Jean Casimir-Perier

soit conservatrice et désignée par les notables locaux. Mais humilié par Thiers, son projet n'est même pas proposé au vote. Ce sont les républicains qui vont contre attaquer. Ils veulent entériner le caractère impersonnel du mandat présidentiel. Casimir Perier propose un gouvernement de la République composé de deux Chambres. Mais l'amendement est rejeté le 23 juillet 1874. Le bicaméralisme est accepté mais pas la République. Un nouvel essai est fait par Edouard Laboulaye le 21 janvier 1875. Malgré

ont tous était formé sous l’ancien régime et représente les deux grandes traditions de l’ancien droit les coutumes et le droit écrit la composition de cette commission reflète bien l’idée de compromis de Bonaparte. Portalis originaire de provence, jean étienne mary portalis a été avocat au parlement d’aix et à notamment plaider dans le procès de Mirabeau et son épouse et à aussi plaider dans le procès de Beaumarchais et il va s’eclipser durant la période de la révolution, dès 92 il imigre et et arrêter

lycéens fréquentent peu ceux d’un milieu différent. Le surréalisme (qui démolit l’image du réel) ne doit pas faire illusion: il touche peu de personnes. De la même manière les tendances nouvelles en matière scientifique contribuèrent peu à la formation (Jean Guitton). Il semble qu’à la veille de la seconde guerre mondiale, la bourgeoisie, dans sa diversité, vive dans l’expectative. Après la guerre, la bourgeoisie traditionnelle (notables et anciennes familles s’amenuisent). Dans le même temps un clivage

qu’est la souveraineté de l’Etat, puis qui dans l’Etat est titulaire de celle-ci. I. LA SOUVERAINETE DE L'ETAT A – NOTION a – Historique La souveraineté est une vieille idée conçue progressivement au Moyen-âge par les légistes, puis au XVIe siècle par Jean BODIN, et au XVIIe siècle par Charles LOYSEAU. 1° L’origine de la notion Les légistes sous PHILIPPE LE BEL (1285-1314) et ses successeurs, les Capétiens directs, veulent fonder l’autorité du Roi. Ils mettent en avant la notion de Souveraineté. Ils

Maurice, Marianne au combat, Paris, Flammarion, 1979. Bredin Jean-Denis, L’Affaire, Paris, Julliard, 1983. Chevallier Pierre, La Séparation de l’Église et de l’École ; Jules Ferry et Léon XIII, Paris, Fayard, 1981. Cholvy Gérard et Yves-Marie Hilaire, Histoire religieuse de la France contemporaine, Toulouse, Privat, 1985-1988, 3 t. Duroselle Jean-Baptiste, Les débuts du catholicisme social en France (1822-1870), Paris, PUF, 195 p. Mayeur Jean-Marie, Piétri Charles (†) et Luce, Vauchez André et Vénard

pas une évidence). A l'inverse, il faut que la majorité ne profite pas de son pouvoir pour imposer sa force à la minorité en question. Le principe démocratique repose donc sur un certain équilibre qui a mis plus d'un siècle à se mettre en place. Jean JAURES, 1908 : « La Révolution française a abouti ». La Restauration (1814-1830) : Conseils de lecture : – Pierre ROSANVALLON, La monarchie impossible (plutôt technique). La monarchie impossible. Autopsie d'un échec. La Restauration

est rejeté par le Sénat. La montée des périls Les parlementaires sont divisés sur l'allongement de deux à trois ans de la durée du service militaire. Poincaré, qui défend le service de trois ans, est élu Président de la République en février 1913. Jean Jaurès [Dossier Jaurès] défend le principe d'un service court [Contre la loi des trois ans]. La loi des trois ans est adoptée en juillet 1913. Les élections de 1914 sont un succès pour les radicaux-socialistes et les socialistes qui n’ont pas toutefois

d'après un manusc . de la Bibliothèque impériale ; avec des notes explicatives, et une notice historique contenant des documents originaux relatifs à la vie de Rabelais.. †† vol. 2 BONAVENTURE Contes ou nouvelles récréations etjoyeux devis, (des Périers ). avec les notes de la Monnoye et une notice de C. Nodier. 1 vol. NOEL DU FAIL... Propos rustiques, édit . de M. Marie Guichard .. SATYRE MENIPPÉE.. De la Vertu du Catholicon d'Espagne et Tenue des états de Paris , édition Labitte.. 1 vol . LE SAGE

orléanistes rejoignant les légitimistes, et cinq gouvernements se succèdent de 1893 à 1896. Cette instabilité gouvernementale se double d'une instabilité présidentielle : au président Sadi Carnot, assassiné le 24 juin 1894, succède le modéré Jean Casimir-Perier qui démissionne le 15 janvier 1895 et est remplacé par Félix Faure. Suite à l'échec du gouvernement radical de Léon Bourgeois en 1896, le président nomme Jules Méline, homme du protectionnisme sous Ferry. Son gouvernement prend acte de l'opposition

monarchie de juillet, principalement pendant des épisodes de crise auxquels il ne parviendra jamais à faire face. Le second parti, celui de la Résistance, correspond au centre droit de l’échiquier politique et qui est représenté par des hommes comme Périer, de Broglie et Guizot. Pour eux la Charte est un point d’aboutissement et ils souhaitent s’opposer à une évolution du régime, que cette évolution soit portée par la droite ou par la gauche. Le parti se donne la mission de garantir l’ordre établi.