Jean-Bruno Renard

la relative difficulté à maîtriser son avenir favoriserait la popularité du paranormal au sein de certains groupes. » « L'être humain essaie toujours de voir plus loin, il recherche le merveilleux caché derrière le réel » dit le sociologue Jean-Bruno Renard. Au-delà de la curiosité, du goût du merveilleux ou de la lutte contre l'incertitude, Alain bouchard, sociologue canadien de la religion, dit : « Les croyances permettent de s'inscrire quelque part, d'appartenir à un réseau. Les gens y adhèrent

vestimentaire est imposé par la mode, il ne dépend pas du goût personnel. L’homme est influencé par les médias, et par conséquent, il ne va plus mettre un vêtement qu’il aime s’il le sent très décalé par rapport à la mode. « La mode, c'est ce qui se démode » (Jean Cocteau), c’est pourquoi, il va considérer que ses habits sont démodés et il va devenir par conséquent esclave de la mode même si cette dernière est peu pratique, inconfortable ou laide. Ainsi chacun de nous va choisir ses vêtements en suivant la mode

se révéler cruelle et pleine de déconvenues. Cette fable est inspirée d’Esope : " En toute affaire il faut se garder de la négligence si l’on veut éviter le chagrin et le danger ".)) 6) Faites de même avec la morale de la fable de Jean Anouilh. ((En l’occurrence, il s’agit plutôt d’une satire sociale qui dénonce la vision « romantique » du milieu artistique, qui serait composé de gens naïfs et de philanthropes, du moins de gens désintéressés.)) 7) Pour chaque

scholas populaires du Congo, aux vertueux garants de la res publica, à tous les machiavéliens, Hommages rendus. AVANT- PROPOS Plus il avance en âge, plus la vie s’allonge, l’homme, même s’il est heureux, demeure toujours en quête de ce que Jean Anouilh appelle « le paradis perdu de l’enfance ». Nous nous souvenons de ces beaux jours où, habillé la plupart du temps en culotte et chemise blanches, nous fréquentions la CNSS[1] avec notre père. Dans les soirées éclaboussées par la belle lune

pour lui de sembler les avoir. D’où la maxime machiavélienne, « gouverner, c’est dissimuler ». A un ami qui nous posa la question de savoir pourquoi ceux qui travaillent sur la politique traitent toujours de la morale, nous répondions en citant Bruno Ntumba Muipatayi : « Ce qui nous a poussé à réfléchir davantage sur ce thème (morale et politique) est le contexte national et international où la politique semble truffée de mensonge, de démagogie, d’anarchisme et de meurtre. Dans notre culture luba

En 1972, Jean-Claude Vernier, qui gère déjà l'Agence de presse Libération (APL), a l'idée de fonder un journal populaire de gauche en s’inspirant de Pirate, un bulletin quotidien imprimé par Jean-René Huleu. En février 1973 Jean-Paul Sartre, Serge July, Philippe Gavi, Bernard Lallement et Jean-Claude Vernier fondent le journal Libération, qui refuse la publicité et les actionnaires financiers. Le premier numéro de quatre pages, paru le 18 avril 1973 sous la direction de Jean-Paul Sartre et

n’offre qu’un aperçu de l’œuvre du tandem Bernard/Roca qu’il conviendra de proposer aux lecteurs intéressés. BOLLIGER MAX – EINSIKAT KLAUS & Renard * Renard Salem-Marin Anne trad. Neis Lilo et La Joie de lire – 44 p. – 16,50 € Difficulté de lecture : niveau 1 à 2 L’ambivalence traditionnelle du renard se dédouble dans cette histoire: il y a deux renards, l’un courageux et l’autre peureux, l’un aventureux et l’autre casanier, l’un épris d’héroïsme et l’autre adepte de menus plaisirs. Un jour, le

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2009 EDITO BRUNO DUPETY Administrateur-directeur général de Soletanche Freyssinet très affectés en Angleterre, Espagne, Europe centrale, de l’Est et à Dubaï. Pour Menard, la baisse a été plus limitée, de l’ordre de 8 %. En revanche, Terre Armee a eu une activité en légère croissance, grâce en particulier à ses implantations en Amérique et en Inde. Dans les métiers de structures, Freyssinet a connu une activité égale à celle de 2008, portée par des commandes et des projets

en scène David Géry Avec Philippe Fretun Marie Matheron Donatien Guillot Julie-Anne Roth Geoffrey Carey Daniel Martin Eléonore Joncquez-Simon Pierre-Benoist Varoclier Kevin Lelannier Scénographie Jean Haas Lumières Pascal Sautelet Costumes Cidalia da Costa Maquillage-coiffure Sophie Niesseron Musique Jean Paul Dessy Bande son David Géry Assistante à la mise en scène Stéphanie Leclercq Conseil distribution Laura Koffler-Géry Production Espace des Arts, Scène nationale de Chalon-sur-Saône Coproduction

reprendre, rapidement, quatre traits caractéristiques de la rumeur, valables aussi pour les légendes urbaines : l’instabilité, l’implication, la négativité, et l’attribution. Pour cela, nous résumons d’abord la présentation succincte qu’en fait Jean-Bruno Renard et lui ajoutons ensuite quelques remarques recueillies chez d’autres chercheurs. Nous conclurons par un nouveau rapprochement entre nos deux notions de rumeur et de légende: • L’instabilité recouvre les phénomènes de modifica¬tion du contenu