Jeanne et le Garçon formidable

Jean WATIN-AUGOUARD Préface de Marcel BOTTON HISTOIRES DE MARQUES 003, 2003, © 2003, ride Les 3-3 Trademark2003,- 2 Éditions d’Organisation, 2003 -3 ISBN 2-7081-2849-3 ISBN :::2-7081-2849-3 ISBN : 2-7081-2828-0 ISBN 2-7081-2849-3 93, rue de la Santé - 75013 PARIS www.trademarkride.com 1, rue Thénard - 75005 PARIS www.editions-organisation.com A, AA A A Marques déposées par Mediafusion en 1998. Comment figurer en tête de liste dans les annuaires des téléphones

fervents défenseurs des droits sociaux et moraux. Selon Michel Foucault, «l’homosexualité est une création institutionnelle récente puisqu’elle résulte du discours psychiatrique du XIXe siècle. Il offre ainsi aux mouvements gays et lesbiens un formidable argument de dépassement des inégalités, trop souvent perçues comme naturelles.» Cette citation représentera bien l’âme de notre travail : nous souhaitons nous pencher sur une problématique sociale, cause d’inégalité et d’exclusion. Le fil directeur

passe de 80 bat/min à 120 bat/min, des palpitations, une augmentation de la tension artérielle, des rougissements dus à la vasodilatation des vaisseaux sanguins sous la peau, nous pouvons le voir dans Les Joues roses de Malika Ferdhjouk, car le jeune garçon se réfère à la couleur des joues de son père et de sa prétendante pour découvrir l'amour naître entre ces deux personnes. En effet lorsque le père rencontre sa bien-aimée, ils rougissent. Il est également possible de citer la chair de poule, des bouffées

Microsoft Word - FRCEL_1999_2000_019_DDP.DOCL 'ATELIER de JEAN-CLAUDE GRUMBERG mise en scène GILDAS BOURDET collaboration dramaturgique Anny PERROT décors Gildas BOURDET & Edouard LAUG lumières Jacky LAUTEM costumes Christine RABOT-PINSON avec, Nathalie HUGON, Daniel LANGLET, Nicole DUBOIS, Sylviane GOUDAL, Monique MAUCLAIR, Pascal NAWOJSKI, Cécile O'CAIRN, Claire BEAUDOIN, Michel VALMER et Pierre Stéfan MONTAGNIER. 4 " M o l i è r e s " 1 9 9 9 : Révélation Théâtrale

.....................141 XXIV ...................................................................................... 144 À propos de cette édition électronique ................................. 145 –3– PRÉFACE C’est vers juillet 1946 que Jean d’Halluin a rencontré Sullivan, à une espèce de réunion franco-américaine. Deux jours après, Sullivan lui apportait son manuscrit. Entre-temps, il lui dit qu’il se considérait plus comme un Noir que comme un Blanc, malgré qu’il ait passé la ligne ;

inspiré du grec qui signifie la logique de la course. Une science qui s’intéresse aux ravages de l’accélération. » Paul Virilio vit sans portable. Comme d’autres célébrités. L’écrivain Patrick Modiano, par exemple, ou les peintres Pierre Soulages ou Jean-Michel Alberola. Ce dernier est un cas : même sa galerie ne sait jamais où le joindre. C’est lui qui appelle. Le refus farouche d’être « localisé » est une autre raison de vivre sans portable. « Ne pas céder au portable, c’est ne pas avoir peur d’exister

du militant haranguant les foules mais celui de l'intellectuel réfléchissant à haute voix, montrant parfois ses doutes, persuadant intimement. On retrouve ce même rapport à la voix, assez proche du monologue théâtrale, au sein du très beau film de Jean-Pierre Sergent et Bruno Muel, Rio Chiquito (1965), porté par le timbre de Maurice Garrel[9]. Ce film aujourd'hui trop peu connu, tourné clandestinement dans les maquis colombiens, décrit simplement les actions de la guérillas et les exactions de l'armée

.............................141 XXIV...................................................................................... 144 À propos de cette édition électronique ................................. 145 –3– PRÉFACE C’est vers juillet 1946 que Jean d’Halluin a rencontré Sulli- van, à une espèce de réunion franco-américaine. Deux jours après, Sullivan lui apportait son manuscrit. Entre-temps, il lui dit qu’il se considérait plus comme un Noir que comme un Blanc, malgré qu’il ait passé la ligne

représentant du peuple et bonne d’enfants. ». On peut remarquer une analogie entre Lantenac qui délivre les enfants par pitié à la Tourgue et le Lion dans « L’épopée du lion » de L’Art d’être grand-père puisque le lion libère finalement le jeune garçon face à l’affection de sa sœur alors qu’il n’a pas réagi face au chevalier et à l’ermite qui ont essayé plus tôt. L’histoire de 93 peut être expliquée de cette manière : « trois jeunes enfants, orphelins d’un insurgé royaliste et adoptés, dès les premières

patron de la Motown, une célèbre maison de disque. Mais que pourrait-il bien faire avec des enfants ? Il n’avait jamais travaillé avec des artistes aussi jeunes et cela ne l’intéressait pas.  Mais Joe Jackson ne renonce pas, il embarque ses cinq garçons et ils partent pour Detroit avec une seule idée en tête, forcer les portes de la maison de disque. Chose dite, chose faite, les cinq jeunes hommes passent une audition devant le grand Berry Gordy. A la fin de l’audition, durant laquelle le professionnalisme