Jean-Jacques Meyer

CANDIDE DE VOLTAIRE : LE CHAPITRE 30 LES PARTIES/ LES TITRES 1. Candide et Cunégonde se marient. (Premier paragraphe). 2. La petite communauté s'ennuie (-- « et n'en croyait rien »). 3. La rencontre de Paquette et du frère Giroflée. (--- « Philosopher plus que jamais. »). 4. La visite chez le derviche. (.. « Leur ferma la porte au nez »). 5. La vie politique à Constantinople et la vie paisible chez le vieillard turc (---« l'ennui, le vice, et le besoin. »). 6. Le dernier

de côté, on parle maintenant des SENTIMENTS. Il y a une influence liée aux événements historiques et liée à la révolte contre ce qui précède et il y a une influence liée au romantisme allemand (au roman noir anglais), les préromantique tels que Jean Jacques Rousseau, Chateaubriand, ont influencé ce courant qui naît vraiment vers 1830. Caractéristiques thématiques (contenu) : -Le mal du siècle(le mal de vivre que ressentait la génération romantique - Importance du lyrisme (expression des sentiments

l’auteur de l’Esprit des Lois considère que « dans un état populaire, il faut un ressort de plus (par rapport aux gouvernements monarchique ou despotique) qui est la vertu». Maximilien reprend encore en 1791 la définition de la République admise par Jean Jacques Rousseau lorsqu’il dit que « tout état libre où la nation est quelque chose, est une république…». Problématique Pourquoi, alors, la vertu telle que conçue par Robespierre est-elle la base des relations civiques dans une République

pourtant pas le cas de beaucoup de philosophes des Lumières, comme John Locke qui fonda la philosophie politique sur la loi de la nature (law of nature), Robert Boyle, auteur d’ouvrages sur la méthode expérimentale (voir philosophie de la nature), Jean-Jacques Rousseau (rêveries d’un promeneur solitaire), Samuel von Pufendorf (qui inspira la constitution des États-Unis), ou de nombreux courants de peinture au XIXe siècle (école de Barbizon, impressionnisme…). Dans les dernières décennies, de nombreux

Références bibliographiques : 1-Jean-Christophe MARCEL “Georges Gurvitch: les raisons d'un succès”. Un article publié dans la revue Cahiers internationaux de sociologie, vol. 110, janvier-juin 2001, pp. 97-119. Paris: Les Presses universitaires de France. : http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/ 2-Jacques Le Goff, Georges Gurvitch. Le pluralisme créateur, Michalon, coll. « Le bien commun », 2012, 125 p. 3-: Revues.org 4-Georges Gurvitch, « « Les cadres sociaux de la connaissance sociologique

Fiche de travail : Maxime Le Forestier , Johny Halliday Question 1 : Les chansons sont chantées par Maxime Le Forestier et Johny Halliday . Maxime Le Forestier est né le 10 février 1949 à Paris, est un auteur-compositeur-interprète français, il a commencé à exercer cette profession depuis 1968 . Il fut deux fois récompensé, une pour les Victoire de la musique de la chanson originale de l'année pour Né quelque part en 1988 et l’autre en 1966 pour les victoires de la musique de l’artiste interprète

différents marchands ambulants. En effet, ces derniers, allant de province en province, colportaient les informations et, par extension, les idées aux analphabètes. Les philosophes des lumières Français les plus connus sont Montesquieu, Voltaire, Jean-Jacques Rousseau, Denis Diderot et D’Alembert. Voltaire * Il est né en 1694 à Paris, sous le nom de François-Marie d’Arouet. Il étudie chez les Jésuites, au collège Louis le Grand à Paris. * C’est un des plus grands écrivains français : dramaturge

encourait les peines du carcan (collier de fer pour attacher un criminel au poteau d’exposition) ou des galères (travail pénible). Certains ouvrages ont ainsi été poursuivis et brûlés, comme les Lettres philosophiques de Voltaire en 1735, l’Emile de Jean-Jacques Rousseau en 1762 et l’Histoire des Indes de l’abbé Raynal. En Europe, c’est l’empereur Constantin Ier le Grand qui instaura un régime de censure religieuse, poursuivi avec violence par l’empereur Théodose Ier. De nombreux ouvrages et manuscrits

Du Citoyen, Hobbes. Chapitre I. Les facultés humaines peuvent être divisés en 4 catégories : la force physique, l'expérience, la raison et la passion. La société civile a pour origine la crainte mutuelle Les penseurs qui se sont penchés sur la question de la République affirment que les hommes sont nées prêt à vivre en société et qu'il leur faut seulement quelques lois pour vivre ensemble en paix. Or cet axiome est faux donc "L'homme n'est pas né apte à la société". Les hommes ne s'associent

Qu’est ce qui fonde ces « différences » ? Est-ce la pluralité des cultures générée au cours de l’histoire ? Le fait qu’il y est une multitude de culture crée-t-il des différences chez l’Homme ou au contraire n’est-ce pas facteur d’unité ? Jean Jacques Rousseau, dans Le discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes introduit une caractéristique de l’Homme qu’est la perfectibilité, c’est-à-dire sa capacité à évoluer. Or dans son évolution ce qui est commun aux hommes