Keynes 30 Glorieuses

le PIB à prix constants comme indicateur de croissance. A) Depuis 1850 CE est une nouveauté. On retient le PIB, mon la calcule avec : PIB/ habitants et PNB. Pendant une période de croissance, l’économie change un rythme, elle peut fluctuer (30 Glorieuses à +5%), en revanche elle peut ralentir (crise de 1929, de 1973). Ce peut changer en nature : beaucoup de travailleurs, d’équipements, de matières premières, de consommation. Se pose donc le problème de la productivité rapport entre une quantité

début du XX° s. Des années 30 aux années 70 incluses, le courant keynésien devient dominant. A partir des années 80 à 2008, retour aux idées libérales. En 2008/2009, crise économique mondiale. Pour certains elle serait due à des philosophies excessivement libérales sur les marchés financiers. 2009 = retour à Keynes ? II) LE KEYNESIANISME John Maynard Keynes (1883-1946) « Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie » A) Contexte La crise des années 30 • Débute par un krach

Première partie : les classiques ; quelle est l’analyse de la croissance et des crises selon les classiques ? Deuxième partie : analyse marxiste de la croissance et des crises. Troisième partie : dynamique de la croissance et des crises chez Keynes, en insistant sur les déterminants financiers de l’accumulation du capital, et de la crise en analysant les logiques spéculatives. Quatrième partie : modèles post-keynesien, analyse financière et analyse de la répartition. PARTIE 1 : LES CLASSIQUES :

LES 30 GLORIEUSES Introduction : Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les pays industriels d’économie capitaliste, entraînés par les Etats-Unis, connaissent une croissance sans précédent. De 1945 au début des années 1970, c’est le temps des “Trente Glorieuses”. Mais, au cours des années 1970, l’élan semble se briser. Apparemment provoquée par les chocs pétroliers, une longue dépression d’un type inédit plonge le monde dans une phase d’instabilité et de désordre économique dont il n’est

KEYNES SOUS EMPLOI ET DEMANDE Keynes : deb 20ème ,representant de la GB à Bretton Woods.a permi le plein emploi et c↑ éco durant 30 glorieuses. I-Le rôle de la dde A)un rôle moteur 1)présentation Revenu Dde de bien de conso Propension à (=conso) Cons Dde Tx d’interet

L’endettement est d’abord néfaste à une bonne efficacité économique. Les classiques et les néoclassiques considèrent l’endettement comme une source d’appauvrissement. Celui-ci peut néanmoins être favorable au bon développement de l’efficacité. Selon Keynes, l’endettement est source de croissance favorisant ainsi l’épanouissement économique des différents agents. I. L’endettement nuit à l’efficacité économique a. Théorie néoclassique et classique : La Stagflation Pour les néoclassiques

Le Keynésianisme Le Keynésianisme est un courant d’idées inspiré par l’économiste anglais J.M. Keynes, dont le point commun est le rejet du libéralisme économique au profit d’une économie mixte, constituée d’un secteur privé et d’un secteur public, et dont le fonctionnement est régulé conjointement par le marché et par les décisions de l’Etat. Dans ce type de système économique, préconisé par le keynésianisme, l’Etat, respectueux des libertés individuelles joue le rôle de garant de l’intérêt

Déficit, dette… - Courant libéral B/ Et les inégalités persistent - Chômage, précarité - Fracture sociale, exclusion (SDF, RSA, CMU) Intro : - redistribution par l'impôt est efficace sur période des 30 glorieuses car forte croissance - après années 80, en France, modification et remontée des inégalités sociales. Conclusion: la redistribution est efficace en période de croissance car les états a de l'argent et en cas de ralentissement économique -->

politiques contra-cycliques Lors de la crise de 1929, Keynes montre que le marché n'aboutit pas nécessairement à la réalisation de l'équilibre. Autrement dit, le marché seul ne réussit pas à résoudre les problèmes de sous-emploi ; on a donc un déséquilibre durable sur le marché de l'emploi. Keynes montre l'intérêt des politiques contra-cycliques ; ce sont les politiques de stop and go qui ont été menées durant les 30 Glorieuses. En période d'expansion forte, l'Etat mène des politiques

S->K->Y R=C+S et S=R-C (fraction du revenu non consommée) Tous les revenus épargnés sont transformés immédiatement et entièrement en capital. Keynes va remettre en cause cette idée-là. Toute politique en faveur de l’épargne est contre-productive Chez Keynes le capital détermine l’épargne, l’épargne n’est pas une variable déterminante mais déterminée. Chez Keynes c’est la demande (dépense d’investissement) qui créé l’épargne. L’épargne est au cœur de l’argumentation d’Adam Smith et des classiques