Jardin japonais

A pas de velours Il est de retour Le chat Ce voleur d'amour Le chat noir de la palissade Le chat noir de la palissade Promène son museau partout, C'est un pirate en ambassade, Le chat noir qui s'en vient chez nous. Dans le jardin ou sur le toit, En mille et une escapades De tous côtés, il est le roi. Il est le tigre du Bengale Et le prince des maraudeurs, Sa moquerie est sans égale: Ce chat-là est un chapardeur. Il faut le voir, cet escogriffe, Ce

Conçu par les paysagistes Alain Provost et Gilles Clément, et les architectes Patrick Berger, Jean-Paul Viguier et Jean-François Jodry, le parc s'étend sur 14 hectares divisés en trois parties : le grand parc central (11 hectares), le Jardin blanc (1 hectare) et le Jardin noir (2 hectares). 1.Contexte historique C'est en 1914, afin de soutenir l'effort de guerre, qu'André Citroën obtenu l'accord de construire la grande usine Citroën d'où sortirent des modèles de voiture célèbres, telles que la Trèfle

Résumés d'urba TEXTE 1: Bref rappel de l'évolution des jardins en Europe. Période romaine: Depuis leurs origines jusqu'à la fin de la république, les villes romaines ont gardé longtemps un caractère rural (agricole) et sont situées dans des zones fertiles de plaine => paysage basé sur la notion d'utilitas On peut remarquer qu'il y a eu au fil du temps une décadence progressive de l'agriculture qui a été remplacée par une économie plus commerciale et industrielle -> ville devient autonome

Nantes / Bordeaux = villes gothiques. Les amateurs font construire des hôtels avec un déblaiement de l'espace à Nice qui permet un accroissement du commerce. Les habitations sont aérées et on voit apparaître des jardins. La hauteur des bâtiments a augmentée et les loyers sont plus chers. Le jardin des Tuileries est ouvert au public. Paris voit naitre des folies comme des maisons de campagne aux abords de la ville. La capitale est un modèle pour les autres villes. Mais le problème des eaux donne peu de

offrir quant aux loisirs, aux moments privilégiés, tout en respectant la nature. Réalisée par Émile Aillaud, la cité des Courtillières est l'un des grands chantiers des années 1950-1960. Espace de près de 57 hectares, couvert de terres agricoles et de jardins ouvriers, la cité des Courtillières est dans un premier temps marquée par la construction rapide et urgente de 145 logements, puis Émile Aillaud est désigné pour être l'architecte en chef de son projet prévoyant 791 habitats, afin de, comme il le

en 1637, pour devenir jardinier du roi en 1645, quatre ans après il devient contrôleur des bâtiments royaux. En 1649 il redessine le jardin des tuileries. Il est l’auteur de ce que l’on appelle « Jardin à la française ». L’agencement des éléments traditionnels s’y trouve repensé avec une science et une harmonie nouvelles donne ce style si particulier. Dans ces jardins, de grandes allées dessinent des motifs géométriques autour des demeures pour les mettre en valeur. Les différents éléments comme les

hamsters et oiseaux. Il y a aussi une « Poussinière » pour la vente des volailles, lapins, canards, pintades… et un rayon réservé à l’apiculture. -Rayon Jardin : Propose plus de 500 références, vend tout ce qui produits phytosanitaires (pesticides, engrais, graines de semences, solutions contre les maladies des plantes…), outillages de jardin, les pots de fleurs, joins pour l’irrigation… -Rayon Pépinière : concerne toutes sortes de plantes, avec à disposition une grande variété de plantes adaptées

encore a Aachen et Wiesbaden en Allemagne… Ces bains devinrent des centres de grande importance pour la communauté Romaine, pour ses loisirs comme pour son développement social. Des bibliothèques, des halls de lecture, des gymnases et des jardins devinrent parties intégrantes de ces ensembles. A ceci les Romains ajoutèrent l’utilisation des sources chaudes pour le soulagement de leurs souffrances comme les rhumatismes, l’arthrite, les abus de nourriture ou de boisson. En 337 après JC, le

encore un mois à Yonville » II, 3 « Ce fut un dimanche de février, une après-midi qu’il neigeait. » II, 5 « On était au commencement d’avril, quand les primevères sont écloses ; un vent tiède se roule sur les plates-bandes labourées, et les jardins, comme des femmes, semblent faire leur toilette pour les fêtes de l’été. » II, 6 « Il ne se hâta point. Chaque jour, durant tout un mois, Hivert transporta pour lui d’Yonville à Rouen, de Rouen à Yonville, des coffres, des valises, des paquets ;

d’avoir vu quelque chose, mais quand il sans n’approche, il n’a plus rien, donc il croit qu’un fantôme ou quelque chose d’invisible le hante et lui fait voir des hallucinations. À un moment de l’histoire, le personnage dit qu’il voit une fleur de son jardin se couper elle-même et s’élever dans l’air a quelque pas de lui, mais quand il cour ver cette fleur pour l’attraper, elle disparait. Il sent aussi souvent la présence du fantôme sur lui, par exemple, quand il était coucher et il disait qu’il sentait