Jupon

despotique,/ Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir » Enfin la féminisation de la Beauté dans « Hymne à la Beauté » v.2 « Ton regard infernal et divin » v. 7 « Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore » v.10 « Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien » v.14 « De tes bijoux l’Horreur n’est pas le moins charmant » v.23 « Si ton œil, ton souris, ton pied, m’ouvrent la porte » v. 26 « Fée aux yeux de velours » v.27 « ô mon unique reine » Le jeu sur les sonorités appuy la sublimation

2-4 Charlotte/ Mathurine + Acte IV, 3 M. Dimanche Les femmes n'ont aucunes importance au XVII ème , D.J lutte contre les hypocrites et va au bout de ses idées. XVIII ème siècle Libertinage : simplement libertinage amoureux : courir les jupons. Exemples : Choderlos de Laclos, Les Liaisons Dangereuses Restif de la Boutonne, Le paysans et la paysanne pervertie

qu’en 1884. C’est une tragicomédie mvt baroque Titre : la gravue de Janet-L’ange résume parfaitement le livre elle représente la scéne 5 de l’acte II ou Dom Juan courtise deux payasannes ce qui donne un portrait général du protagoniste courreur de jupon et seducteur invétéré. Le contraste du noir et blanc rappel la pureté et la naiveté des jeunes femmes séduites par dom juan et le noir l’emprise négative et manipulatrice qu’a dom juan sur celle-ci. Ou encore la bonté et l’obscurité de ce personnage

coton Emplois : Les bordures, les entre-deux, les motifs blancs ou en couleur se retrouvent dans les garnitures de draps, de linge de table, les napperons, les rideaux, les dessus de lit Mais aussi dans la lingerie féminine, robes, chemisiers, jupons etc… On trouve également la dentelle en vente dans les mercerie, elle est alors utilisée pour embellir les ouvrages de dames

doigt sur la table les miettes de son pain –un pain de 12 livres cuit exprès pour elle et qui durait 20 jours. En toute saison elle portait un mouchoir d’Indienne fixé dans le dos par une épingle, un bonnet lui cachant les cheveux, des bas gris, un jupon rouge, et par dessus sa camisole un tablier à bavette, comme les infirmières d’hôpital. Son visage était maigre et sa voix aigu. À 25 ans, on lui en donnait 40. D ès la 50aine, elle ne marqua plus aucun âge ; -et, toujours silencieuse, la taille droite

les dettes il se montre brutal et cynique. Léon Dupuis : Clerc de notaire , timide et n'ose déclarer sa flamme à Emma Monsieur Tuvache : le maire de Yonville Rodolphe Boulanger : nouveau châtelain de la Huchette, célibataire et coureur de jupons, il va séduire Emma. Monsieur Laumin : Le notaire, ancien patron de Léon Le docteur Canivet : très bon médecin très connu dans la région Les comices : réunion pour récompenses agricoles (genre la foire de libramont) Je voulais depuis longtemps

jouisseur Bien que Dom Juan incarne les différentes formes de libertinage du XVII ème siècle, c’est à la figure du séducteur impénitent que fait d’abord songer son nom mythique : par antonomase, un « don juan » désigne couramment un coureur de jupons. Or, contrairement à Tirso de Molina, Molière fait plus discourir qu’agir son héros en matière de conquêtes féminines : les déclarations triomphalistes du libertin (Acte I, scène 2) contrastent avec la modicité de ses prouesses scéniques. Alors

interlocuteur ( « maladie de neufs mois » en référence à la grossesse, « très grandes douleurs » en référence à l'accouchement, et « incommodités très désagréables » en référence aux règles ). CONCLUSION : Derrière la Maréchale se cache un Voltaire « en jupon » qui derrière son humour, exprime ses idées du XVII ème siècle sur la question de l'homme ou ici, de la femme. L'histoire de la maréchale et sa personnalité amenant à réfléchir sur les fondements de l'inégalité . D'autres auteurs comme Choderlot de

bonheur. Aussi, quand Flaubert décrit sa tenue, il compare sa robe aux infirmières dans un hôpital. Il dit, "En toute saison elle portait un mouchoir d'indienne fixé dans le dos par une épingle, un bonnet lui cachant les cheveux, des bas gris, un jupon rouge, et par-dessus sa camisole un tablier à bavette, comme les infirmières d'hôpital" (231). Les infirmières des hôpitaux sont des religieuses. C'est très intéressant parce que la vie de Félicité se compare étroitement à la vie d'une religieuse.

de son existence et la mort de son premier mari. Dans se roman l’amour, la souffrance et la mort son mit en évidences. Elle se maria à l’âge de 16 à son premier mari, Antoine Tassi, seigneur de Kamouraska, celui-ci est un ivrogne, un coureur de jupons et il est violent. Elle partira, avec ses deux enfants, habiter chez sa mère et ses tentes à Sorel à cause du comportement cet homme. Elle se fait soigner par le docteur George Nelson qui, bientôt, devient son amant et elle tombe enceinte de lui.