Jeu du loup

 Loup  et  le  Chien  ».   Texte  B  :  ROUSSEAU,  Emile  ou  de  l'Education,  livre  IV,  1762.   Texte  C  :  HUGO,  Les  Châtiments,  VII,  17,  1853,  «  Ultima  verba  »,  vers  37à  64.   Texte  D  :  ZOLA,  Germinal,  3ème  Partie,  3,  1885.       Texte  A  :  LA  FONTAINE,  Fables,  Livre  l,  V,  1668,  «  Le  Loup  et

dans la peinture des animaux. Certains animaux incarnent un état, un rang social : le lion représente le souverain ; l’ours, le tigre, le renard et le loup, les puissants. D’autres révèlent plutôt un trait de caractère : la pie, le bavardage ; la chèvre, l’entêtement ; le chat, l’hypocrisie. Cependant, comme nous l’avons vu avec l’étude du loup, un seul animal n’est pas figé dans un rôle mais offre différentes facettes de son caractère. C’est là la richesse de la nature… humaine La morale

pour ces fables, par Jean-Baptiste Oudry (1686-1755), peintre et graveur français, et Jean-Ignace-Isidore Gérard (1803-1847), connu sous le pseudonyme de J.J. Grandville, caricaturiste français. Le loup devenu berger Un Loup, qui commençait d'avoir petite part             Aux Brebis de son voisinage , Crut qu'il fallait s'aider de la peau du Renard,             Et faire un nouveau personnage. Il s'habille en Berger, endosse un hoqueton,            

ne doit pas être inconnu sauf si on inclut une phase de compréhension de lecture en début de séance 1) registre de langue +notion de personnage. J’ai souhaité réfléchir, ici, à une séquence qui s’appuie sur un contexte particulier (Le conte « Le loup et les sept chevreaux »), pour favoriser ce qu’Alain Lieury nomme le « rappel des mots indicés », qui fait référence aux indices de récupération que l’on utilise pour mémoriser des connaissances, ici des mots nouveaux. L’association tout au long

Il peut être libéré par un camarade qui le saute. Le jeu se termine lorsque tous les élèves sont immobilisés. Si nécessaire, mettre deux chasseurs. - La taupe : Même jeu que la puce, mais pour libérer, il faut passer sous le pont formé par les jambes écartées du partenaire. - Le crabe : Un chasseur à 4 pattes doit toucher les autres élèves qui se déplacent debout. Les élèves touchés deviennent chasseurs en plus du chasseur initial. Le jeu s'arrête lorsque tous les joueurs sont à 4 pattes. Interdire

Fontaine, « Le Loup et le Chien », Fables, livre I, V, 1668. B – Jean-Jacques Rousseau, Émile ou de l’Éducation, livre IV, 1762. C – Victor Hugo, « Ultima verba », Les Châtiments, VII, 17, 1853. D – Émile Zola, Germinal, IIIe partie, 3, 1885. Qu’est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l’homme d’être libre ? Après avoir répondu à cette question, les candidats devront traiter au choix un des trois sujets nos 34, 35 ou 36. Document A Le Loup et le Chien Un loup n’avait que les

tout apparente. Qu'il s'agisse d'un groupe d'ouvriers misérables passant en fraude la frontière italienne, de deux jeunes filles fugueuses, d'un enfant voleur, d'une femme accouchant seule sur la moquette d'un mobile home, surveillée par son chien-loup au regard de braise, qu'il s'agisse de la fillette broyée par un camion, ou de la fillette violée dans une cave de H. L. M. , l'auteur impose aux faits une étrangeté bouleversante. L'incident s'annule au profit du dénominateur commun de toute souffrance

Séance 1 : Explication de texte 6 : Un combat, lutter contre l’injustice : « Les animaux malades de la peste », Fables (1678), La Fontaine Objectif : étudier une argumentation indirecte dénonçant l’iniquité Après le succès des premières fables, La Fontaine publie d’autres recueils dédiés à Madame de Montespan, la favorite de Louis XIV. Les récits qui y sont contenus présentent de manière implicite la vie à la cour

faute et se rend coupable en parlant du diable ( vers 52 ). L'interrogatoire finit par son aveu. • Il existe une disproportion entre la faute commise et la condamnation ( vers 59 et 60 ). Le procureur est le loup, il n'est ni fiable ni sage ( vers 56 ). Il fait un simulacre de procès, le loup met en cause les faux défauts physiques de l'âne ( vers 58 ), il attise la haine et essaie de déchaîner les passions contre l'âne. Il n'y a aucune justice, l'âne ne peut pas se défendre, le verdict est rapide

second personnage à intervenir est le renard qui incarne la ruse et la flatterie. Sa stratégie consiste à atténuer la faute du roi pour ne pas à avoir à avouer ses crimes. Dès que le roi avoue ses crimes, il minimise considérablement ceux-ci par un jeu sur les verbes. (Le lion : « dévorer » (vers 26) Le renard : « croquer » (vers 38)). Le Renard apparait véritablement comme un courtisan zélé et comme un maître dans l’art de la Casuistique (affirmer qu’il n’y a pas crime lorsque les intentions sont