Intervention militaire du Kenya en Somalie

Reconstruire la Somalie E 21 novembre 1949, par un vote de l’Assemblée génér‘ale des Nations unies, la Somalie, administrée par les Britanniques depuis la défaite de l’Italie en 1941, était replacée sous l’autorité de 1’Italie, sous le contrôle d‘un Comité tripartite composé des Philippines, de 1’Egypte et de la Colombie, avec la mission de mener le pays à l’indépendance. Celle-ci était proclamée le lerjuillet 1960, à la suite de la fision du territoire britannique du Somaliland et de la Somalia

hin g II 9 Lettonie Lituanie 48 POLOGNE 18 TCHÉCOSLOVAQUIE 156 29 Biélorussie 31 44 Dans les faits, les dirigeants soviétiques sont plutôt sur la défensive. Et les Américains ne croient pas, en ces lendemains de guerre, à une menace militaire de l’URSS. En 1945, Staline n’envisage pas une soviétisation complète de l’Europe de l’Est et de l’Allemagne orientale ; il privilégie les fronts nationaux, à savoir l’insertion des partis communistes dans des alliances avec des non-communistes.

région qui subissait de plein fouet les actions de piraterie maritime ayant lieu dans les espaces maritimes sous contrôle national à proximité des côtes littorales. Au vu de la recrudescence des actes de piraterie maritime au large de la Somalie et du Golfe d’Aden durant ces deux dernières années, et l’intérêt porté par les médias et les Français en général à cet enjeu de premier plan, nous avons décidé de fonder une étude d’analyse expliquant ce phénomène complexe, en établissant un premier

Prague Traité de Bruxelles et création de l’Union occidentale (alliance militaire France, UK, Benelux) Création de l’OECE (Organisation Européenne de Coopération Eco dont le but est majoritairement de répartir les fonds du plan Marshall entre les pays bénéficiaires) Blocus de Berlin et constitution de la trizone en Allemagne (RFA) Lettre de G. Bidault à Marshall dans laquelle il demande la « coopération politique et militaire entre l’ancien et le nouveau monde » Congrès international de La Haye

coutumière de la responsabilité de protéger, ce concept a eu du mal à s’opposer au principe d’ingérence. En effet, si les interventions humanitaires étaient acceptées, elles étaient restreintes à des sphères bien particulières : c’est l’exemple de la doctrine Monroe de 1823 qui limite le droit d’ingérence des Etats Unis au continent américain seulement et qui refuse toute intervention en Europe. A ce titre, il convient de rappeler que l’ingérence humanitaire est toujours perçue comme inamicale, du

résultant de la décolonisation : - le Kenya britannique : colonie de peuplement britannique confrontée au mécontentement croissant des populations locales dépossédées de leur terre parallèlement à une explosion démographique. Le pays sombre en 1952 dans la guérilla menée par le mouvement nationaliste radical Mau Mau, réprimée par la Grande-Bretagne. Les négociations s’ouvrent en 1959 et débouchent à la proclamation de l’indépendance du Kenya en décembre 1963. - La guerre d’Algérie

1956 : MAROC 6. 20 mars 1956 : TUNISIE 7. 6 mars 1957 : GHANA 8. 2 octobre 1958 : GUINEE 9. 1 janvier 1960 : CAMEROUN 10. 27 avril 1960 :TOGO 11. 26 juin 1960 : MADAGASCAR 12. 30 juin 1960 : RD CONGO 13. 1 juillet 1960 : SOMALIE 14. 1 août 1960 : BENIN 15. 3 août 1960 : NIGER 16. 5 août 1960 : BURKINA FASO 17. 7 août 1960 : COTE D'IVOIRE 18. 11 août 1960 : TCHAD 19. 13 août 1960 : CENTRAFRIQUE 20. 15 août 1960 : CONGO 21. 17 août 1960 : GABON 22

planétaire globale sans égal (« empire mondial « ), la seule complète. Les autres puissances dépassées, trop partielles. Une nouvelle expression en 1998 : hyperpuissance avec poids économique écrasant (Japon X2), rayonnement culturel, force et présence militaire (presque 50% des dépenses + bases et flottes partout, direction et extension des alliances héritées de la guerre froide), réseau de surveillance Echelon. « Hard et Soft power ». A les moyens d’imposer sa vision des relations internationales.

76/index.html 3http://clio-cr.clionautes.org/spip.php?article2471 Comme dans de nombreux cas, la prolifération des pirates résulte de la pauvreté, de la faiblesse et du chaos des États riverains. C’est évidemment le cas de la Somalie dont la division politique rend impossible toute lutte contre ce fléau. Depuis le début des années 90, la crise qu’a traversée ce pays, a conduit cet État à cesser ses activités maritimes et donc à retirer les taxes portuaires, libérant les

II- L’UA a échoué à réconcilier les pays du continent et à insérer l’Afrique dans la communauté internationale A. Le bilan de l’action de l’UA - qui n’a pas su surmonter les divisions du continent - est limité tant du point de vue politique et militaire qu’économique Sur la scène internationale, l’Union africaine a affirmé sa présence, s’engageant activement dans les médiations pour tenter de régler les conflits locaux, notamment en Côte d’Ivoire (vote de l’embargo sur les armes en 2004), au Soudan