Ivresse

l’Ecclésia et de la vanité des hommes politiques (les femmes pensent qu’il faut mettre une couronne pour pouvoir parler) et dénonce les décisions incohérentes et les incompétences des citoyens élus (les femmes pensent qu’ils doivent forcément être ivres pour prendre de telles décisions). Mais Aristophane ne fait pas que des reproches aux citoyens de l’Ecclésia. Par cette fable, il critique aussi ses concitoyens athéniens qui choisissent de mauvais dirigeants. Cette assemblée est facilement manipulable;

cette écume, vierge vers À ne désigner que la coupe; Telle loin se noie une troupe De sirènes mainte à l’envers. Nous naviguons, ô mes divers Amis, moi déjà sur la poupe Vous l’avant fastueux qui coupe Le flot de foudres et d’hivers; Une ivresse belle m’engage Sans craindre même son tangage De porter debout ce salut Solitude, récif, étoile À n’importe ce qui valut Le blanc souci de notre toile. Stéphane Mallarmé Les coquillages Chaque coquillage incrusté Dans la grotte où nous

fugitif/échec éternel -Pronoms: « Moi, je » v6= fin de la description, centralisation sur émotion auteur (lyrisme) tutoiement v11= fasciné, séduit, auteur est intime avec inconnue -Verbes: « Je buvais...dans son œil » v6= boire, ivresse, folie (cf extravagant v6) conditionnel passé v14= échec définitif Synthèse: homme subjugué, surpris donc vers saccadés, femme sereine, majestueuse donc vers fluides. Sonnet plein de détails nécessaires à l'interprétation. Schéma

les soldats républicains. Composé le 14 juillet 1794. parole : La victoire en chantant nous ouvre la barrière.La Liberté guide nos pas.Et du nord au midi, la trompette guerrièreA sonné l'heure des combats.Tremblez, ennemis de la France,Rois ivres de sang et d'orgueil !Le Peuple souverain s'avance ;Tyrans descendez au cercueil. Chant des guerriers (Refrain)La République nous appelleSachons vaincre ou sachons périrUn Français doit vivre pour ellePour elle un Français doit mourir. Une mère de

ses camarades de la célèbre Dorothée. Infailliblement elle le priera, la simple créature, de lui décrire le bal de l'Opéra, et lui demandera si on peut y aller pieds nus, comme aux danses du dimanche, où les vieilles Cafrines elles-mêmes deviennent ivres et furieuses de joie; et puis encore si les belles dames de Paris sont toutes plus belles qu'elle. Dorothée est admirée et choyée de tous, et elle serait parfaitement heureuse si elle n'était obligée d'entasser piastre sur piastre pour racheter

Eléments de sens les plus importants Caractères stylistiques (procédés grammaticaux et stylistiques) les plus signifiants Thèmes évoqués: passion, destruction, mort, beauté, spleen - Femme représente, incarne la beauté - Passion destructrice, ivresse provoquée par la beauté de cette passante - Homme est envouté, comme en extase devant cette belle femme - Femme le tire de son ennui et son dégoût de la vie (spleen), elle est la forme concrète de son idéal qui le sauvera de son ennui mortel.

chez les jeunes enfants (à l’école ou pendant les premières années de collège) est très préoccupante. Cette prise d’alcool est volontiers méconnue. Elle est socialement inacceptable et donc cachée. Les études dans le domaine retrouvent pourtant des ivresses bien avant le collège chez les enfants les plus à risque. Les enfants ou adolescents buvant de l’alcool en cachette se trouvent en situation d’échec scolaire. Ils sont en butte à diverses violences et exclusions qui en retour renforcent encore plus

narrateur insiste sur les attouchements brutaux qu'il lui fait ainsi que ses baisers voraces dans l'intention de choquer le lecteur par l'attitude du jeune homme. 6) Les oxymores qui expriment la désillusion de Jeanne sont : « désillusions d'une ivresse rêvée, attente détruite, félicité crevée ». Les tapisseries symbolisent ironiquement cette désillusion car elles représentent « les vieilles légendes d'amour ». 7) Elle s'est rendu compte qu'il s'était endormi. Elle est devenue complètement transparente

de milliers de bœufs pour mardi-gras, et elle invite des amis pour ce repas trop imposant pour elle. Malgré son état et les remontrances de son mari, Gargamelle ne peut résister aux tripes et au vin. Ils dansent, chantent, commencent à se disputer. Ivres, ils tiennent des propos incohérents. Pendant la beuverie, Gargamelle ressent des contractions et met au monde de manière insolite Gargantua. Il sort de l’oreille gauche de sa mère et réclame aussitôt à boire. Son père, en découvrant l’enfant, s’écrie

On peut donc dire que la liberté ne se trouve pas dans le moteur de la décision ou dans l’action qui en résulte, qu’elle ne peut pas être recherchée, mais que nous la connaissons par le sentiment de liberté qui accompagne nos décisions. Cette ivresse qui nous saisi devant l’indétermination des possibles est l’abîme de la décision : ce sentiment est à la fois la liberté et la conscience de la liberté. On peut alors définir la décision comme un acte intérieur qui nous transcende, par rapport à l’acte