Iroquoisie

er"'truhrhrnbgjeniuejieu"éu_yé u'''é "ioeiioer La société des Hébreux a subi une évolution profonde. Les patriarches propriétaires de troupeaux, se déplaçaient pour chercher des pâturages, vivant en familles élargies, pas assez nombreuses toutefois pour être qualifiées de tribus: ils devaient chercher leurs femmes ailleurs. Leur société à l'époque des juges nous est présentée comme une confédération de tribus (certains auteurs utilisent le mot amphictyonie pour décrire cette confédération). La tribu

Le masque sacré dans la spiritualité Iroquoise Il y a longtemps de cela, nous retrouvions dans les villages iroquois, des confréries de guérisseurs nommés Société des faux-visages ou Société des masques. Ces congrégations avaient pour but : guérir les gens de la communauté ainsi que les protégés de toute forme de danger potentiel. Les gens qui étaient membres de ces confréries se nommaient les guérisseurs. À l’exception d’une femme ou deux, personne ne connaissait leur vraie identité puisque

expéditions huronnes étaient doubles. Celles-ci consistaient à tuer quelques ennemis afin de venger la mort des leurs et de prendre également des prisonniers afin que ceux-ci servent de monnaie d’échange contre les Hurons et les Algonkins captifs en Iroquoisie. D’après le récit de Chaumonot, cette expédition avait un tout autre but puisque les Hurons seraient fort décimés par les enlèvements répétés des leurs et ils espéraient donc faire subir une grande défaite aux Iroquois afin des les empêcher de faire

concentré pour l’avenir de nos enfants. Bibliographie Livres 1. BÉDARD, Raymond et Jean-François BRODEUR, Québec, une histoire à suivre, Des premiers occupants au changement d’Empire, Éditons Grand Duc, 242 pages. 2. DESROSIERS, Léo-Paul, Iroquoisie, Tome 1, 1534-1662, Éditions du Septentrion, 1999, 323 pages. 3. HAVARD, Gilles et Cécile VIDAL, Histoire de l’Amérique française, Éditions Flammarion, 2003, 560 pages. 4. LACOURSIÈRE, Jacques, Histoire populaire du Québec, Des origines à