Justice Sans Balance

prend diverses formes (égalité du service public et de ses usagers 9 mars 1951, l’accès à la fonction publique arrêt 28 mai 1954 Barel, des citoyens devant la justice, charges publiques, concurrence commerciale, devant la loi consacré avec l’arrêt du 7 février 1958 syndicat des propriétaires de forêts de chênes de liège d’Algérie, devant la justice arrêt du 12 octobre 1979 rassemblement des nouveaux avocats de France). La série des arrêts GISTI a fait naitre le contentieux du droit des étrangers a permit

Médicis, seul personnage existant de cette réalisation, posant sur son trône, couronnée et en habit de sacre, le drapé bleu à fleur de lys tenu par une parure de pierres précieuses, le sein droit dénudé tenant dans ses mains la balance à sa droite et la main de justice de Saint Louis empoignée dans sa main gauche qui repose sur une sphère fleurdelisée soutenue par un petit amour. La régente est ici entourée de toute part par des personnages mythiques ou allégoriques, habillés à la manière des anciens

interactions entre le législatif/exécutif. -Séparation rigide des pvs :  Aucun pouvoir ne peut empiéter sur l'autre afin de protéger le pouvoir législatif (Congrès) du pouvoir exécutif (président), pour le modèle américain par exemple. -Balance des pvs : La balance des pouvoirs consiste à partager le pouvoir législatif entre plusieurs organes hiérarchisés qui se font contrepoids. -Tyrannie : Pouvoir absolu exercé par un tyran. -Régime présidentiel : Régime politique fondé sur le principe de la séparation

douane visant à limiter les importations. -  Les lois somptuaires : véritable ingérence dans la vie privée. Elles avaient pour but de limiter les dépenses personnelles afin d’éviter l’importation de produits de luxes risquant de déséquilibrer la balance commerciale -  La réglementation : les lois doivent fixer les normes de fabrication très strictes pour protéger les industries nationales de la concurrence 
En parallèle, l’intervention doit aussi porter sur la fiscalité : l’Etat doit protéger les

stricte. - Antiphrase, procédé ironique : « il faudrait demander à Dieu, si on osait lui demander quelque chose » ; or les prières sont des requêtes à Dieu ; ironie qui rappelle Voltaire, amant de l’auteur. - Champ lexical de la justice : « bien » ; « mal » ; « balance ». B. L’émancipation des esprits - La nécessité de penser par soi-même au premier plan : « Il faut commencer par » - L’essentiel est de : « se bien dire à soi-même et par se bien convaincre » = pléonasme, insistance. - Mme

se sent en sécurité, le droit permet donc à l'Homme de s'épanouir c'est pour cela que le droit est le pillier de la société. Le maître mot pour les grecs est l'harmonie : des rapports réglés et sereins. La justice met de l'harmonie car il instaure une juste rétribution à chacun ( symbole : balance => équilibre et bonne organisation ). A l'inverse il y a les barbares : tous ceux qui n'ont pas la culture du droit dans la société. D'après les grecs toutes les sociétés à part la leur n 'était gouvernées

relations de la justice et de la vengeance ? I. Justice et vengeance se distinguent 1) Justice et vengeance : différentes par nature a. Justice = loi universelle / Vengeance = désir personnel Nous rencontrons d’emblée une opposition entre Justice et vengeance : en effet, la justice se présente comme une puissance impartiale, universelle et juridique, alors que la vengeance est une puissance personnelle, subjective et qui relève de la passion. Tandis que la justice est loi, la vengeance

Ce passage de l’état de nature à l’état civil produit dans l’homme un changement très remarquable, en substituant dans sa conduite la justice à l’instinct, et donnant à ses actions la moralité qui leur manquait auparavant. C’est alors seulement que la voix du devoir, succédant à l’impulsion physique et le droit à l’appétit, l’homme, qui jusque-là n’avait regardé que lui-même, se voit forcé d’agir sur d’autres principes, et de consulter sa raison avant d’écouter ses penchants. Quoiqu’il se prive dans

La Justice et la Loi! Introduction : 
 ! 
 Ces deux notions définissent la manière dont l’ordre social humain est régit par opposition à la nature qui ignore la notion de justice et de droit. Cela signifie que les hommes ont la possibilité de déterminer de quelle manière il s’organise afin de vivre ensemble. La loi correspond à la règle (ou aux règles) une communauté humaine décide d’appliquer en son sein la justice est alors l’institution qui veille au respect de la loi par prévention des

production, valeur ajoutée, répartition primaire des revenus, consommation, épargne, investissement, productivité, importations et exportations) - une représentation synthétique de l'activité économique : la comptabilité nationale (les ratios, la balance commerciale, l'équilibre emploi/ressources, …), - le financement de l'économie (la monnaie, ses formes et fonctions, épargne, capacité et besoin de financement, taux d'intérêt, intermédiaires financiers, action, obligation, monnaie fiduciaire