Jean De La Fontaine Plaire Et Instruire

LE CLASSICISME à travers Jean DE LA FONTAINE Ce matin-là de mars, veille des vacances de Pâques, un agneau se désaltérait tranquillement dans le courant d’une onde pure. La semaine précédente, j’avais appris que tout renard flatteur vit aux dépens du corbeau qui l’écoute. Et la semaine encore antérieure, une tortue avait battu un lièvre à la course... Vous avez deviné : chaque mardi et chaque jeudi, entre neuf et onze heures, les animaux les plus divers envahissaient notre classe, invités par notre

divertissement et enseignement. Dans la fable que nous allons étudier, « Le Pouvoir des Fables », La Fontaine parvient à intégrer deux fables dans une, afin de mieux dénoncer la légèreté parfois inconsciente des êtres humains. Nous allons étudier une fable de La Fontaine intitulée « le pouvoir des fables », tirée du livre, VIII, 4. Elle est dédiée à M. De Barillon, l’ambassadeur de Louis XIV. La Fontaine veut convaincre son interlocuteur, il doit persuader le roi d’Angleterre de l’inutilité d’une guerre

La laitière et le pot au l ait Nous allons faire le commentaire d’une fable de Jean de La Fontaine, La laitière et le pot au lait extrait de la 9em fable du livre VII dans le second recueil des Fables. Ce texte est paru au XVII siècles en 1678. Il appartient au courant littéraire du classicisme.Jean de La Fontaine est un poète contemporain de Louis XIV. Ce texte nous parle de la vie d’une paysanne,une jeune femme qui rêve beaucoup trop et qui découvrira que le retour à la réalité est parfois difficile

Commentaire de « La Cigale et la Fourmi » de Jean de La Fontaine Livre I, Fables, 1668 « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes », explique le fabuliste Jean de La Fontaine, appartenant au mouvement du classicisme, dans l’épître dédicatoire de son premier recueil de Fables paru en 1668. Dans ses fables, Jean de La Fontaine choisit comme personnages des animaux. Derrière chaque animal il existe une signification symbolique. C’est le cas dans « La Cigale et la Fourmi », première fable

savent parler tout en peignant le portrait de l’homme, ils visent à une portée générale. 2) Plaire et instruire est l’objectif qu’ils se donnent dans le but de corriger les mœurs. 3) Cette littérature se trouve dans des formes brèves comme Les fables de la Fontaine, Les maximes, Les pensées de Pascal. Les fables de la Fontaine : a. Biographie : Jean de La Fontaine (1621-1695) est le + grand fabuliste de l’époque classique. Issu d’une famille bourgeoise, il devient

ANALYSE du LIVRE VII des FABLES, 1668-1693, Jean de LA FONTAINE. I- Classement des fables. ● Celles dont les héros sont strictement des animaux : « Les Animaux malades de la Peste », fable 1. « Le Rat qui s’est retiré du monde », fable 3. « Le Héron », fable 4. « La Cour du Lion », fable 6. « Les Vautours et les Pigeons », fable 7. « Le Coche et la Mouche », fable 8. « Les deux Coqs », fable 12. « Le Chat, la Belette et le petit Lapin », fable 15. « La tête et

but de nous instruire, ou si elle peut aussi nous divertir, nous plaire? Nous verrons que certes, la fable a un aspect didactique et pédagogique, mais qu’elle prête aussi à un certain plaisir. Nous allons donc voir que les apologues nous instruisent tout d’abord en nous donnant un regard critique porté sur l’homme dans notre société. Anouilh qui critique ceux qui s’abaissent devant l’ennemi et renient leurs convictions avec sa parodie du « Chêne et le Roseau » de J de la Fontaine. Ici le chêne

fable « Le loup et le chien ». La fable est une forme d’apologue, qui comporte souvent un récit précédé ou suivi d’une morale. Les plus célèbres sont celles de Jean de La Fontaine, auteur du XVIIe siècle, qui connut un immense succès, sans doute par que ses fables répondaient à la grande doctrine du classicisme « plaire et instruire ». Dans « le loup et le chien », extrait du livre I des Fables publié en 1668, nous ne trouvons pourtant aucune morale explicite. En effet, cette fable est composé

ce qui lui vaut aujourd’hui encore une grande admiration. Cependant Voltaire se distingue de ses confrères philosophes du XVIII ème siècle par la particularité de ses récits divers et variés. En effet Voltaire ne met pas en fonction principale de plaire aux lecteurs dans ses œuvres, il souhaite leur apporter un enseignement, dont ils pourront plus tard se servir. Le géant Sirius dans son conte Micromégas l’affirme : « je ne veux pas qu’on me plaise…, je veux qu’on m’instruise. » Voltaire écrit des

chose par là nous peut être enseignée ? J’en vois deux, dont l’une est qu’entre nos ennemis Les plus à craindre sont souvent les plus petits ; L’autre, qu’aux grands périls tel a pu se soustraire, Qui périt pour la moindre affaire. Jean de La Fontaine, Fables, livre II, fable 9, 1668 Notes sur le texte : 1. chétif : faible. 2. excrément de la terre : ce qui est rejeté par la terre. Il s’agit d’une insulte méprisante. 3. à ma fantaisie : comme je veux. 4. sonna la charge