Jorge Lorenzo

L’écriture ou la vie de Jorge Semprún 1. L’auteur Né à Madrid en 1923, Jorge Semprún est une romancier et scénariste espagnol. Il étudie la philosophie au lycée Henri IV et à la Sorbonne à Paris, et est lauréat du concours général de philosophie. En 1942, il entre au Parti Communiste Espagnol (PCE) et dans la résistance française. Il est déporté un an plus tard à Buchenwald. C’est un camp de concentration en Allemagne, situé à côté de Weimar (la ville de Goethe). Le camp est libéré le

Compte rendu L’écriture ou la vie, Jorge SEMPRUN Jorge Semprun est né le 10 décembre 1923 en Espagne. En 1941, il entreprend des études de philosophie à la Sorbonne. Avant son arrestation, il était rentré dans le parti communiste espagnole. Il a été déporté en septembre 1943 au camp de concentration de Buchenwald, puis libéré le 11 avril 1945. Ce n’est que quarante ans plus tard qu’il écrit L’écriture ou la vie. Il est également l’auteur de grandes œuvres comme Le Grand Voyage ou encore La

Brunelleschi, il utilise la perspective redécouverte par Brunelleschi Giorgio Vasari: il a écrit les vie des artistes à partit de Giotto jusqu'à son époque, il est peintre et architecte CONSTRUCTIONS - 1401 Porte du baptistère. « Sacrifice d’Isaac ». Lorenzo Ghiberti fait une version olympique et théâtrale avec la fusion d’une seule fusion de bronze vs. Brunelleschi, avec moins de technique, version plus violente, plus forte, plus dramatique et donc moins élégante. Santa Maria del Fiore (Duomo) (1420

vœux. Lippi épouse donc Lucrezia quelques semaines plus tard, nous sommes alors en 1458, Lippi a 52 ans, Lucrezia n'a pas 20 ans. Deux ans plus tard, en 1460, une petite Alessandra naît de leur union. Fra Filippo Lippi fut d'abord influencé par Lorenzo Monaco et surtout Masaccio qu'il put voir travailler au couvent du Carmel de Florence, en effet, il se rendait régulièrement à la chapelle Brancaccioù Masaccio travaillait avec Masolino Da Panicale Plus tard, il rencontre Fra Angelico qui exerça

« morceaux d’agrément », aujourd’hui conservés au musée du Bargello de Florence, deux retiennent particulièrement l’attention du jury, composé de membres de la Calimala : ceux de Filippo Brunelleschi, architecte et sculpteur déjà fort reconnu, et du jeune Lorenzo Ghiberti, récemment formé à la sculpture et étudiant le latin. Celui-ci oppose à la facilità nel fare dans la difficultà (contournement des positions, débordement d’un personnage hors de l’espace du cadre) du premier la souplesse d’une composition

des dieux et cœur artistique. Je suis à Florence à l'heure où je vous écrit mais mon cœur lui est à Rome, tellement je me hâte d'être à la ville sainte. Pour ce travaille, Vous m'avais confié des collaborateurs. Je collaborerais donc avec Sodoma, Lorenzo Lotto et Giovanni Bazzi, trois peintre pour qui j'ai un profond respect. Je Vous remercie de m'offrir une telle opportunité moi, Rafaello Santi, si jeune peintre de Florence, de travailler avec ce groupe de peintres florentins dirrigés par Pérugin

construite par Francesco Talenti (ca. 1300-1369), mais celui-ci n’a pas fait la croisée du transept et la coupole, ce qui posait problème. En 1418, on organise un concours pour trouver une solution, mais il n’y a pas de vainqueur. En 1420, on nomme Lorenzo Ghiberti (1378-1455), Battista et Brunelleschi pour les travaux. Ghiberti et Brunelleschi seront rivaux, mais ce dernier finira par surpasser le premier. Suite à la peste noire de 1347-1348, la population ayant été décimée, il est difficile de trouver

LES FRESQUES de LORENZO LOTTO dans LA CHAPELLE dite ORATORIO SUARDI à TRESCORE BALNEARIO dans la PROVINCIA DI BERGAMO. www.prolocotrescore.it [pic] Autoportrait de Lorenzo LOTTO en 1524 Le comte Giovan Battista SUARDI , gentilhomme érudit, profondément religieux, membre d’une des familles les plus anciennes et les plus prestigieuses de Bergame, qui avait une position importante dans la vie publique de la ville, chargea, en 1524, Lorenzo LOTTO de décorer et de peindre à fresques les deux

« pas propre sur lui-même » ou « laid ». Son père, Giovanni di Mone Cassai, est un artisan devenu notaire. Il meurt alors que Tommaso a 5 ans, en 1406. Avec sa mère et son frère, il s'installe à Florence en 1417. Il entre dans l'atelier de Bicci di Lorenzo, où il restera 5 années durant son disciple. Il sera fort marqué par Brunelleschi, Donatello et Giotto. Il entretiendra une proche amitié avec Brunelleschi (qui l’aidera pour la perspective dans certaines de ses œuvres) et Donatello. En 1422 il rejoint

Lorenzo Ghiberti ( 1378-1455 ): Né Lorenzo di Cione Ghiberti en 1378 ou 1381 et mort en 1455. Son père, Cione di ser Bonaccorso, mourut jeune, et le second mari de sa mère, l'orfèvre Bartoluccio, fut chargé de son éducation. Il s'en acquitta si bien que son beau-fils, le considérant comme son véritable père, garda, jusqu'à l'âge de soixante ans, le nom de Lorenzo di Bartolo; ce ne fut qu'alors, et pour pouvoir briguer des fonctions publiques, qu'il reprit son véritable nom de Lorenzo di Cione