Intrigue Et Temporalité Le Rouge Et Le Noir De Stendhal

elle souriait d'une joie orgueilleuse et naïve. Mme Forestier, fort émue, lui prit les deux mains. - Oh! ma pauvre Mathilde! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs!... La chartreuse de Parme (1839) [STENDHAL (1783-1842)] Nous avouerons que notre héros était fort peu héros en ce moment. Toutefois, la peur ne venait chez lui qu'en seconde ligne ; il était surtout scandalisé de ce bruit qui lui faisait mal aux oreilles. L'escorte prit le galop

roman perd son caractère fictionnel- roman philosophique, linguistique etc. - Le roman est plus riche en ce qui concerne l’écriture et le narrateur (ex. Flaubert- l’ecriture neutre ; XXe plus l’ecriture est subjective, plus elle est réelle) - Une intrigue incohérente, influencée par des techniques cinématographiques- retours, focalisations etc. ; romans sous formes de journaux- ex. le journal philosophique. - On exploite les journaux, les documents, les correspondances - Un intérêt sur la manière

412) Il est nyctalope, c’est à dire qu’il voit la nuit à la manière d’un chat. Une autre spécificité est à noter, lorsque le comte est submergé par une émotion, des rougeurs lui montent aux joues. Lors de la Mazzolata (p. 433) « une légère teinte rouge semblait vouloir percer la pâleur livide de sa joue ». A noter aussi, son sourire énigmatique, « un des ces sourires pâles  », qui effraie Franz d’Epinay (p. 495). Enfin, il est remarquable par sa frugalité. Monte-Cristo est un personnage surqualifié

« Chant pour la belle saison » 4 P. Reverdy, Le Chant des morts, « Outre mesure » Prolongements 9 S O M M A I R E Chapitre 4 Le récit au XIXe siècle, entre réalisme et naturalisme Séquence 13 Les sources du roman réaliste Stendhal, Le Rouge et le Noir A. R. Lesage, Histoire de Gil Blas de Santillane TEXTE 2 H. de Balzac, Le Père Goriot D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 Rétif de la Bretonne, La Paysanne pervertie ANALYSE D’IMAGE G. Courbet, Un enterrement à Ornans TEXTE 3 G. Flaubert, Madame Bovary

accordée à un nv style. L'œuvre d'un gd écrivain se caractérise ainsi par sa "monotonie". Pr montrer à son amie Albertine – et à ses lecteurs- la valeur de cette loi, le narrateur choisit ses exemples ds différents arts: litté (Barbey d'Aurevilly et Stendhal), peinture (Ver Meer), et musique (Vinteuil). Contrairement aux trois autres artistes, le musicien n'est qu'un personnage imaginaire de la Recherche. "Cette qualité inconnue d'un monde unique et qu'aucun autre musicien ne nous avait jamais fait

types (qui se nomment récits fantastiques et contes merveilleux) en faisant d'eux des genres distincts ou deux catégories littéraires différentes ? Examinons le point de vue de Grivel : "Le fantastique, qui agite en nous les formes du noir et de l'obscur, suspend le merveilleux ; inversement celui-ci stoppe l'effusion (ou l'effervescence) de ce qui vient en contrarier la génération. Dénégation du fantastique par rapport au merveilleux, naïve et radieuse instance du merveilleux. D'un

critique d'hier, ce qui était, aussi bien, ne parler que des entours. Je comprends l'avantage d'une démarche d'allure scientifique. Mais enfin, ces phares conjugués que sont Balzac, et Stendhal, les voit-on réduits à l'écirture seule ? Et cela se peut-il concevoir ? Ils ont la curieuse passion d'exister. Stendhal est polygraphe avant d'être romancier. Balzac est fournisseur à la feuille. C'est assez dire qu'ils ne se résument qu'en eux. Ce sont des machines compliquées qui se situent dans les premiers

fleuve « en personne », que le peuple contemple et écoute. Le comédien est anonyme. Exactement le contraire du théâtre réaliste ou du cinéma. Il est difficile au spectateur, après avoir vu G. Philippe dans Julien Sorel, de donner au personnage de Stendhal d’autres traits que ceux de la vedette. Le cinéma limite l’imagination, le théâtre grec l’exaltait. Tout est codifié, mais le code change avec les époques. Robe pourpre : roi, robe blanche : princesse… Les Trois grands : Eschyle, Sophocle, Euripide

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de I'enregistrement, un bien digne homme.» Commentaire Le roman-poème met en jeu des personnes réelles, comme Picasso, Breton, Chaplin. On y reconnaît bien des réminiscences littéraires : ‘’L'histoire des Treize’’de Balzac, ‘’Le rouge et le noir’’ de Stendhal, Rimbaud, Lautréamont, etc.. Les allusions transparentes aux événements contemporains ne manquent pas non plus : le vol de ‘’La Joconde’’ et la bande à Bonnot sont assez clairement évoqués. Mais, si I'on veut traiter ‘’Anicet’’ comme un