Kant Contrainte Legitime

Morale s’opposent-ils ? Intro : Phrase d’accroche : André Comte Sponville nous dit que « La morale n'est légitime qu'à la première personne. La morale ne vaut que pour soi ; pour les autres, la miséricorde et le droit suffisent. » Définition des termes : Droit = ensemble des règles obligatoires qui organisent la vie entre les hommes, susceptibles d’être imposées par la contrainte. Morale = principes de jugement et de conduite qui s’imposent à la conscience individuelle ou collective comme

d'organiser la vie en société et les relations entre les membres qui la composent. La règle de droit a un caractère extérieur, c'est à dire qu'elle ne dépend pas de la volonté de celui qui y est soumis, elle s'impose à chaque membre du corps social. Selon Kant, là est toute la différence entre la règle de droit et la règle morale. Cette dernière est l'ensemble de règles admises par la conscience individuelle, et si la règle de droit est extérieure, la règle morale est, elle, interne. Elle est le produit

gouvernement sont conciliables à travers un gouvernant précis. On pourrait, pour commencer, souligner que les principes qui régissent les sociétés primitives qui sont ordonnées mais sans gouvernement, reposent sur un ordre social sans politique, où des contraintes très fortes maintiennent ensemble des petits groupes et qui perpétuent l'espèce ainsi.Par exemple un chef de groupe se détache pour ordonner le groupe selon des rituels et coutumes selon une hiérarchie, est efficace et écarte ainsi la question

Microsoft Word - Philosophie.docxPhilosophie Emmanuel Kant, « Idée d’une histoire universelle d’un point de vue cosmopolitique (1784) » Questions : - L’homme manque d’avantage dans son environnement, comparé aux animaux qui bénéficient d’avantages importants tel que le long cou de la girafe qui leurs permettent de s’adapter à leur milieu de vie. - La nature a pourvu à l’homme un cerveau et une enveloppe corporelle soit LA RAISON qui leur permettra de construire, inventer, développer

d’élaborer une variante du raisonnement pascalien. Sa démonstration s’appuie sur l’irréfutabilité de l’existence de Dieu. Freud fait remarquer que « les doctrines religieuses sont soustraites aux exigences du rationnel », pour ajouter : « puis-je être contraint de croire à toutes les absurdités ? » Le problème du rapport entre croyance en Dieux et rationalité se trouve ainsi soulevé. Plus précisément : est-il rationnel de croire en Dieux ? Mais que veut dire rationnel ? Au sens strict, le rationnel est

l’opinion ? Lui accorder une légitimité ? Ou encore lui donner raison ? A partir du moment où une opinion énonce vraie n’est t-il pas possible de lui accorder sa légitimité ? Comment une opinion pourrait être légitime s’il devait lui arrivé a la science et l’opinion de la rendre légitime à l’opinion, s’il elles devaient tomber d’accord l’accord ne serait qu’apparent. L’écolier qui affirme que la Terre tourne autour du soleil pck son père lui a dit, dirait peut être vrai mais n’aurait pas raison

Nunc. Cf. sujet Ici et mtn (Epictète, Platon , Bergson) Epictète propose à l’homme les besoins pour réaliser son bonheur = fin suprême de la volonté et de l’action bonne => devient un moyen en vue d’une fin (fait le bien pour être heureux) # de Kant (bien pour la morale) Selon Epictète, être heureux c’st s’épanouir, concrétiser ses virtualités qu’on porte en soi. On le voit aussi chez Spinoza persévérer dans son être « devient ce que tu es ». Le bonheur est ainsi l’affirmation de sa nature, de

la liberté repose à la fois sur le libre arbitre, c'est à dire sur le pouvoir de choisir entre telle ou telle chose sans être déterminé par quoi que ce soit d'extérieur, sur la liberté de spontanéïté qui renvoie à la possibilité d'agir sans être contraint par une force extérieure, et enfin à la liberté du sage, atteinte quand l'individu est libéré de toutes passions et agissant à la lumière de la raison. Au vue de toutes ces différentes possibilités, il semble impossible de ranger au même plan les

Philosophie de l'Education (PUF, Que sais-je ?, ed.1997 pp. 69sais6977) refus radical de toute autorité. Et nous ne pouvons esquiver le problème : l'autorité éducative est-elle légitime? Si oui, comment la fonder? Si non, par quoi remplacer... l'éducation ? Les Figures de l'autorité définissent à partir de ce qui les rend légitimes. La première, la plus rationnelle de toutes, est celle du contrat, où chacune des parties est liée par son propre consentement. C'est l'autorité de la règle sur les joueurs

skip to main | skip to sidebar Normand Baillargeon lundi, octobre 12, 2009 ÉPISTÉMOLOGIE 2: KANT ET AU-DELÀ [Un autre chapitre de mon Introduction à la philosophie en cours de rédaction.Vos suggestions pour l'améliorer sont les bienvenues. Kant n'est pas facile à exposer...] Emmanuel Kant (1724-1804) a été formé dans le cadre de la tradition rationaliste et donc avec une grande confiance en les capacités de la connaissance humaine, une confiance encore accrue par la vaste connaissance qu’il