Justaucorps

merveilleux pour S fantastique pour DJ, être allégorique | Photographies de mise en scene | Costume DJ acte1sc2Chez Bluwal : lié au 19e, +simple,+moderne, insiste sur mytheChez Moliere : fraise, larges manches, dentelles, rubans | Costume de S≠DJ, justaucorps, béret, manteau | Costume de CharlotteChez Masguich : habits simplesChez Moliere : coquette | | Mise en scene de M.Bluwal et D.Mesguich | DJ et PierrotBluwal : DJ desaccord visage/parole, cynisme, art persuader, pastoraleP : grottesque, candeur

réalisées en poutre le sont généralement répétées préalablement au sol. La poutre est recouverte d'un matériau non glissant et entourée de tapies de protection au sol en cas de chute. VI) La tenue La tenue d'une gymnaste est simplement un justaucorps. Dans certaines fédérations, les ballerines sont acceptées.

celles-ci indiquent les actions d’Harpagon sur La Flèche, la fouille, la violence « Il lève la main pour lui donner un soufflet », « Il tâte le bas de ses chausses », « Il fouille dans les poches de La Flèche » et « Lui montrant une des poches de son justaucorps » donc, les didascalies sont

au cou. Par-dessus l’habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d’or et doublé de satin noir. Epée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout galonné, rouge et or. Tête nue. Sans épée. Cette didascalie met en place, au seuil de la pièce, le rapport hiérarchique maître-valet en opposant costume de cour et livrée, puis le port du chapeau et de l’épée pour les Grands et

Danseur étoile du Théâtre Mariinsky, se refuse à porter les hauts-de-chausses réglementaires. C'est ainsi que dans L'Oiseau de feu, en 1911 et malgré une brillante interprétation avec sa partenaire, Tamara Karsavina, il est mis à la porte, son justaucorps court et son maillot moulant considérés comme indécents. Il quitte le Théâtre Mariinsky et se consacre alors à Diaghilev, Nijinski devient chorégraphe et créé « l’après midi d’un faune », avec cette œuvre, il opère une rupture avec le passé, d'après

Lescaut, Abbé Prévost, Hatier page 35. Nous retournâmes le matin à l’hôpital. J’avais avec moi, pour Manon, du linge, des bas, etc., et par-dessus mon justaucorps un surtout qui ne laissait rien voir de trop enflé dans mes poches. Nous ne fûmes qu’un moment dans sa chambre. M. de T*** lui laissa une de ses deux vestes. Je lui donnai mon justaucorps, le surtout me suffisant pour sortir. Il ne se trouva rien de manque à son ajustement, excepté la culotte, que j’avais malheureusement oubliée. L’oubli

-- Je te rosserai si tu parles. LA FLECHE . -- Qui se sent morveux, qu'il se mouche. HARPAGON . -- Te tairas-tu? LA FLECHE . -- Oui, malgré moi. HARPAGON . -- Ah ! Ah ! LA FLECHE , lui montrant une des poches de son justaucorps. -- Tenez, voilà encore une poche. Etes-vous satisfait? HARPAGON . -- Allons, rends-le-moi sans te fouiller. LA FLECHE . -- Quoi? HARPAGON . -- Ce que tu m as pris. LA FLECHE . -- Je ne vous ai rien pris du tout. HARPAGON

brigandages, embuscades, surprises de villes, pillages, meurtres. Chacun marche gaiement au crime sous la bannière de son saint. On paye partout un certain nombre de harangueurs pour célébrer ces journées meurtrières; les uns sont vêtus d’un long justaucorps noir, chargé d’un manteau écourté; les autres ont une chemise par-dessus une robe; quelques-uns portent deux pendants d’étoffe bigarrée par-dessus leur chemise. Tous parlent longtemps; ils citent ce qui s’est fait jadis en Palestine, à propos d’un

ne nomme personne. HARPAGON : Je te rosserai si tu parles. LA FLECHE : Qui se sent morveux, qu'il se mouche. HARPAGON : Te tairas-tu? LA FLECHE : Oui, malgré moi. HARPAGON : Ah ! Ah ! LA FLECHE : (lui montrant une des poches de son justaucorps) : Tenez, voilà encore une poche. Etes-vous satisfait? HARPAGON : Allons, rends-le-moi sans te fouiller. LA FLECHE : Quoi? HARPAGON : Ce que tu m as pris. LA FLECHE : J e ne vous ai rien pris du tout. HARPAGON : Assurément ? LA FLECHE

au caprices du vent, il est communément admis que le nom paillard donnée à ce vêtement vient du fait que le vêtement s'arrête juste au niveau des fesses. L'article de première nécessité pour les hommes était le costume. Chaque homme avait un justaucorps, des culottes courtes, une longue veste, et parfois un jabot blanc.Les vestes, généralement de brocart, étaient très ajustées en haut, et en bas, elles s'évasaient du corps, laissant une place pour l'épée pour descendre jusqu'au genou. Les manches