J'accuse…!

dans un cinquième Acte digne d'une tragédie grecque et dans lequel Cyrano meurt sous les yeux malheureux de Ragueneau, Le Bret et Roxane. Historiquement, la pièce a été écrite alors que l'affaire Dreyfus défrayait la chronique (ce fut avant le « J'accuse » d'Emile Zola). « Dans un tel contexte, cette pièce, grandiose, héroïque, dépeignant un héros qui se bat même lorsque c'est inutile, fut ressentie comme une bouffée d'oxygène dans une époque troublée, et comme un exemple à suivre.

des dames en 1883 Germinal en 1885 L'Oeuvre en 1886 Convaincu que le véritable coupable de l’affaire Dreyfus est le commandant Esterhazy, qui est acquitté à l’unanimité le 11 janvier 1898, Zola publie dans L’Aurore deux jours plus tard l’article J'accuse. Condamné à un an d’emprisonnement et à 3 000 francs d’amende, il doit quitter la France le 18 juillet 1898. A son retour, en 1899, injurié, radié de l’ordre de la Légion d’honneur, abandonné par une grande partie de ses lecteurs, il meurt asphyxié

devient ainsi chef de file du courant naturaliste, qui compte aussi dans ses rangs Maupassant ou Huysmans. Lié au socialisme, Zola se passionne également pour la politique : il prend parti pour Dreyfus dans un célèbre plaidoyer paru sous le nom de « J’accuse » en 1898. Cet article lui vaudra un procès et un exil en Angleterre. Il meurt dans son appartement parisien en 1902, dans des conditions qui ont pu paraitre suspectes étant donné le nombre important d’ennemis que lui ont amené ses prises de positions

conséquences parce que certains vont commencer à l'insulter et il y aura des pages de journaux sur lui. Mais il disait qu'il savait ce qui risquait en partageant ses idées et qu'il ne regrette pas. Par exemple, il a écrit une lettre ouverte qui s'appelle J'accuse ! En se basant sur un procès de l'époque et cela a eu plusieurs controverses mais il a dit que cette lettre est sorti comme un cri et qu'il avait besoin de la partager. Pour terminer, Émile Zola, meurt en 1902 à l'âge de 62 ans. Il est considéré

Œuvres principales Thérèse Raquin (Roman1867) Les Rougon-Macquart (fresque romanesque) dont L'Assommoir (1876), Nana (1879), Germinal (1885) Le Roman expérimental (Essai, 1880) Compléments Engagement en faveur d'Alfred Dreyfus avec J'accuse...! paru le 13 janvier 1898 Inhumation au Panthéon de Paris le 4 juin 1908 Émile Zola, né à Paris le 2 avril 1840, mort à Paris le 29 septembre 1902, est un écrivain, journaliste et homme public français, considéré comme le chef de file du

l'arrête. Quoi que fassent les dreyfusards, ils n'arrivent pas à se faire entendre de la justice. Chaque personne qui pourrait aider Dreyfus est écartée. Zola va se faire entendre : le 13 janvier 1898, il publie dans « l'Aurore » la célèbre lettre « J'accuse... ! » au Président de la République. Cet article fait l'effet d'une bombe et « L'Aurore » se vend à trois cent mille exemplaires[15]. Zola y rassemble tous les faits de l'Affaire Dreyfus et accuse les principaux concernés. Son objectif est de provoquer

dreyfusards mais ils restent déterminés à défendre l'honneur de l'armée. Quel écrivain célèbre a pris position dans cette affaire, dans quel camp ?Emile Zola a pris position dans cette affaire, il a révelé ce scandale dans un article avec comme titre « j’accuse ». Il était dans le camp des dreyfusards. | Illustration : Capitaine Dreyfus. |

en restant une parole individuelle (celle du journaliste qui le signe) -le billet d'humeur est une courte chronique où le rédacteur s'adresse en son nom à une ou plusieurs personnes, sur un sujet d'actualité -la lettre ouverte : cf. le célèbre J'accuse, de Zola, paru dansl'Aurore. Les formes indirectes ou obliques: -la fable (La Fontaine) ; -le conte philosophique (Voltaire, Candide) ; -l'apologue (récit souvent bref contenant un enseignement : on voit que les deux premières formes

leader vietnamienn Ho Chi Minh. Il publie ensuite un autre journal La République Algérienne pour défendre et faire connaître ses positions. J’Accuse l’Europe Le 20 septembre 1947 les élus UDMA démissionnent de l’Assemblée nationale, en réponse au statut de l’Algérie adopté par cette dernière. Ferhat ABBAS publie alors son célèbre pamphlet J’Accuse l’Europe dans lequel il lance : « Quand les nationalistes français nous offrent le culte de Jeanne d’Arc ou tout simplement celui de sainte Geneviève

Rubrique France : ALGER A TROUVE SA TETE DE TURC ET VA BIEN VITE LA TRANCHER ! J'accuse la cour d'assises d'Alger d'avoir condamné à mort un homme au nom d'une société guidée par des principes moraux arbitraires ! De quoi est coupable M. Meursault? D'avoir tué un homme ou d'avoir enterré sa mère sans la pleurer ? Le crime de M. Meursault a été jugé hier par la cour d'assises d'Alger. Coupable de ne pas avoir enterré sa mère selon les codes moraux d'une société à laquelle il était