Juan Rulfo

tiens-tu dans ta main ? réponds. Le domino s’est approché et se démasque. Elle pousse un cri, et reconnaît don Ruy . C’est du poison ! HERNANI Grand Dieu ! DONA SOL, à Hernani . Que t’ai-je fait ? quel horrible mystère ! Vous me trompiez, don Juan ! HERNANI Ah ! j’ai dû te le taire ! J’ai promis de mourir au duc qui me sauva. Aragon doit payer cette dette à Silva. DONA SOL Vous n’êtes pas à lui, mais à moi. Que m’importe Tous vos autres serments ! A don Ruy Gomez. Duc, l’amour me rend

exister. Aussi, le théâtre exagère ou simplifie généralement les situations et les caractères. Dans un grand nombre de pièces, les personnages sont soit bons soit mauvais, produisant une vision manichéenne et simpliste du monde. C’est ainsi que Don Juan, dans l’oeuvre éponyme de Molière, rassemble presque tous les défauts tandis que Don Elvire est présentée comme une sauveuse essayant de le ramener sur le droit chemin. Les personnages de Molière n’ont d’ailleurs souvent qu’une facette, les rendant

à travers la pièce. Une pièce de théâtre peut être perçue différemment selon les caractères ou encore des prises de positions du lecteur. Certaines répliques peuvent avoir un effet différents par exemple dans la pièce Don Juan de Molière, le caractère séducteur de Don Juan peut faire bonnes ou mauvaises impressions suivant le vécu de certains spectateurs ou lecteurs. Tout dépends donc de l’expérience du spectateur ou lecteur. Le metteur en scène, lui, fait passer son propre message et son propre

dans Dom Juan de Molière. La pièce de Molière s’inscrit dans le cycle du mythe donjuanesque. Il est possible de le dater si l’on remonte à la version qu’en donna Tirso de Molina sous le titre d’El burlador de Sevilla. Probablement écrit avant 1620 et publiée en 1630, cette pièce est la première traitant du mythe de Don Juan. Jouée devant le roi en 1665, Dom Juan de Molière revêt une grande complexité. Oscillant entre moments tragiques et rebondissements comiques, il ressort que Dom Juan est un personnage

I, 1 Dom Juan, Molière Commentaire général sur la scène : C’est l’éloge du tabac, emprunt tout droit tirer d’un jeu des humanistes : il consistait à faire l’éloge de chose dont on ne peut pas faire l’éloge ( c’est l’éloge paradoxal. Ceci permet de mettre en place le comique de Molière : - Cette éloge débute par une référence antique (Aristote), seulement c’est absurde car à cette époque le tabac n’existait pas. Pour Sganarelle, cela permet de montrer sa culture mais au contraire ça

SEQUENCE 1. Dom Juan de Molière, ou l’origine d’un mythe Objets d’étude : Le théâtre, texte et représentation. Les réécritures. Perspectives d’ensemble : Une pièce qui illustre un personnage, le libertin et un comportement : le défi, la transgression. Le mythe de Don Juan et son évolution. Œuvre intégrale. Lectures analytiques (édition au choix des élèves): 1. La scène d’exposition, I, 1 : dernière tirade de Sganarelle, « Je n’ai pas grande peine à le comprendre » à « je dirais hautement

acteurs : Pablo PICASSO (1881-1976), Georges BRAQUE (1882-1963), Juan GRIS (1887-1927), Fernand LEGER (1881-1955) (pionner du cubisme), Henri LAURENS (1885-1954) Notions complémentaires : Abstraction : Opération par laquelle l'esprit désolidarise, délie un objet, une qualité d'un objet ou une relation de son contexte. Section d’or : « groupe Puteaux » est un groupe rattaché au mouvement cubiste. « Ma jolie » P. Picasso, 1912 Juan GRIS « nature morte avec nappe « le viaduc de l’estaque », (Cubisme

Don Juan, texte 1 Molière => Jean Baptiste Poquelin (1622) se lance dans études de droit Son père « tapissier du Roi » Abandonne études en 1642 => rejoins la troupe « l’Illustre Théâtre » des Béjart. Comédien => auteur => administrateur Farces, comédies, comédies ballet et des tragi-comédies comme Don Juan (écrit à la suite de la censure de Tartuffe des dévots l’on critiqué). Don Juan est un mythe écrit pas Triso de Molina (espagnol) ⇨ réponse aux critiques de ce qui l’on censuré.

de tartuffe en 1664, il reprend un mythe déjà traité par l'espagnol Tirso de Molina en 1630 : Dom Juan. Dans la scène 1 Acte 1, nous allons voir que la tirade finale est une présentation du maître de Sganarelle, DOM JUAN. Après avoir étudié les caractères de ce double portrait nous nous intéresserons au registre comique de la scène I – Le portrait d’un séducteur Sganarelle présente Dom Juan, il met en avant son impiété par une nouvelle énumération (« le plus grand scélérat que la terre ait

Vaubricourt a fait convoquer par surprise et en pleine nuit quatre amies, une religieuse, une comtesse libertine, Mademoiselle de la Tringle, auteur de romans d’amour, et Madame Cassin, marchande. Ces femmes se retrouvent confrontées au portrait de Don Juan, qu’elles font semblant de ne pas reconnaître. Ce sont toutes d’anciennes victimes du séducteur, qu’elles le reconnaissent ou pas, et la duchesse les a fait venir pour instruire son procès. Le roi lui a donné une lettre de cachet, et l’alternative