Intrigue De Phèdre

ATTACHEMENT AUX LIBERTES L AGITATION DES GRANDS Malgré les rigueurs du pouvoir central les grands seigneurs en qui revit l esprit de l ancienne féodalité s agitent conspirent défendent leurs privilèges que menace l absolutisme. Ils ont le goût de l intrigue et des combats. Un des représentant les plus typiques de cet individualisme aristocratique est le cardinal de Retz qui joua un rôle important pendant la Fronde et qui fair revivre dans ses Mémoires les grands moments de cette agitation . L ACTIVITE

sur plusieurs répliques de perso différents. Andromaque : est enfermée par Pyrrhus qui a tué son mari, veut l’épouser et tué son fils. Elle se bat. Britannicus : Junie n’est pas libre d’aimer homme qu’elle aime. Néron, H de pouv, s’impose à elle. Phèdre : son amour pour Hyppolite, beau-fils, est impossible à cause des lois morales et religieuses. Corneille : son héros est idéal, soumis au dilemme cornélien entre amour et devoir/honneur. Polyeucte Martyr : conséquences de conversion au christianisme

LE THEATRE ROMAIN ANTIQUE I- Les origines Le théâtre romain est importé de Sicile ( = grande Grèce ) en -240 avant J.-C. Ce qui a d’emblée, fasciné les romains, c’est que le théâtre grec comportait une intrigue : il racontait une histoire... Car eux connaissaient bien les jeux scéniques militaires ou campagnards ; mais ils étaient simplement constitués d’une suite de numéros. « L’apport des romains au théâtre grec initial, c’est la verve comique et aussi la notion de performance d’acteur.

privilèges de la noblesse, il a recours à une énumération de groupes nominaux de deux syllabes qui accentuent la charge polémique du propos: « Noblesse, fortune, Un rang, des places » ... Cette recréation poétique de la parole est portée par des intrigues et des personnages eux aussi purement illusoires. 3. L'action et les personnages ne sont que des constructions poétiques L’action théâtrale est elle aussi éloignée de la réalité. Certains dramaturges n'hésitent pas à s'extraire totalement du

"bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable. Introduction : La Fontaine, grande figure du classicisme, remet au goût du jour le genre de la Fable au XVIIème siècle, en s’inspirant des Anciens, notamment d’Esope et de Phèdre. Dédicacées au Dauphin (l’héritier de Louis XIV), il utilise souvent le monde animal pour dénoncer les injustices de son temps. La forme de la fable, sous-genre de l’apologue, a pour finalité de « plaire et instruire » tout en respectant la brièveté

Le théâtre n'est pas la vrai vie, c'est même la chose la moins naturelle du monde, d'après Anouilh. Le théâtre relève alors de l'artifice. Le temps et le lieu dans le théâtre est contrôlé notamment par la règle des trois unités, une seule intrigue se déroulant dans un seul et même lieu en seulement vingt-quatre heures, cette règle rend le théâtre plutôt invraisemblable, comment des évènements qui se déroule sur plusieurs jours voire plusieurs années peuvent être réunies en un seul lieu et

sentiments. On peut également constater qu’aucun des deux héros ne porte de regard sur la foule qui les regarde. Ils sont comme seuls au monde. CCL II. Comme chez Racine, la passion est liée au regard (« je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue », Phèdre I,3). Ce qui est également récurrent chez Mme de La Fayette, c’est que l’on ne pénètre jamais au fond de son propre cœur, et que le seul regard conscient est le regard d’autrui. La fatalité de la passion L’idée que cette rencontre singulière

présenter une histoire qui se déroule en une seule journée (24 h) : c'est la règle de l'unité de temps. Elle doit aussi se dérouler en un seul lieu, dans un décor unique : c'est la règle de l'unité de lieu. Elle doit également ne traiter qu'une seule intrigue (pour capter l'attention du spectateur) : c'est la règle de l'unité d'action. La régle de la vraisemblance : L'intrigue et la situation d'énonciation doivent être possibles. Aucun rebondissement extraordinaire ni réaction fantaisiste ne sont autorisés

sentiments. On peut également constater qu’aucun des deux héros ne porte de regard sur la foule qui les regarde. Ils sont comme seuls au monde. CCL II. Comme chez Racine, la passion est liée au regard (« je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue », Phèdre I,3). Ce qui est également récurrent chez Mme de La Fayette, c’est que l’on ne pénètre jamais au fond de son propre cœur, et que le seul regard conscient est le regard d’autrui. C. La fatalité de la passion L’idée que cette rencontre singulière est

Arts du Spectacle, contrôle continu. Théâtre et société dans l'antiquité Sujet choisi : Le Bourru de Ménandre Comment est exploité le thème de la misanthropie dans la pièce ? Le thème de la misanthropie a toujours intrigué les auteurs de théâtre, et cela peu importe l'époque. Du Bourru au Misanthrope de Molière, en passant par Timon d'Athènes, les dramaturges se sont souvent penchés sur ce trait de caractère, ce mode de vie, certes assez rare, de l'Homme. Rare, mais misérable lorsqu'il