Jupon

vêtements des religieuses : A l’église, les religieuses étaient vêtues comme les autres femmes sauf qu’elles avaient un voile blanc sur la tête et un manteau pour la messe. Les vêtements de la paysanne : Les femmes paysannes portaient une chemise, un jupon, une jupe, une robe, un corset, des sabots, des châles* et un tablier. Aux pieds, elles mettaient des espadrilles ou des patins. Chaque semaine elles lavaient leurs habits mais les draps, les chemises et les nappes elles ne les lavaient qu’une fois

savoir-vivre et sa position sociale, ouvrait la bouche avec fracas ou modestement en portant vite sa main devant le trou béant d'où sortait une vapeur. Boule de suif, à plusieurs reprises, se pencha comme si elle cherchait quelque chose sous ses jupons. Elle hésitait une seconde, regardait ses voisins, puis se redressait tranquillement. Les figures étaient pâles et crispées. Loiseau affirma qu'il payerait mille francs un jambonneau. Sa femme fit un geste comme pour protester; puis elle se calma

 La mode Féminine du XVIIIe siècle Le couronnement de louis XV crée l'apparition d'un nouveau style vestimentaire chic et raffiné: le Rococo. Durant cette période, le costume féminin a trois parties: une robe avec un large décolleté, un jupon, une pièce d'estomac triangulaire (morceau de tissu, le plus souvent baleiné et beaucoup décoré, elle se plaçait entre les 2 bords de devant de la robe pour cacher le corps baleiné qui est sous la robe). Sous ces vêtements sont portés un panier (sous-vêtement

un porte-jarretelles et un soutien-gorge ou par une simple combinaison-culotte fluide au milieu des années 1920.[10] La minceur s'imposant, les femmes recourent au besoin à un bandeau pour aplatir la poitrine. Avec le raccourcissement du vêtement, jupon et culotte à jambes ont été abandonnés et les bas en fil épais ont été supplantés par des bas de soie qui, tout à la fois, imitent, voilent et révèlent la nudité. Au milieu des années 1920, ils se portent roulés autour d'une jarretière au-dessus du

chant des mariniers.  Charles Baudelaire | Le LéthéViens sur mon coeur, âme cruelle et sourde,Tigre adoré, monstre aux airs indolents ;Je veux longtemps plonger mes doigts tremblantsDans l'épaisseur de ta crinière lourde ;Dans tes jupons remplis de ton parfumEnsevelir ma tête endolorie,Et respirer, comme une fleur flétrie,Le doux relent de mon amour défunt.Je veux dormir ! dormir plutôt que vivre !Dans un sommeil aussi doux que la mort,J'étalerai mes baisers sans remordSur ton beau

héros double et image écrasante. ~ Thésée - personnage à double face : - Héros : récit de ses exploits héroïques (« nobles exploits », cf. la Poétique d’Aristote) + mise en valeur de son courage et de son honneur. Admiration. - Coureur de jupons : Travers amoureux. Echec paternel qui provoque le mépris du fils, qui aimerait oublier cette « indigne moitié » de son père (« moitié » fait aussi écho à Phèdre…). ~ Malgré l’absence, représente une omniprésence pesante : Thésée nommé à chaque

centre du tableau au niveau du premier plan. En effet la robe de Perette porte des couleurs chatoyantes telles que le rouge au niveau de la jupe et le jaune au niveau du corset. Le blanc est également une couleur qui domine avec les manches et le jupon de la robe mais également le lait et l’épaisse fumée qui s’échappe du pot. Au deuxième et en arrière plan on retrouve des couleurs un peu plus pâles et froides comme du bleu, du kaki ou du marron. Cela forme un contraste. Les deux personnages à gauche

faire briller; cuisiner et satisfaire les besoins biologiques de son époux. Elle accepte d'être traitée comme une moins que rien, d'être rabaissée au rang d'objet sans âme ni volonté.Tout cela pendant que son cher et tendre époux est un coureur de jupons qui ne peut s'empêcher de succomber au charme de toutes les femmes qu'il croise. Pendant qu'elle pense à lui la journée et pense lui être utile, lui, fait la cour à d'autres. On ne sait pas si elle a connaissance des infidélités et accepte de se faire

jeunes et beaux garçons Le premier un peu timide La rirette La rirette Le premier le plus timide lui caressa le menton Lui caressa le menton Le 2° un peu moins sage La rirette La rirette Le 2° un peu moins sage Lui souleva le jupon Lui souleva le jupon Le 3° encore moins sage La rirette La rirette Le 3° encore moins sage La coucha sur le gazon La coucha sur le gazon Ce que fit le 4° La rirette La rirette Ce que fit le 4° N'es pas dit dans la chanson N'es pas dit dans

Et du haut du divan elle souriait d’aise À mon amour profond et doux comme la mer, Qui vers elle montait comme vers sa falaise. Dans Le Léthé : Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants Dans l’épaisseur de ta crinière lourde ; Dans tes jupons remplis de ton parfum À celle qui est trop gaie : Ainsi je voudrais, une nuit, (…) Comme un lâche, ramper sans bruit, (…) Et faire à ton flanc étonné Une blessure large et creuse, Et, vertigineuse douceur ! À travers ces lèvres nouvelles