J Eleve Mes Regards Alfred De Vigny

commence à se faire sentir." [ Tristan Bernard ] "La culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale." [ Françoise Sagan ] "L'Internet serait une toile comme les autres si elle n'avait ses millions d'araignées..." [ Maxime Allain ] "Je regarde la carte des vins pour éviter les bouchons." [ Raymond Devos ] "L'amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. A partir de quoi il m'apparaît urgent de me taire." [ Pierre Desproges ] "Si l'administration militaire était bien faite

commence à se faire sentir." [ Tristan Bernard ] "La culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale." [ Françoise Sagan ] "L'Internet serait une toile comme les autres si elle n'avait ses millions d'araignées..." [ Maxime Allain ] "Je regarde la carte des vins pour éviter les bouchons." [ Raymond Devos ] "L'amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. A partir de quoi il m'apparaît urgent de me taire." [ Pierre Desproges ] "Si l'administration militaire était bien faite

profond changement de la littérature française. C'est un autre monde, une autre mentalité et sans doute un rejet de l'ordre hiérarchique. On ironise sur les fameuses vertus courtoise que l'on va facilement tourner à la dérision. Une dérision avec un regard réaliste porté sur la société même dans ses travers les plus sombres : une volonté de les mettre en scène avec une pointe satirique. → Apparition du « rire ». Il devient au cœur de ce type de littérature. Il s'agit en fait de tourner en dérision

elle perdit toute sa raison au moment qu’elle le vit ! Comme… etc. Je croy que l’on trouvera dans tout cela et plus de beauté et plus de délicatesse d’imagination, que n’en ont de vrais bergers. Mais je ne sçay pourquoy Theocrite ayant quelquefois élevé ses bergers d’une maniere si agreable, au dessus de leur genie naturel, les y a laissé retomber tres-souvent ; je ne sçay comment –5– BERNARD DE FONTENELLE il n’a pas senty qu’il falloit leur ôter une certaine grossiereté qui sied toûjours

la plus vertu Dont[1] souvent mal monté[2] mal sain[3], et mal vêtu, Sans barbe[4] et sans argent, on s’en retourne en France Autre portrait satirique : sonnet 86 : de retour en France face aux mêmes courtisans Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon œil Ces vieux singes de cour, qui ne savent rien faire Sinon en leur marcher les princes contrefaire Et se vêtir comme eux, d’un pompeux appareil[5] (…)Mais c qui plus contre eux quelquefois me dépite C’est

d’écrire. Sa carrière d’écrivain, reconnu, semble démarrer avec la publication en 1829 de Physiologie du mariage qui lui permettra d’entrer dans les meilleurs salons littéraires de Paris.   Il rencontre d’autres écrivains célèbres comme Victor Hugo, Alfred de Vigny, Alexandre Dumas ainsi que le peintre Delacroix et vit une vie de luxe et de mondanité. A part ça, Il a une grande idée et pense déjà à réunir ses œuvres son un même ouvrage qu’il intitulera plus tard : La Comédie Humaine. Ses dettes le poussent

Byron. Dans Caïn, Byron fait du diable un être beau et désirable, complice du meurtrier Caïn qui voit dans le meurtre de son frère un acte de rébellion. Pour les auteurs de l’époque, Satan n’a d’autre moyen de s’affirmer que de s’opposer à Dieu. Alfred de Vigny, lui, met en valeur la douleur d’un sort immérité. En 1822, il fait de Satan le héros d’un poème où il justifie la révolte du protecteur de l’homme. Avec Eloa ou la Sœur des anges, en 1824, il ira plus loin et met la souffrance de l’ange déchu

sentimentale, plus énergique et qui soit l’expression de la société (Germaine de Staël). Cette littérature doit se libérer des contraintes du clacissisme. Le mouvement romantique en France est conduit par Chateaubriand, Lamartine, Victor Hugo et Alfred de Vigny. Les romantiques privilégient la sensibilité et ils découvrent leur je, leur subjectivité, ce qui explique la prolifération d’oeuvres plus ou moins autobiographiques. Ce je est divisé, complexe et à la recherche d’une unité. Les romantiques

dramatique. o L’opposition entre le vide extérieur et richesse intérieure : le bruit de notre univers intérieur ; nos paysages intérieurs ; l’âme humaine présentée par les gardiens comme objet privilégié des sens mais aussi comme terme (ne pas trop se regarder de près) de ces mêmes sens (fermer les yeux sur notre univers intérieur). Les verbes d’opinion je pense ; nos oreilles devraient ; on devrait les présentent comme des entités moralisatrices, plus que comme des gardiens. o Les gardiens orientent leur

dramatique. o L’opposition entre le vide extérieur et richesse intérieure : le bruit de notre univers intérieur ; nos paysages intérieurs ; l’âme humaine présentée par les gardiens comme objet privilégié des sens mais aussi comme terme (ne pas trop se regarder de près) de ces mêmes sens (fermer les yeux sur notre univers intérieur). Les verbes d’opinion je pense ; nos oreilles devraient ; on devrait les présentent comme des entités moralisatrices, plus que comme des gardiens. o Les gardiens orientent leur