J'accuse…!

extra-européens ainsi que la violence et les injustices présentes dans les colonies.De même, d’autres écrivains s’engagent dans certaines affaires et défendent ainsi des personnes ou des principes. Zola, dans un article de presse de 1898 écrit « J’accuse … !» une lettre ouverte dans laquelle il prend position dans l’affaire Dreyfus. Son article polémique prend la forme d’une lettre ouverte au président de la République dévoilant ses talents d’orateur. En effet, il y utilise de nombreux procédés oratoires

pensez-vous la littérature incite l’homme à se révolter ? En ces temps de crise, les individus commencent à se révolter, en cherchant différentes manières pour pouvoir accéder à leurs libertés (liberté d’expression, liberté culturelle). La littérature est a moitié mise de coté, par la fermeture des théâtres, des bibliothèques ou autres. Mais en contre partie, les librairies sont encore ouvertes. La littérature incite-t-elle l’homme à se révolter ? La littérature est un ensemble d’œuvres écrites

l’influence du milieu social. Selon Zola, l’auteur est un savant dans un laboratoire : il soumet ses personnages à des expériences scientifiques Emile Zola (1840-1902) Ses romans célèbres: Germinal, l'Assommoir, Nana La conscience sociale de Zola: J'accuse (défense de Dreyfus) Quelques œuvres naturalistes : Edmond et Jules de Goncourt : « Germinie Lacerteux » (1865) Zola : « Thérèse Raquin » (1867) Huysmans : « A vau-l’ eau » (1882) Maupassant : « Une Vie » (1883), « Bel-Ami »(1885) Les Rougon-Macquart

chargé d'une dimension critique comme dans l'essai sur le goût de Montesquieu, la lettre ouverte qui est adressée a un destinataire particulier ou collectif qui est publiée dans un journal. Zola illustre parfaitement ce dernier type avec son article J'accuse.   La critique est aussi l'un des procédés utilisés pour changer l'homme et la société.  Les philosophes des Lumières ont participé au renouvellement du savoir tout au long du XVIII° siècle. Ils ont également lutté contre l'oppression religieuse

d'une époque et d'une génération particulière fait l'objet d'un roman. Les dernières années de sa vie sont marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'Aurore, de l'article intitulé « J'accuse » qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres dans la même année. Sommaire[masquer] * 1 Biographie * 1.1 Enfance et adolescence provençale (1840 – 1858) * 1.2 Vie de bohème (1858 – 1862) * 1.3 À la découverte

de son ami Paul Alexis. Octave Mirbeau intitule même un article sur Zola à la une du Figaro : « La Fin d'un homme ». Le 13 juillet 1893, Raymond Poincaré le fait officier de la Légion d'honneur. Mais, en raison de sa condamnation consécutive à « J'accuse », Zola est suspendu de l'ordre de la Légion d'honneur le 26 juillet 1898 et n'y sera jamais réintégré. Par ailleurs, il est présenté à la Société des gens de lettres par Alphonse Daudet en 1891, et accueilli en son sein « exceptionnellement

femme ; elle lui donne deux enfants : Denise (1889) et Jacques (1891). Fervent dreyfusard Retour au journalisme politique et engagement décisif dans l'affaire Dreyfus. Zola publie à la une de l'Auroreune lettre ouverte au président de la République : J'accuse…! (1898) . Condamné pour diffamation, il s’exile à Londres (1898-1899) pour se soustraire à la prison. Il écrit encore la Vérité en marche (1901) en faveur de la réhabilitation du capitaine Dreyfus. Dernières années 19 candidatures pour être élu

titanesque entièrement consacré à la condition du peuple et des ouvriers avec les Rougon-Macquart, il n’hésitera pas à prendre partie dans l’affaire Dreyfus avec la très célèbre lettre « J’accuse ».Les conséquences de l'engagement de Zola ont été à la fois positives et négatives pour l'écrivain. Il apparaît évident que « J'Accuse...! » a totalement relancé l'Affaire, et lui a donné une dimension sociale et politique qu'elle n'avait pas jusqu'alors. Zola sort donc de ses démêlés judiciaires avec une stature

limite de la guerre civile. Alfred Dreyfus est arrêté après avoir été accusé d’avoir transmis des infos confidentielles à l’Allemagne . Le vrai coupable était le commandant Esterhazy . La France fut divisée entre dreyfusards tel Emile Zola qui publie j’accuse le 13 janvier 1898 et antidreyfusards Dreyfus fut condamné et dégradé de manière précipitée, et sa situation ne deviendra une réelle « affaire » qu’après sa déportation en Guyane. Les antidreyfusards sont ceux qui s’opposent à la révision du procés

extra-européens ainsi que la violence et les injustices présentes dans les colonies.De même, d’autres écrivains s’engagent dans certaines affaires et défendent ainsi des personnes ou des principes. Zola, dans un article de presse de 1898 écrit « J’accuse … !» une lettre ouverte dans laquelle il prend position dans l’affaire Dreyfus. Son article polémique prend la forme d’une lettre ouverte au président de la République dévoilant ses talents d’orateur. En effet, il y utilise de nombreux procédés oratoires