Jacques a dit

1 Élise est mélancolique, car elle a peur de trop aimer Valère. Elle a peur des reproches de son père et de sa famille, mais aussi que Valère ne l’aime plus. Valère tente de la rassurer, que jamais il ne cessera de l’aimer. Élise a peur, car les hommes sont froids et ont tendance à mentir. Valère ne veut pas qu’elle le compare à tous les hommes, et qu’elle le juge par ses propres actions. Élise admet qu’elle tient Valère pour être fidèle envers elle et se dit facilement influençable par les gens

canadienne. Victor, Julie, Charlotte et Jacques se prépare pour leur saut de 20 000 pieds. Et ils tardent à décider s'ils veulent faire leur saut à partir d'un avion, d'un hélicoptère ou d'une montgolfière. Les quatre amis étaient à bord de l'avion et la porte venait de s'ouvrir. Puis finalement le technicien leur dit : " C'est beau vous pouvez sauter ! " Trois secondes après, ils sont en chute libre. Mais le malheur arrive, Jacques n'arrive pas à s'accrocher à Julie et leur saut en voile contact

Havre, en déplacement à Paris est dans une chambre que lui prête la mère Victoire, près de la gare du quartier de l'Europe. Il attend sa jeune femme Séverine qui doit le rejoindre après avoir profité des magasins de la capitale. Celle-ci finit par arriver et le couple se met à table, joyeux de se retrouver là. Roubaud explique que l'affaire que l'a conduit à Paris est réglée (une dispute avec le sous-préfet à propos d'une place dans un train). Il admet que c'est grâce à l'intervention de sa femme

Confessions : La profession de foi "Ma naissance fut le premier de mes malheurs" ; "Je naquis infirme et malade" ; "J'étais né presque mourant" ; "J'apportais le germe d'une incommodité que les ans ont renforcée". La mère de Jean-Jacques Rousseau est décédée à sa naissance, il a été élevé par une sœur de son père : "Chère tante, je vous pardonne de m'avoir fait vivre." Justification de l'écrit : se justifier, tout dire. Voir le lexique : "Trompette du jugement dernier"… "souverain juge… Je me suis

Roubaud, sous-chef de gare au Havre, est à Paris et loge dans une chambre prêtée par la mère Victoire. Il attend sa jeune femme Séverine qui doit le rejoindre après fait les magasins. Celle-ci arrivée, ils se mirent à table. Roubaud explique que ce qui l'a conduit à Paris est réglée (une dispute avec le sous-préfet pour une place dans un train). Il admet que c'est grâce à sa femme que tout s'est arrangé.Alors qu'elle n'était qu'une enfant, Séverine a perdu sa mère, puis son père qui était le jardinier

Il y avait, vers l'an 1663, à quelques centaines de pas de Saint-Omer, une maisonnette assez bien bâtie, dont la porte s'ouvrait sur le grand chemin de Paris. Une haie vive d'aubépine et de sureau entourait un jardin où l'on voyait pêle-mêle des fleurs, des chèvres et des enfants. Une demi-douzaine de poules avec leurs poussins caquetaient dans un coin entre les choux et les fraisiers ; deux ou trois ruches, groupées sous des pêchers, tournaient vers le soleil leurs cônes odorants, tout bourdonnants

Jacques Prévert est un poète du 19eme français auteur du recueil de poème paroles. Poème étudier : «  l’effort humain » «  pater noster » écriture sainte » « la crosse en l’air » «  vous allez voir ce que vous allez voir » Dans l’effort humain jacques Prévert déshumanise l’être humain, il lui donne une apparence déplaisante pour cela il se sert des champs lexical de la souffrance il utilise des mots comme « touché au poumon », « salaire maigre », « bandage herniaire », « cicatrices des combats»

Vaillant Dorian 1ere ES ² Jacques Brel est auteur, compositeur et interprète de cette chanson. Album : Le plat pays Année : 1989 Analyses : a) Le thème de la chanson est la vieillesse et la fuite du temps, il présente une vision réaliste et pathétique de la vieillesse, dans cette chanson il sous entend que la mort est le seul échappatoire de la vieillesse et décrit la vie banale des « vieux » comme un combat constant contre le temps .Il décrit aussi les faiblesses physiques et

Situation du passage : Le maître de Jacques parvient au terme de son voyage, chez la nourrice de l’enfant dont il a dû bien malgré lui endosser la paternité. A peine a-t-il mis pied à terre qu’un homme sort de la maison. C’est le Chevalier de Saint-Ouin, son rival heureux auprès d’Agathe et le véritable père de l’enfant. Un duel s’ensuit aussitôt. Le chevalier est tué. Le maître s’enfuit au galop. Jacques est, quant a lui, arrêté, jugé, jeté en prison. Diderot déclare terminer son récit ici. Axes

j’écris pour la vérité serait peut-être moins dans l’erreur que celui qui le prendrait pour une fable. » Avec Jacques le fataliste et son maître, Diderot se défend d’écrire un roman ; à l’inverse, il entend en dénoncer les codes et les artifices en les parodiant et en prenant clairement positions contre eux dans son œuvre. En quoi Jacques le fataliste est-il un anti-roman ? Nous répondrons à cette question en commençant par nous pencher sur le refus des codes du roman, et la frustration des attentes