Joie Et Tristesse Plaisir Et Douleur

enveloppait leurs ailes,Et, rappelant au nid leurs compagnes fidèles,Sur des rameaux sans fleurs ils attendaient le soir. […] Seule, je m’éloignais d’une fête bruyante ;Je fuyais tes regards, je cherchais ma raison :Mais la langueur des champs, leur tristesse attrayante,À ma langueur secrète ajoutaient leur poison.Sans but et sans espoir suivant ma rêverie,Je portais au hasard un pas timide et lent ;L’Amour m’enveloppa de ton ombre chérie,Et, malgré la saison, l’air me parut brûlant. Marceline

 Pourquoi va-t-on au théâtre ? Alors que le cinéma attire de plus en plus de spectateurs, les théâtres sont désertés, et notamment par le jeune public. Pourtant, ceux qui ont goûté aux plaisirs du spectacle vivant le défendent avec enthousiasme et se pressent, lors de festivals par exemple, pour découvrir de nouvelles pièces et de nouveaux acteurs. Quels sont les raisons et les buts qui poussent les spectateurs à aller au théâtre ? Pourquoi va-t-on au théâtre ? Nous

manquent, que d’avoir plus de considération et de savoir, pour connaître la juste valeur des uns et des autres, et qu’on devienne plus triste. […] Ainsi je n’approuve point qu’on tâche à se tromper, en se repaissant de fausses imaginations ; car tout le plaisir qui en revient, ne peut toucher que la superficie de l’âme, laquelle sent cependant une amertume intérieure, en s’apercevant qu’ils sont faux. Et encore qu’il pourrait arriver qu’elle fût si continuellement divertie ailleurs, que jamais elle ne s’en

lourde ou décevante mais aussi de s’éloigner de l’essentiel… Le divertissement : une façon de nous éloigner de nous-mêmes et de Dieu :Pour Montaigne, la diversion est une notion plutôt positive, « pour celui qui souffre, faire diversion à sa douleur, c’est à dire éviter d’y penser, permet de moins souffrir ». Cela permet de trouver un peu de paix. Le divertissement au sens pascalien est beaucoup plus négatif, Pascal semble réfuter la notion de Montaigne et explique dans la partie des Pensées

SAGAN  BONJOUR TRISTESSE   L’INTRIGUE   Bonjour Tristesse s’ouvre sur un éblouissement, celui des 17 ans de Cécile, son héroïne, celui du soleil sur les rivages de la Méditerranée où son père, Raymond, a loué une villa, celui du bonheur intense mais éphémère qu’ils vont y connaître lors d’un séjour estival avec Elsa, la dernière maîtresse en date de Raymond. Cécile a perdu sa mère à l’âge de 2 ans, elle a vécu jusqu’à 15 ans dans une pension et connaît désormais la vie dissolue et volage

* « tourment » : douleur longue et pénible * « bien » : possession * « verdoie » : fleurir * « inconstamment » : avec inconstance Analyse du contenu 12. Résumez chaque strophe en une phrase. -Strophe 1 : Elle éprouve des sensations et sentiments extrêmes et opposés. -Strophe 2 : Elle éprouve des sensations et sentiments extrêmes et opposés. -Strophe 3 : Elle subit l’amour comme si c’est lui qui la contrôle. -Strophe 4 : La joie cède sa place à la tristesse. 13. A) Entre

Dieu... mon Dieu... mort !..." Des larmes apparurent dans ses yeux, ces larmes silencieuses des femmes, gouttes de chagrin venues de l'âme qui coulent sur les joues et semblent si douloureuses, étant si claires. Mais Roland songeait moins à la tristesse de cette perte qu'à l'espérance annoncée. Il n'osait cependant interroger tout de suite sur les clauses de ce testament, et sur le chiffre de la fortune ; et il demanda, pour arriver à la question intéressante : "De quoi est-il mort, ce pauvre Maréchal

l’amour courtois, et les longs passages de description des sentiments. Pendant son exil, Tristan souffrait beaucoup de l'absence d'Yseut la blonde. Il épousa donc une noble dame de Bretagne, Yseut aux blanches mains, mais cela ne lui apportât aucune joie. Au cours d'une bataille Tristan fut sévèrement blessé. Il envoya donc chercher Yseut la blonde, sachant que c'était la seule personne capable de le guérir. Il demanda également qu'une voile blanche soit hissée au mât du bateau si Iseult acceptait

chaud extrême » (v. 2) / « froidure » (v. 2) ; « trop molle » (v. 3) / « trop dure » (v. 3) ; « grands ennuis » (v. 4) / « joie » (v. 4) ; « je ris » (v. 5) / « je larmoie (v. 5) ; « plaisir » (v. 6) / « tourment » (v. 6) / « s’en va » (v. 7) / « à jamais il dure » (v. 7) ; « jesèche » (v. 8) / « je verdoie (v. 8) ; « plus de douleur » (v. 10) / « hors de peine » (v. 11) ; « joie » (v. 12) / « malheur » (v. 14). c) Les figures d’équivalence. ● Métaphore : « je meurs » (v. 1) ; « je me brûle »

des termes. Tout d'abord, le concept de bonheur renvoie à l'état d'une satisfaction complète ; caractérisé par sa plénitude et sa stabilité, c'est un idéal recherché par chaque être humain, mais qui doit néanmoins être distingué du plaisir, trop éphémère, et de la joie, davantage dynamique. Si le thème du sujet est déterminé par ce concept de bonheur, c'est bien celui de responsabilité qui en indique le sens. Le terme de « responsables » désigne communément le fait d'assumer des actes