrent que le salaire minimum

accroissement inégalités entre régions riches et pauvres : Mutations techniques et sociales sans précédents. I. La croissance des 30 glorieuses : (1945-1973) A- Une croissance sans pareille Taux de croissance exceptionnels : ◘ De 1945 à 1973 : Croissance économique miraculeuse après déboires traversés depuis 1880 (dépression de fin du XIXe / Première G.M/ crise années 30/ 2eme GM) PIB : X 3 entre 1950 et 1973. >>> 5% de croissance moyenne annuelle ◘ Exceptionnelle par son ampleur et sa régularité

LE BUDGET ET LES LIMITES DES POLITIQUES BUDGETAIRES Le budget est devenu un instrument de la politique économique sous l’impulsion de Keynes. Il a notamment été utilisé pendant les 30 Glorieuses, avec des résultats indéniables et positifs. Avec la crise de 73-74, suite au 1er choc pétrolier et un déficit qui va augmenter régulièrement (aux alentours de 9% de déficit budgétaire pour 2010), l’utilisation de cet instrument est remise en question notamment par les libéraux.

Les Trente glorieuses 50 – 73 En 1979, Jean Fourastié écrit les Trente Glorieuses ou la révolution invisible de 1946 à 1975. Dans son livre, il conte l’histoire de deux villages Madère et Cessac qui correspondent en réalité à un seul et même village saisi à deux dates différentes 1946 et 1975. En analysant l’évolution du village, il décrit la révolution des « Trente Glorieuses ». (Fait allusion aux trois glorieuses qui ont suivi la révolution de Juillet 1830). Cette évolution peut être étendue

+ de besoins, + de demande. - 1852 : Nouveaux modes de distribution → idée de Boucicaut : le Bon Marché, sur le principe du libre accès à la marchandise, prix plus bas mais bénéfices car plus de quantité vendue. - 1945-1965 : Baby boom, les 30 glorieuses : stimule l’économie → consommation de masse. ∗ Essor de la production, + d’innovations : - Produire + grâce →machines plus rapides - 1870 : Développement de l’électricité → + vite, nouvelle façon de travailler - augmentation de la productivité

document relatif à l’économie selon Keynes. NB - il s’agit essentiellement d’une présentation qui permettra aux étudiants de mieux comprendre l’environnement économique dans lequel nous vivons. Les aspects explicatifs (causes et conséquences) bien que présents ne sont pas développés. Questions: VOUS DEVEZ RÉPONDRE À TOUTES LES QUESTIONS: LES DOSSIERS INCOMPLETS NE SERONT PAS CORRIGÉS. 1 –présentation synthétique du dossier : problématique, idées clé (30 à 40 lignes, /5 pts) 2 – définitions

l’économie par l’économiste britannique Keynes. 3. « L’âge d’or », 1945-1975. « Âge d’or » : rapide hausse des niveaux de vie et consommation de masse, augmentation du pouvoir d’achat. 3ème révolution industrielle : _ Nouvelle énergie : le nucléaire _ Nouveaux secteurs industrielles : industrie de pointe, l’informatique, électronique, aérospatiale. _ Accélération liée à la libéralisation des échanges et à une + forte mondialisation. _ Trente Glorieuses qui profitent aux pays industrialisée

chômeur les autres catégories sont considéré comme des demandeurs d’emploi 2. Les difficultés de mesure du chômage : du chômage au sous-emploi 30 Glorieuses distinction claire entre emploi, chômage et inactivité. MAIS avec la montée du chômage de masse et des la multiplication des situations intermédiaires à la fin des 30 Glorieuses, les limites entre emploi, chômage et inactivité se sont brouillées Création d’un « halo » du chômage * Montée du sous-emploi volontaire et

considèrent néanmoins comme un agent nécessaire au bon fonctionnement et à l’existence d’une économie de marché. Pour Keynes dans les économies contemporaines, la « main invisible » ne permet pas de coordonner l’action des différents agents et un équilibre du « sous-emploi » devenant possible, l’intervention de la « main visible » de l’Etat se justifie. Quoiqu’il en soit, depuis les années 30, libéraux et sociaux-démocrates conviennent de l’impossibilité d’un total laisser-faire de l’économie, de l’intervention

alors qu’en 1996 il était de 3267 euros, si on raisonne à euros constants (on tient compte de l’évolution des prix). Cela veut dire que le pouvoir d’achat a augmenté de 15 % en environ 10 ans. Certes, il augmente moins vite que pendant les Trentes Glorieuses, durant lesquelles c’étaient de l’ordre du 5 % par an alors que de nos jours c’est « seulement » de 2% par an. Les Français continuent de s’enrichir, on semble avoir vaincu la loi de Malthus. En 1925, il fallait 9 h pour un ouvrier pour pouvoir