Keynes 30 Glorieuses

concentre sur la « rareté ». Pourquoi ? 12 les besoins humains sont illimités Le besoin économique est un manque qui peut être satisfait par l’acquisition ou la consommation de biens et services. Tout le monde éprouve des besoins. John Maynard Keynes dans « essais sur la monnaie et l’économie (1930) » distingue 2 catégories de besoins : ❑ Ceux qui possèdent un caractère absolu (boire et manger par exemple) ❑ Ceux qui ont un caractère relatif, que l’on éprouve au contact des autres, et qui

keynésiens sont donc assurées en même temps grâce à la croissance . En effet, il n’y a pas de conflit autour du partage de la valeur ajoutée : la croissance permet à la fois l'augmentation des profits et des salaires . Cette situation a été celle des 30 Glorieuses : la croissance a été forte sur une longue période du fait de la constitution d’un cercle vertueux . En revanche , dès que la croissance ralentit comme dans les années 80 , les problèmes autour du partage de la valeur ajoutée apparaissent . Tous

cyclique, elle dure environ 25ans, puis elle est brisée par une période de crise (ex : celle de 1929) entrainant la dépression qui conduit les démocraties occidentales à rompent avec le libéralisme et à pratiquer le keynésianisme (de John Maynard Keynes) en faisant intervenir l’Etat dans l’économie. Le keynésianisme consiste à ce que l’Etat doit d’abord s’endetter pour aider financièrement les plus démunis et augmenter les salaires publics et ainsi relancer la consommation, puis l’Etat récupère l’argent

Economie [pic]Smith, Marx, Keynes... racontés par Alain Minc De saint Thomas d'Aquin à Keynes, de Malthus à Hayek, de Smith à Rawls, dans son nouvel essai, « Les prophètes du bonheur » (qui sort chez Grasset le 30 mars), Alain Minc relate l'histoire de la science économique. En exclusivité, Le Point propose trois extraits, illustrant les idées forces de ces penseurs qui ont révolutionné le monde ADAM SMITH : Disparu en 1790, Adam Smith demeure un homme du XVIIIe siècle : il a, en effet, connu

se débarrassant des éléments obsolètes. Les sociétés modernes sont donc fragiles et doivent faire l’objet d’une attention particulière : elles peuvent sombrer (crise de 1929, rappelée par crise des subprimes). Ainsi suite à la grande crise des années 30 et à la 2ème GM, le monde occidental apparaît uni dans la guerre froide, on laisse de côté la lutte des classes au profit de l’Etat-Providence et de l’économie sociale de marché. La révolution financière, la chute du mur de Berlin et les crises des

 Les 30 glorieuses : 
Introduction 
A près 10 ans d'une terrible dépression économique et 6 ans d'un conflit mondial qui a détruit un nombre considérable de richesses, le Monde et en particulier les pays développés ont connu une prospérité économique pendant environ 30 ans de 1945 au début des années 70.
Une prospérité économique sans précédent dans l'histoire économique par sa durée et par son ampleur. Un caractère exceptionnel qui méritait de lui attribuer un nom et c'est l'expression

primaire, et met la répartition secondaire entre parenthèses. Il sous entend que c’est le marché qui va réguler. A partir de 1981 , les socialistes français vont mettre l’accent sur la répartition secondaire. Ils ont une conception proche de celle de Keynes Il faut accorder une priorité aux plus bas salaires, ce qui permet de soutenir la demande et de relancer la croissance, et donc à terme l’emploi. Cette politique économique qui appuie le secondaire cherche à réduire les inégalités, car cette conception

(chômage, inflation, équilibre extérieur) Politiques économiques 2) Les politiques conjoncturelles : 2.1) L’interventionnisme économique (position keynésienne) en économie fermée ; relance et stabilisation : Keynésiens (cf. période des 30 Glorieuses) : possible d’opérer un « réglage fin » de la conjoncture macroéconomique au travers de la politique économique. 2.1.1) La relance budgétaire : politique budgétaire = action des pouvoirs publics sur la conjoncture économique au travers du budget

dont le but est la réduction des variations de l'activité. La politique conjoncturelle relève de cette dernière fonction. L'instabilité cyclique de l'activité, forte avant la Seconde Guerre mondiale, a diminué durant la période qualifiée de Trente Glorieuses et augmenté depuis les années 70. La croissance, la stabilité des prix, le plein emploi et l'équilibre extérieur sont les objectifs du "carré magique". La politique conjoncturelle vise surtout les deux premiers objectifs. Les instruments de la politique

développés ont connu une prospérité économique pendant environ 30 ans de 1945 au début des années 70. Une prospérité économique sans précédent dans l'histoire économique par sa durée et par son ampleur. Un caractère exceptionnel qui méritait de lui attribuer un nom et c'est l'expression de l'économiste français Jean Fourastié que l'Histoire a retenu, les 30 glorieuses (à vous de deviner l'origine de l'expression). Ces 30 glorieuses sont-elles donc si exceptionnelles au point de parler pour certains