Jusqu'à mon dernier souffle

anéanti, y compris ses enfants (dont un vent violent à fait écrouler la maison sur eux). Cependant, Job à dit «  Yavhé acait donné, Yavhé a repris : que le nom de Yavhé soit béni ! » , ainsi, Job ne pécha point. Quand Satan revint devant Yavhé, ce dernier l’accusa d’avoir fait détruire un homme qui était innocent et droit. Alors Satan lui dit qu’il n’avait pas encore touché à Job lui-même,c’est pourquoi il ne l’a pas maudit. Ainsi, Yavhé remet Job entre les mains de Satan qui le frappe d’un ulcère

mèches bleues lui chatouillaient le front sans qu'il ne puisse s'en débarrasser. La sensation de chaleur de son corps contre le sien le fit frissonner. ''Mais que m'arrive t-il ? Pourquoi je réagit comme ça ? C'est débile'' Se gifla mentalement se dernier. Mais il réalisa soudainement que leurs visages étaient plus proches qu'il ne le fallait. L'imbécile qui le clouait au sol s'était rapproché afin de mieux le bloquer. Ses lèvres maintenant à quelques centimètres de lui, lui envoyèrent de l'air rouler

journée et s’appliqua à n’adresser qu’un silence rageur a son père. Son voyage aseptisé se poursuivit pendant encore une longue demi-heure puis le chauffeur leur signalât qu’ils approchaient du complexe. Curieuse de voir la chose elle se glissât jusqu’à la fenêtre et n’aperçut qu’un dôme curieux certes mais pas de taille à accueillir un demi-million de détenus. Et c’est à sa plus grande surprise qu’après trois pas au dehors de la voiture elle se retrouvât en compagnie de deux gardes et son père dans

qu'un jeune lycéen âgé de 17ans qui pourtant a défendu ses idées et ses envies de liberté au péril de sa vie. Évoquer l'exemple de Guy Moquet c'est rendre hommage à un jeune homme dont la bravoure et la détermination ont été incroyables jusqu'à son dernier souffle. Par ce rappel nous nous devons d'honorer tous ceux qui ont fait la grandeur de la France, tous ceux qui par leur actes révolutionnaires et démesurés ont aidé à créer une France nouvelle et libre telle que nous la connaissons aujourd'hui

se passa se soir là!ta main sur mon ventre...ton souffle dans mon cou...je me laissai bercer par tes paroles..retenant mon sommeilattendant que tu sombre le premierune fois qu'aux pays des songes tu t'en es allévers toi je me suis retourné une dernière fois je tai embrassé...après cette ultime baiserces 10 pilules j'ai avaléeet lentement..dans tes bras, entrelacée,dans l'inconnu je me laissais couléeton corps chaud me parut lointainde ton souffle je ne sentais plus rienmes yeux alors se sont fermés

s'abandonnent, saisis, à l'essence de toute chose ignorants des surfaces mais saisis par le mouvement de toute chose insoucieux de dompter mais jouant le jeu du monde véritablement les fils aînés du monde poreux à tous les souffles du monde aire fraternelle de tous les souffles du monde lit sans drain de toutes les eaux du monde étincelle du feu sacré du monde chair de la chair du monde palpitant du mouvement même du monde ! Tiède petit matin de vertus ancestrales Sang ! Sang ! tout notre

disait rien non plus, alors je lui répondais: « Non, je veux pas que tu t'abîmes les mains à cause d'un débile. - Ok, hésite pas si tu changes d'avis, me dit-il avec un petit sourire tout en me lâchant. - T'inquiète pas! » Il m'accompagna jusqu'à la porte, je lui fis la bise et lui dit avant de partir : « Tu sais quoi ? - Quoi ? Demanda t-il, inquiet. - Tu me fais marrer ! Rigolais-je. - Je sais, je sais ! » On restai 2 bonnes minutes à rigoler puis je rentrai chez moi. Je fouillai

détails futiles – tel le pont des soupirs, duquel on entendrait presque le dernier souffle de ces prisonniers voués à une mort certaine, où je ne manquais jamais de m’attarder, tentant de repérer dans la foule celui qui serait mon Casanova – ce qui, d’ordinaire, m’intéressait et me fascinait. Sur la place, il m’arrivait souvent de m’arrêter pour nourrir tel ou tel pigeon, qui venait automatiquement s’agripper à mon bras, allant jusqu’à se laisser caresser, ce qui n’arrivait jamais en France. Mais aujourd’hui

technicité, son agilité vocale et son art inouï de l'improvisation, alors que Billie Holiday expose les profondeurs de son âme à travers sa voix en exploitant les nouvelles possibilités engendrées par l'utilisation du microphone, laissant entendre le souffle permettant le susurrement. Moins technicienne que diseuse, originale pour son timbre acide et métallique elle séduit par sa sensualité, son expressivité. Expressivité qu'elle repoussera, à la fin de sa vie, aux frontières du musical au sens usuellement

à partir du courrier électronique. L’informatisation qui touche la totalité de la chaîne éditoriale voit se développer à côté de l’écran-papier (destiné à une lecture sur papier), l’écrit-écran, où l’ordinateur devient support de lecture. Avec ce dernier, devenu support de lecture, l’informatique entraîne le texte dans des pratiques peu connues. L’écran devient un instrument de lecture En France, le Minitel avait initié la situation, mais la technologie associée ne permettait pas une exploration pointue