Inégalités Politisation

d’inclure à l’indice de pauvreté une mesure de l’inégalité au sein des individus pauvres. Indice de Sen : L’indice d’Amartya Sen (1976) intégrant deux indices de base de la pauvreté, comprend les trois I de la pauvreté à savoir, incidence, intensité et inégalité. Pour le calcul, il est requis le taux de pauvreté, l’écart de pauvreté et l’indice de Gini des revenus des personnes pauvres à partir de la distribution des revenus de la population pauvre. Il est donné par la formule suivante : S = TP 1 −  

disponibles bruts Le revenu disponible est obtenu par le calcul suivant : Revenu primaire – impôts et cotisations sociales + revenus de transfert Les revenus de transfert résulte des opérations de redistribution qui ont pour objectif de réduire les inégalités de revenus (=redistribution verticale) et de garantir les personnes en cas de réalisation de certains risques sociaux, tel que chômage, invalidité, maladie… On peut les définir comme les prestations sociales perçus en contre partis de droits reconnus

Corrado Gini (statisticien italien) en 1912. Ce coefficient, noté G , est une mesure synthétique du degré d’inégalité de la distribution des revenus dans une société donnée (on l’utilise principalement pour caractériser les inégalités de revenu mais il peut aussi mesure les inégalités de richesses, de patrimoine,…). NB : on le trouve parfois sous la forme d’un indice, un indice de Gini de 50 correspond à un coefficient de Gini égal à 0,50. L’étude du coefficient de Gini se fait en relation avec la courbe

DOCUMENTAIRE D'OÙ PROVIENNENT LES INÉGALITÉS ENTRE RICHES ET PAUVRES EN FRANCE ?Comment les réduire ? | SOMMAIRE SOMMAIRE 2 I - Inégalités des revenus en France 2 1. Préambule 2 2. Comment mesurer ces inégalités de revenus ? 3 3. Quelles sont ces inégalités ? 3 II - Quelles sont les causes de ces inégalités ? 5 1. Composition des revenus des ménages 6 2. L’héritage 7 3. Les impôts 7 III - Quelles sont les solutions pour réduire ces inégalités ? 8 1. Réévaluer l’impôt progressif

Dossier de méthodologie statistique (A.T.E.) Les inégalités de revenus en France Les inégalités de revenus désignent la répartition inégale des ressources économiques perçues par une population. Un revenu peut avoir différentes sources, dont la principale est généralement le salaire ou tout autre revenu issu d’une activité indépendante, puis il peut être composé des revenus du patrimoine, c'est-à-dire de l’accumulation de ressources sous forme d’actifs (immobiliers, financiers…). Enfin,

grâce à l’action de l’Etat ? Des choses à ne pas faire car réellement désincitatif comme trop haute taxation. II) Les effets néfastes de l’inégalité Trop d’inégalités entravent le fonctionnement de l’économie. => premier argument : les inégalités asphyxient la consommation ou génèrent des crises issu de l’analyse de la crise de 2008 par Stiglitz et toute la NEK. Idée que on a favorisé les riches dont la propension à épargner est bcp plus forte, ce qui a conduit à ce que épargne additionnelle

LES INEGALITES ET LA CRISE Pendant une quarantaine d’années, la France connaissait une réduction des inégalités. Seulement, sur la dernière quinzaine, elles ont tendance à se creuser de nouveau, notamment lorsque surgit la crise économique. Celle-ci amplifie les inégalités, alors que ces derniers sont eux-mêmes à l’origine de la crise .Dans quelles mesures la crise et les inégalités sont-elles interdépendantes ? Nous verrons dans un premier temps pourquoi les inégalités sont précurseurs de la

a affecté de nombreux secteurs professionnels qui ont conduit à d’importantes pertes d’emplois. La crise est-elle à l’origine des inégalités et de la précarité ? Pour répondre à cette problématique je vais en première partie définir le revenu des ménages, en deuxième partie, j’énoncerai les inégalités de revenu, et, en troisième partie j’exposerai certaines inégalités entre les hommes et les femmes et la précarité. I. LE REVENU DES MENAGES Il est constitué des revenus primaires (ou directs)

cesse redéfinies, où les inégalités diminuent, les classes sociales tendent à s’estomper au profit de la formation d’une vaste classe moyenne. Or, dans la lignée de cette analyse, les transformations sociales connues par la France dans la seconde moitié du 20° siècle, ont permis à certains sociologues d’affirmer la tendance à une« moyennisation » de la société française. La forte croissance, le développement de l’Etat-Providence ont permis une réduction des inégalités économiques et sociales. La

Les inégalités de revenus se sont accrues au cours des dix dernières années. Le niveau de vie annuel moyen des 10 % les plus modestes a diminué de 210 euros entre 2003 et 2011, celui des 10 % les plus riches a augmenté de 7 755 euros. Depuis 2008, avec la crise, les plus pauvres ont vu leur revenu continuer à diminuer alors que celui des plus aisés a poursuivi sa progression La France est peu inégalitaire au vu de la plupart des autres pays riches et elle a continué à s’enrichir même avec la crise