Jean De Lery

cette œuvre est très longue, elle composée lors de sa version finale de 3 tomes comptant 107 chapitres. Ce livre est unique en son genre, pleins de questionnement et donne une approche du monde différente de celle de l’époque.4. a. Dans cet extrait Jean de Léry compare les cannibales du Brésil aux escrocs et usuriers occidentaux qui, certes, ne mangent pas directement leurs victimes mais qui les tuent à petit feux, leur retirant tout moyen de survivre. Cela détruit des familles entières et les sanguinaires

ou moins d'empathie à la vie des « sauvages »  deux ouvrages Jean de léry et Tupis : tupis jugement très sévère qu'il rencontre en particulier sur leur cannibalisme. Levy position bcp plus relativiste vit avec les tupinambas, il aprrend leur langue, concoit meme n dictionnaire tupi-francais en annexe de son récit de voyage. Levi Strauss horifier de ce qu'on fait les occidentaux a la baie de Guanabara « mais j'ai dans la poche jean de Léry bréviaire de l'ethnologue » heurter par le canibalisme mais

débat qui ne porte que sur un seul thème : la morale sexuelle Le Supplément s’inscrit dans la tradition des débats d’idée du XVIIIème siècle. Ce texte se rapproche des dialogues traditionnels avec le sauvage, dont l’origine peut se trouver chez Jean de Léry, auteur du XVIème siècle, et qui seront également exploités par Voltaire dans L’Ingénu. En effet, Diderot fait dialoguer et débattre un sauvage et le représentant emblématique de la pensée européenne : l’aumônier. Cependant, à la différence du

Épopée topographique : John Drayton, Polybion  : il s’agit de textes qui vont avoir une dimension épique qui vont englober le monde, le rendre compte à partir de la description du monde. Un récit de voyage du XVIe de Jean de Léry, terre de Brésil.Une représentation assez globale du monde. L’expérience de l’alephL’une des capacités du langage est la représentation, dire le monde. L’aleph met en œuvre cette limite de dire le monde. Un écart considérable entre l’expérience

comme la culture des peuples natifs d´Amérique. Nous pouvons voir un claire exemple de cela dans un texte écrit par Jean de Léry, nommé Histoire d´un voyage fait en la terre du Brésil. Jean de Léry était un pasteur genevois qui a voyager au Brésil et qui a parle avec un chef de la tribu Tupinambas, une tribu native de l´Amazonie, la où les européens cherchaient a accumuler de biens. Léry était surpris de l´incroyable sagesse que le chef Tupinamba avait, puisque le chef se demandait pourquoi les européens

voyage : M. Polo, H. Cortés, C. Colomb . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 – Les conditions du voyage : J. Cook, J. de Léry . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 – La découverte de l’autre : M. Polo . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82 – La description de l’inconnu : J. de Léry, M. Polo . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84 – Du réel à l’imaginaire : M. Polo, L.-A. de Bougainville . . . . . . . . . . . . . 86 – LECTURE D’IMAGE :

des faits historiques. La première fonction de la littérature, pour le lecteur serait de nous distraire, de nous échapper d’une réalité souvent dure et de nous faire rêver. Par exemple, à travers les récits fantastiques comme Jean de Léry , Les Indiens du Brésil qui nous fait découvrir l’Amérique ou encore Le Horla de Guy Maupassant. Dans les œuvres de fantaisie toutes les émotions n’en paraissent que plus fortes et plus réelles. Un livre traitant de culture, de civilisation ou

decourvertes sans doute inmenses et fantastiques qui firent rever les contemporains de l'epoque. les grandes découvertes stimulent le développement des relations de voyage, du XVIe au XVIIIe siècle. On se souvient ainsi du Voyage en terre de Brésil de Jean de Léry, et nous étudierons plus loin un extrait du Voyage autour du monde, dans lequel Louis-Antoine de Bougainville raconte, au XVIIIe siècle, ses expéditions dans l’océan Pacifique, et notamment la découverte de l’archipel de Tahiti. Plus tard

rencontré aux îles Bahamas. Un siècle plus tard, Jean de Léry met en scène son échange avec un vieillard rencontré au Brésil. Montaigne (contemporain de Jean de Léry) n’est pas allé dans le Nouveau Monde mais il en parle sur la foi des témoignages reçus. Les trois auteurs mettent en valeur la générosité de ces peuples, la gentillesse de l’accueil reçu. Ces peuples sont également désintéressés, peu attachés aux biens matériels. Le vieillard de Léry est présenté comme curieux. Il s’étonne de l’avidité

intitulé « Des Cannibales », Montaigne évoque les Tupinambas, peuple du Brésil récemment côtoyé par les français lors du voyage de Nicolas Durand de Villegagnon, gouverneur de la colonie de La France antarctique, et qui furent décrits notamment par Jean de Léry. Après avoir montré l'intérêt et la nécessité de se fier à de véritables témoignages sur ce « nouveau monde » (Montaigne a recueilli le témoignage d'un de ses hommes, « un homme simple et fruste, ce qui est une condition propre à garantir un témoignage