Intrigue Therese Raquin

Ce que ne doit pas faire le romancier naturaliste : - Des héros surhumains - Des personnages stylisés, réduits à un seul trait de caractère dominant. - Des aventures hors du commun ou trop exceptionnelles - de véritables intrigues ( préférer une tranche de vie. ) - se livrer à l'imagination - Prendre parti ou juger - s'adonner au beau mensonge et à l'idéalisation des sentiments On peut dire que tout écrivain naturaliste sera réaliste, car il poursuit le même but que

Zola qui se sert de ses personnages comme des cobayes, pour appliquer la méthode expérimentale des sciences à la littérature et les utilise pour mener à bien des expériences en les plongeant dans un milieu. Voir ce que dit Zola dans la préface de Thérèse Raquin : « chaque page est un cas curieux de physiologie », « J'ai simplement fait sur deux corps vivants le travail analytique que les chirurgiens font sur des cadavres ». Autre expérience, celle de Georges Perec dans La Vie mode d’emploi qui veut tout

romancier et publie, sous la forme d’un roman-feuilleton, Les Mystères de Marseille. Dans la veine d’Eugène Sue, ce mélodrame ne connaît pas le succès escompté. Le 7 décembre, dans la Bibliographie de la France, la parution de la première édition de Thérèse Raquin est annoncée : « roman historique contemporain ». L’épigraphe est une citation de Taine : « le vice et la vertu, qui sont des produits comme le vitriol et le sucre ». Zola refuse le roman idéaliste et aspire à tout dire. Comme il l’écrit dans

de leur temps, puis nous nous attacherons aux œuvres dites réalistes, sans oublier les études de mœurs présentes dans les romans naturalistes. Le conte et la nouvelle présentent une gamme de personnages moins large que les romans, et les intrigues sont réduites par rapport à celles de ces derniers. Beaucoup d’auteurs ont essayé le conte et la nouvelle, par exemple Flaubert, Zola et Balzac. Leurs contes et leurs nouvelles véhiculent généralement la rêverie, l’étrange, le fantastique et le morbide

Hamon dans son livre Expositions : Littérature et architecture au XIXe siècle [4] a bien montré l’intrication littérature-architecture pour l’écrivain du XIXe siècle, l’architecture n’étant pas qu’un simple « décor » servant de toile de fond à une intrigue. Selon Hamon, l’architecture concrétise, produit et permet à la fois une conception de l’Histoire, collective ou individuelle. La « mise en scène » de la vie quotidienne et de ses rituels devient lisible dans la ville, qui exprime de façon concrète

sociale de leur temps, puis nous nous attacherons aux œuvres dites réalistes, sans oublier les études de mœurs présentes dans les romans naturalistes. Le conte et la nouvelle présentent une gamme de personnages moins large que les romans, et les intrigues sont réduites par rapport à celles de ces derniers. Beaucoup d’auteurs ont essayé le conte et la nouvelle, par exemple Flaubert, Zola et Balzac. Leurs contes et leurs nouvelles véhiculent généralement la rêverie, l’étrange, le fantastique et le morbide :

PLAN 1: LA DOCTRINE NATURALISTE 2 : " LE ROMAN EXPERIMENTAL " 3 : L'ESTHETIQUE NATURALISTE 1 : LA DOCTRINE NATURALISTE. Si le terme "NATURALISME" fut utilisé par ZOLA pour la première fois en 18168 lors de la publication de son roman THERESE RAQUIN, il n'en demeure pas moins que ce terme était utilisé depuis le 17 ème siècle.  [pic] Au 17ème siècle, les philosophes et les savants désignaient par ce terme l'étude rationnelle des phénomènes naturels. [pic]Au 19ème siècle, le naturalisme

premier roman autobiographique, 'La Confession de Claude' (1865). Au cours de ces années de formation, en 1866, il fit scandale en défendant avec vigueur Manet dans "Mon salon", un recueil d'articles sur l'art. Son premier roman important, 'Thérèse Raquin' (1867), révèle non seulement son intérêt pour la peinture mais aussi l'influence du réalisme balzacien sur sa technique romanesque et l'impact des idées scientifiques, contemporaines et antérieures, sur son développement intellectuel, ses principes

question par les écrivains eux-mêmes. * Lettre-traité sur l’origine des romans (1670) de Pierre-Daniel Huet * Essai sur les fictions (1795) de Madame de Staël * Préface de Germinie Lacerteux (1865) des frères Goncourt * Préface de Thérèse Raquin (1867) d’Emile Zola * Préface de Pierre et Jean (1887) de Guy de Maupassant * G. Lukács : Théorie des romans (écrit en allemand en 1916, parution française de la Théorie du roman en 1968). * N. Sarraute : L’ère du soupçon (1956)

« Mon but a été scientifique avant tout », affirme Emile Zola dans sa préface à Thérèse Raquin. Ainsi, la publication en 1877 de L’Assommoir, septième roman des Rougon-Macquart, permet à l’auteur d’exposer, à travers le destin tragique et pathétique de son héroïne, Gervaise, ses théories naturalistes. En effet, pour Zola, le romancier a un rôle social à jouer : il doit analyser la société et les hommes, les étudier avec franchise car « c’est de la connaissance seule de la vérité que pourra naître