Je vous trouve très beau

lesquels l’homme cherche à atteindre un certain résultat. Il nous semble qu’une œuvre d’art ne se confond pas à un objet quotidien. L’œuvre a plusieurs particularités, elle est unique, originale, et belle. La beauté c’est le caractère de ce qui est beau, ce qui provoque une admiration, de l’enthousiasme. Cependant Emmanuel Kant déclare que la beauté est le caractère de ce qui plait universellement. Ce philosophe nous demande de ne pas confondre la beauté, et la notion d’agréable. Ce qui est juste

essayer de vous démontrer que les complexes corporels chez les jeunes est un fait social que nous pouvons observer partout dans notre quotidien, de comprendre pourquoi et par quoi les jeunes sont ils amenés à être complexés tandis que d’autre se sentent très bien dans leur peau. (A compléter a la fin du travail en développant nos recherches). A l’adolescence c’est pricipalement des complexes physique ( puberté, corps qui change 2.1 Question de départ : Pour mener à bien notre recherche

recueil de poèmes, j’ai pu me rendre compte à quel point ce thème a été un sujet d'inspiration pour des romans, des fables, des poésies, des chansons et comme chacun de nous ressent un jour ou l'autre ce sentiment profond et sincère. J’ai trouvé mes poèmes dans différents recueils au C.D.I mais aussi sur internet. J’ai décidé de vous présenter ces poèmes par ordre chronologique.Le premier poème que j'ai choisi de vous présenter est un poème du 17ème siècle « Amitié fidèle »

Pourquoi ce qui est laid dans la vie ou dans la nature peut-il devenir beau dans une œuvre d’Art ? * Qu’on y prête attention ou non, l’Art nous entoure constamment. Comme le dit Murielle Burbery, romancière francaise , « L’art c’est la vie mais sur un autre ton ». En effet, Il est coexistant à la vie. Dès la préhistoire, l’homme « créait » en peignant des fresques sur les murs. L’Art permet de retenir l’instant fugitif et nous donne l’illusion d’échapper au temps. L’œuvre d’art procure

commençait à travailler vers 5 heures du matin et finissait le soir vers 19 heures. Il ne gagnait pas beaucoup d'argent juste de quoi se payer de la nourriture. Il habitait dans une toute petite maison pas très jolie. Un beau matin,le pêcheur se réveilla en sursaut,il avait rêvé qu'il avait trouvé un trésor. Il réfléchit et eut une idée,il allait donner au roi les pièces qu'il avait gardées de coté en échange de quatre soldats (heureusement pour lui le roi n'habitait qu'à une journée de marche). Il

guerrier (limite médiocre "il se contentait" de repousser les autres mais sans chercher à eteindre son royaume) Ce qu'il aimait s'était l'architecture, l'art, On nous décrit Nyssia, qui était montée sur un énorme éléphant. On nous décrit sa toilette, très riche et internationale, minuciosamente, mais son visage reste un mystère car il est voilé. II commence avec une description de Nyssia, incompréhensible tellement il s'emporte. En gros tout ce qu'on y dit ni se acerca a su verdadera beauté

simple et bonne raison qu’il m’intrigue . Est-ce une question rhétorique , une question philosophique ou est-ce même une question . Un titre intriguant pour un poème étrangement beau. 2) Mon poème préféré est l a dive bouteille car la contrainte que le poète s’impose est très amusante imaginer

Résumé des personnages -Quasimodo Quasimodo est un homme trés laid au corps difforme. Il est aveugle dans un oeil. Il a été abandonné quand il était jeune, personne n’en veut, donc Dom Frollo a dit qu’il prendrait soin du bossu. Quand Quasimodo a commencé à grandir il est devenu sonneur de cloches à la cathédrale de Notre-Dame de Paris. Appeuré de son maître, il n’est jamais vu par des autres mais un jour il a décidé de sortir de la cathédrale. Il a été élu par les gens comme le Pape des fous

Une histoire d'amour, un homme, une femme, une plage...oui, mais on est ici bien loin du chabadabada... J'ai failli m'ennuyer au début. Je trouvais l'écriture un peu démodée, datée, très « années 50 » si vous voyez ce que je veux dire. Des descriptions de salons, de mondanités, de toilettes, de convenances dans le milieu bourgeois du Bruxelles des années 50 et 60. Et puis je me suis laissée prendre dans les filets d'Emilienne, cette jeune fille si déterminée. Elle a tissé sa toile autour de

belle-mère nous a dit que son mari était un peu souffrant et qu’il n’apparaîtrait pas au déjeuner. Polie, je demandais si c’était grave, si le médecin était venu. – Non...non - Et mon futur beau-père, de la journée n’a pas daigné, ne serait-ce que quelque minutes, sortir de sa chambre ni venir me saluer. J’ai trouvé cela grossier et étrange. Je n’ai pas oublié non plus l’entrée triomphale que fit ma belle-mère le lendemain matin de notre première nuit passée à Villers au retour de notre voyage