Kant Contrainte Legitime

LE TRAVAIL I/ ESSENCE ET FIN DU TRAVAIL : TÂCHE SERVILE OU MOYEN D'ACCOMPLISSEMENT DE SOI ? A/ des contraintes en vue d'une satisfaction vital et hédoniste (morale hédoniste : carpe diem) le premier but du travail est le travail autarcique, il nous faut subvenir à nos besoins vitaux en renonçant à la consommation immédiate, consacrer temps et effort pour une satisfaction à venir Mythe du paradis terrestre, Adam et Eve condamnés à travailler, travail=châtiment division du travail

Immanuel KANT (1724-1804) Kant est considéré comme le fondateur de la philosophie critique ou criticisme (Kritizismus), de la philosophie transcendantale ou du transcendantalisme (Transzendentalphilosophie). Il l’a édifiée en ayant comme objectif de faire de la philosophie une science objective. Enthousiasmé par la réussite des mathématiques (Mathematik) et de la physique (Naturwissenschaft) comme sciences exactes, Kant aimerait imiter cette réussite en métaphysique. Pour cela, il définit d’abord

personne, il s’agit de MA responsabilité. L’éthique se vérifie dans l’action c'est-à-dire qu’elle consiste toujours en une étude de cas (situation déterminée dans laquelle il fait réagir, il se situe par rapport à ce que je peux faire dans des contraintes déterminées, il ne s’agit pas à ce niveau de culpabilité ou de jugement moral. Lorsque l’on parle d’éthique on ne se centre pas sur la règle mais sur la capacité de plus on ne parle pas seulement d’intention mais de l’action effectivement produite

Conscience et savoir En termes plus philosophiques que psychologiques, Hegel affirme qu’elle est identique au savoir, etSchopenhauer qu’elle « consiste dans la connaissance » – cette dernière pouvant être immédiate ou synthétique (comme l’affirmait déjà Kant : le moi résulte de la synthèse de ses représentations). Conscience et activité Chez Bergson, la conscience est toujours sélective, car elle ne considère que ce que demande l’action. De plus, elle « signifie avant tout mémoire », accompagnant nos

responsabilité. • Inné ╪ acquis : Ce qui est inné nous est donné à la naissance (nos potentialités). Ce qui est acquis c’est ce qu’on construit à partir de nos expériences et de la culture (par l’éducation, par exemple). • Obligation ╪ contrainte : Une contrainte est une violence extérieure qui nous est faites. Elle va à l’encontre de notre volonté qui donc s’y oppose. Une obligation est souvent d’ordre moral : c’est la volonté qui lutte avec elle-même (tension interne à nous-mêmes). Par exemple

de la société remettent en cause l’acte même de punir. En effet, comment le maître peut il punir un élève qu’il considère comme son égal ? On assiste a une volonté gouvernementale de rétablir l’autorité mais pas l’autoritarisme sauvage. Comment légitimer l’acte de punir sans remettre en cause la libération des pratiques punitives. La réponse est le droit : « Il faut faire de l’école un territoire de droit commun » Claude Allègre. La réformes des procédures disciplinaires des lycées, collèges signe

juridique ainsi que l’élément de volonté, d’action et de responsabilité politiques, qui confère à la nation sa qualité d’ « être-reconnu » dans le milieu des relations entre Etats souverains. Mais, cela étant posé, se repose le problème de la limite légitime à l’exercice de la souveraineté politique, non plus, cette fois, du point de vue du droit interne, ou jus civitatis, mais du point de vue du droit international, ou jus gentium. Il y a là un problème toujours pendant. Il est vrai que la souveraineté

épistémologique contemporain, pour un auteur comme Jacques Derrida, dans Foi et savoir3 ou Jacques Bouveresse, dans Peut-on ne pas croire ?4 il est question de déterminer si l'on peut se dispenser de croire pour savoir, s'il est légitime de croire au savoir, ou encore s'il est légitime de croire ce que l'on affirme par ailleurs ne pas pouvoir savoir. Pour Patrick Royannais la réponse à cette dernière question est évidente dans le sens large du mot foi : « Croire est défini comme « pratique de la différence

sociaux ne sont pas des choses  critique contre la conception Durkheimienne. Durkheim va postuler l’autonomie des faits sociaux, l’extériorité des faits sociaux vis-à-vis de la conscience individuelle, alors même que ces faits sociaux exercent une contrainte sur la conscience individuelle. Pour lui, le statut épistémologique de la sociologie considéré comme une science vient de là. Le fait observé contamine l’observateur, et de la même manière, l’observateur exerce une influence sur le phénomène observé

tirer parti des circonstances. Il y aussi une tension entre morale et politique du fait que disposer du pouvoir politique, c'est disposer de l'usage de la force publique puisque l'Etat est selon WEBER l'instance qui a le monopole de la violence légitime. III.L'ARTICULATION DE LA MORALE ET DE LA POLITIQUE Pointer l'hétérogénéité des ordres ne signifie pas que la disjonction de la morale et de la politique soit totale. ROUSSEAU : Ceux qui voudront traiter séparément la morale et la politique