Je veux vivre !

tu es sa fille, je ne crois pas qu’il te le pardonnerait. Ismène a décidé de suivre la voix de la sagesse en respectant ce qui a été imposé, tu devrais faire de même. ANTIGONE (désespérée) – Tu as raison, je ne veux pas trahir notre père… Quelques heures plus tard Ismene (arrivant dans le jardin affolée) – Arrête Antigone, qu’est-ce qu’il te passe par la tête ?! Tu ne peux pas enterrer notre frère, père te le feras

lue et relue, et que je connaissais par cœur depuis toujours, a été un choc soudain pour moi pendant la guerre, le jour des petites affiches rouges. Je l'ai ré-écrite à ma façon, avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de vivre. » Dès le prologue, le Chœur antique qui commente la pièce tout au long, annonce la couleur : on sait très bien qui va mourir, qui survivra, qui jouera un rôle, qui ne servira à rien, et les personnages sont alors répartis en deux grandes catégories :

et il a répondu heureux. C'est ce que tout le monde veux : être heureux. mais comment être heureux lorsqu'un évènement tragique nous arrives on se demande si un jour nous pourrons le devenir. Aujourd'hui encore je me pose cette question sur le bonheur car je pense qu'il faut le mérité ce bonheur mais… est ce que je le mérite vraiment ce bonheur que tous le monde souhaite ? J'en doute. Pourtant j'en ai envie, je le veux car je ne veux pas vivre dans la tristesse et la haine. Il existe plusieurs sorte

nature. Etre ce qu’on n’est pas ? Pour se prouver que l’Homme est capable de prouesse ? Pour se prouver à soi que l’on mérite de vivre. Seulement la vie est-elle méritoire ? Ne serait-elle pas un supplice, une condamnation. Je suis bel et bien condamnée à vivre. Aussi longtemps que mon corps tiendra. Je ne veux aucune implantation, aucune greffe, aucune chirurgie, je veux mourir aussi vite que je suis née. Seulement la mort, cette mort si espérée, ce soulagement de délivrance, m’effraie. Cette frayeur

essayent de vivre quand tu as peur de mourir Ils s'empêche de pleurer pendant que tu veux rire Au fond j'ai la rhétorique d'une miss France Je veux la paix dans le monde et je me fais croire qu'il y a une chance Et ils me disent : "Disiz sois malin, fais toi du fric Comme ça tu donnes tout à ces pauvres en Afriques" Oh quelle bonne idée ! personne n'y a pensé ! Dis moi ça change quoi au fond pour de vrai ? Je ne veux pas colmater les brèches Pour ça il faut vendre du rêve Je veux bousiller

m'importe ou la mort ou la vie ? J'aime, et je veux pâlir ; j'aime et je veux souffrir ; J'aime, et pour un baiser je donne mon génie ; J'aime, et je veux sentir sur ma joue amaigrie Ruisseler une source impossible à tarir. J'aime, et je veux chanter la joie et la paresse, Ma folle expérience et mes soucis d'un jour, Et je veux raconter et répéter sans cesse Qu'après avoir juré de vivre sans maîtresse, J'ai fait serment de vivre et de mourir d'amour. Dépouille devant tous l'orgueil

adolescent : Deux collégiens en classe de troisième discutent et débattent sur le sujet de l’adolescence. L’un trouve que cette période est « le plus belle age qu’on puisse avoir dans une vie » et L’autre que ce moment est difficile et douloureux à vivre. B- J’en ai marre de cette période que l’on appelle l’adolescence. F- Pourquoi ? B- Tout le monde se moque de moi à cause de ma voix qui commence à muer et tous les boutons que j ai sur le visage et sur le dos. F- Mais ne t inquiète pas

Feront place à l'arc-en-ciel Brillera, enfin, la perle au mille pouvoirs Toutes les étoiles, scintilleront comme des soleils Pour illuminer la terre à la tombée du soir Nous sommes prêtes, l'heure a sonnée Le vent du sud l'a annoncé Viens si tu veux t'envoler L'aventure, va commencer Nul ne sait ce qu'il y a au bout du voyage Nous traverserons les tempêtes et les orages Les gardiens des rives et les plages La perle magique, nous donne tous les courages Elle est à toi cette mélodie enchantée

il n'y a même que le merveilleux qui soit beau. » « L’homme propose et dispose. Il ne tient qu’à lui de s’appartenir tout entier. » « C'est vivre et cesser de vivre qui sont des solutions imaginaires. L'existence est ailleurs. » « C’est peut-être l’enfance qui se rapproche le plus de la vraie vie. » « Je ne veux pas changer les règles du jeu, je veux changer de jeu. »

qui nous échappent, nous sommes tellement inattentifs... Parfois nous croisons quelqu'un, il suffit de quelques mots échangés, et nous savons que nous avons à vivre quelque chose d'essentiel ensemble. Mais il suffit d'un rien pour que ces choses là ne se passent pas et que chacun poursuive sa route de son côté. Ma grande raison de vivre c'est elle, si tout le reste périssait et qu'elle demeurât, je continuerais d'exister ; mais si tout le reste demeurait et qu'elle fût anéanti , l'univers me deviendrait