Juan Antonio Samaranch

sportifs. En 1972 après le départ en retraite de Avery Brundage (celui-ci avait peur que les entreprises influencent le choix des membres du CIO), le CIO commença à explorer les enjeux économiques des médias et de la publicité. C'est avec Juan Antonio Samaranch que le CIO s'associa avec des entreprises qui voulaient s'associer à l'esprit olympique ( Budget du CIO en 1972: 2 millions de dollars, Budget du CIO en 1980: 45 millions de dollars). En 1984, le CIO bat son record de recettes avec près de

national olympique non racial (SANROC). Une coalition des mouvements anti-apartheid dénommée « Campagne internationale contre l’apartheid dans le sport » se constitua aussi à Paris au début des années 1980. Pour le président du CIO de l’époque, Juan Antonio Samaranch, le problème sud-africain ne pouvait pas être réglé sans les Africains. C’est pourquoi il mit en place une commission Apartheid et Olympisme puis fut à l'origine de la création d’un Comité national olympique multiracial, intégré au Mouvement

avoir une situation personnelle lui permettant d’assurer son existence présente et future » (article 26 de la charte olympique 1972). En 1974 le terme amateur disparaît totalement de la charte Olympique. Avant d’être élu président du CIO, Juan Antonio Samaranch déclare « Il n’est pas dans l’intention du CIO d’ouvrir les jeux au professionnalisme, c’est à dire à ceux dont les performances sportives sont rémunéré ». Le dernier gros changement indiquant une nouvelle ère pour le sport intervient en 1991

grâce à la proximité du Circuit de Catalogne, qui accueille chaque année le Grand prix d'Espagne de Formule 1 ainsi que celui de MotoGP. Après Moscou en 1980, Barcelone a accueilli les Jeux olympiques d'été en Europe en 1992[36]. Le Catalan Juan Antonio Samaranch, président du CIO a profondément influé sur le choix de la ville pour les premiers Jeux olympiques en Espagne. Les jeux ont été organisés dans plusieurs parcs olympiques : le parc olympique de Montjuïc, qui comprend le stade olympique

Les Jeux Olympiques ne sont pas forcément une machine à évolution sociale, malgré les valeurs olympiques fondamentales bien ancrées dans nos esprits. Le CIO fait souvent controverse, pour illustrer ce propos, parlons de son ancien président Juan Antonio Samaranch, embarqué dans de nombreuses polémiques, souvent accusé de corruption. En 1996, à Atlanta, ville où règne Coca-Cola, premier partenaire des Jeux Olympiques, le CIO s’arrangea pour accepter qu’ils obtiennent les Jeux à l’occasion du centenaire

coubertienne et anglo-saxonne de sport fondé sur l'amateurisme et le bénévolat. En effet selon De Coubertin le rénovateur des Jeux Olympiques le sport devait rester en dehors du marché et n'obéir qu'à une logique désintéressée. ⁃ En 1998, Juan Antonio Samaranch, alors président du Comité International Olympique, définissait encore l'olympisme comme « un style de vie fondé sur la joie dans l'effort, la valeur éducative du bon exemple et le respect des principes éthiques fondamentaux universel ».

coubertienne et anglo-saxonne de sport fondé sur l'amateurisme et le bénévolat. En effet selon De Coubertin le rénovateur des Jeux Olympiques le sport devait rester en dehors du marché et n'obéir qu'à une logique désintéressée. En 1998, Juan Antonio Samaranch, alors président du Comité International Olympique, définissait encore l'olympisme comme « un style de vie fondé sur la joie dans l'effort, la valeur éducative du bon exemple et le respect des principes éthiques fondamentaux universel ».

communiquer à l’échelle planétaire. Comment s’est mis en place ce modèle économique, qui repose à hauteur de 47 % sur les droits télé, et de 45 % sur le parrainage d’une douzaine de grands sponsors (1) ? La coupure date des années 1980, quand Juan Antonio Samaranch a sonné le glas de l’ère coubertinienne et fait entrer les marchands dans le temple. En 1984, les Jeux sont « privatisés » à la suite du refus de la ville de Los Angeles d’engager des fonds publics, et ouverts aux sportifs professionnels.

été autorisée à exploiter les symboles olympiques avec le degré d’exclusivité différent en fonction de sa contribution. C’est le succès des JO-1984 de Los Angeles qui aurait poussé l’ancien président du Comité international olympique (CIO), Juan Antonio Samaranch, à lancer le programme marketing TOP (The Olympic Program). En 1985, plusieurs compagnies multinationales ont obtenu du CIO les droits exclusifs d’utilisation des symboles olympiques en échange d’une contribution officielle de 5 millions

Jeux olympiques d'hiver de 2018[83],[84]. Controverses[modifier]Article détaillé : Boycotts, scandales et controverses olympiques#Jeux olympiques d'hiver. Élection de la ville hôte[modifier]Une photo de la tête de Juan Antonio Samaranch, avec des lunettes Juan Antonio Samaranch, ancien président du CIO, est impliqué dans le scandale des candidatures des Jeux olympiques d'hiver de 2002. Le processus d'attribution des Jeux à une ville est scruté après que Salt Lake City a reçu le droit d'accueillir