Juan Atkins

conscience. On assiste donc à un dérèglement des mœurs : cette image correspond à de nombreux personnages de romans libertins. Ils se moquent des autres en les séduisant, en les trompant et en les soumettant à leurs seuls désirs, comme le fait le Don Juan de Molière. Le libertin type multipli les expériences de toute sorte : intellectuelle, culturelle, sexuelle.  On ose parler d'amour et la sexualité prête parfois à rire comme dans Candide de Voltaire (1759) : « Leurs bouches se rencontrèrent, leurs

vous le savez, nous allons interpréter Dom Juan de Molière où les rôles ont été distribués ainsi : Henri sera dans le rôle de Dom Juan , Bastien dans celui de Mr Dimanche et Frédéric celui de Sganarelle. Je vous écris ce courrier afin de vous expliquer comment je voudrais que la scène 3 de l'acte 4 soit représentée. Cette scène sera plutôt contemporaine. Je vais tout d'abord commencer par vous rappeler la scène. M. Dimanche rend visite à Dom Juan. Ce dernier se met directement à le complimenter

paraître, où les comportements frisent la parodie. Dom Juan ou le Festin de pierre Dom Juan1 ou le Festin de pierre est une comédie de Molière en cinq actes (comportant respectivement trois, cinq, cinq, huit et six scènes) et en prose jouée pour la première fois le 15 février 1665 au Théâtre du Palais-Royal. Personnages[modifier] • Dom Juan, fils de Dom Louis. • Sganarelle, valet de Dom Juan. • Done Elvire, femme de Dom Juan. • Gusman, écuyer de Done Elvire. • Dom Carlos

(Beyrouth) SÉRIE ES /S   Objet d'étude : le théâtre, texte et représentation. Textes :  Texte A : Molière, Dom Juan, 1665, Acte I, scène 3 Texte B : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, 1784, Acte II, scènes 16 à 19 Texte C : Giraudoux, Electre, 1938, Acte II, scène 2.   Texte A : Molière, Dom Juan, 1665, Acte I, scène 3 [Elvire, jeune femme de l'aristocratie, que Dom Juan, après l'avoir enlevée du couvent, a épousée, puis quittée, vient d'arriver à l'improviste pour demander des explications

quelques mois avant d’entreprendre Dom Juan, Molière écrivait, « le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant, j’ai cru que dans l’emploi où je me trouvais, je n’avais rien de mieux à faire que d’attaquer par des peintures ridicules, les vices de mon siècle ». C’est pourquoi, il donne à son Dom Juan, une grande dimension comique et burlesque. Concernant la notion de comique, nous pouvons dire qu’il ne rit jamais à ses dépens; Don Juan mène toujours le jeu. Son habileté

Dom Juan Dom Juan, héros légendaire de nombreux contes populaires et archétype du libertin impie. La légende de Dom Juan remonte au Moyen Âge. Elle apparaît pour la première fois en littérature dans la pièce el Burlador de Sevilla (1630) attribuée à Tirso de Molina. Dans cette œuvre, le libertin Dom Juan séduit la fille de Don Gonzalo, commandeur de Séville. Après l'avoir tué lors d'un duel, Dom Juan se rend sur sa tombe et cyniquement invite à une fête la statue funéraire de la victime. La statue

femme. Dans ce passage, on ressent en effet que Mme de Burne se sent supérieure aux hommes, que c’est une femme forte et conquérante qui joue un jeu de séduction, pour mieux là qualifier, on peut employé le terme de « Don Juan en Jupon » . Dès le début du passage, on sent que Mme de Burne est sûr, de ses atouts et de son charme, et qu’aucun homme ne peut lui résister, on peut relever à l.3 l’hyperbole « tous les hommes » et à l.4 l’hyperbole « sa puissance

L’adaptation de Dom Juan par Mesguich est particulièrement originale. Dans un premier temps, le metteur en scène : Danièle Mesguich prend le choix d’interpréter Sganarelle le valet de Dom Juan tout en ayant fais des modifications sur scène. Ainsi, au tout début de la représentation, Sganarelle prend le choix de parler dans le publique. Les coups annonçant le début de la pièce ne sont pas encore sonnés et l’interrompe dans son éloge du tabac. Ainsi le publique ce sent beaucoup plus proche du personnage

d’un côté, séductrice de l’autre. A priori, on pourrait penser que les deux positions sont également représentées, mais, lorsqu’on cherche des exemples de séduction dans les œuvres littéraires, on trouve essentiellement des séducteurs masculins : Don Juan, Casanova, Valmont, Julien Sorel, viennent tout de suite à l’esprit, alors qu’il est beaucoup plus difficile de dresser une liste comparable de séductrices ayant laissé des noms aussi connus. Une exception peut-être serait Carmen, mais Carmen n’est

Punaruna. Intro : José Maria Arguedas es un escritor y un etnologo de origen peruano. Escribió numerosas novelas, incluidas « Yawar Fiesta », publicado en 1958. En este obra, l'autor expresa la ternura que dedica a las poblaciones andinas y el profundo conocimiento que tiene de los indios. Muestra al mismo tiempo la oferta y la miseria al cual el reduce la voracidad de los blancos. En estos cinco extractos, el autor menciona el combate de los mistis contra los indios los cuales pierden