Interruption médicale de grossesse

*Dépistage anté-natal Les couples qui ont déjà un enfant atteint doivent être savoir qu'il existe un risque pour leurs enfants à naître (1 risque sur 4) et que la possibilité de diagnostic anténatal existe. Si l'enfant est reconnu malade, une interruption de grossesse peut être envisagée. Le dépistage des hétérozygotes peut être pratiqué dans les familles des memebres atteints de la maladie. Des programmes de thérapie génique sont possibles. *Le diagnostic néonatal Le diagnostic néonatal peut être

par une augmentation des naissances survenant en dehors d’un couple (3), au contraire (Charton, 2009), ni d’une hausse de l’infécondité L a médicalisation de la contraception et la possibilité de recourir librement à l’avortement en cas de grossesse non prévue ont profondément changé le rapport qu’entretiennent les couples avec la fécondité. La maîtrise de la procréation, qui apparaît aujourd’hui en France comme une évidence, est indissociable de deux lois fondamentales : la loi Neuwirth de

d’autres méthodes de régulation des naissances qui ne soient pas contraires à la loi, méthodes qui doivent être sûres, efficaces, abordables et acceptables, ainsi que le droit d’accéder à des services de santé qui permettent aux femmes de mener à bien grossesses et accouchements et donnent aux couples toutes les chances d’avoir un enfant en bonne santé. Il faut donc entendre par services de santé en matière de reproduction, l’ensemble des méthodes techniques et services qui contribuent à la santé et au

ci-dessus les définitions de la personnalité juridique mais aussi de l’embryon s’imposent. De ce fait, l’embryon est déterminé par la fusion d’un ovule et d’un spermatozoïde qui créé un être humain se développant pendant les 8 premières semaines de la grossesse à l’intérieur de l’utérus, ou en éprouvette puis dans l’utérus lors de la fécondation in vitro. Quant à la personnalité juridique, celle-ci se caractérise par l’aptitude à être titulaire de droits et de devoirs, cette fiction juridique est attribuée

devient inutile et celui-ci s'en débarrasse. Cela entraîne des saignements plus ou moins abondants qui s'écoulent par le vagin. Ce sont les règles. 2.3 La contraception La contraception c'est l'ensemble des moyens qui permettent d'éviter une grossesse lors de relations sexuelles. Les méthodes de contraception interviennent à différents moments du processus de la reproduction. Certaines bloquent l'ovulation (méthodes hormonales), d'autres empêchent la rencontre des spermatozoïdes et de l'ovule

; - en complément des méthodes naturelles (retrait ou coït interrompu, abstinence périodique, etc.) par les couples qui désirent seulement espacer les naissances. N.B. : En cas d'échec de la méthode, les spermicides ne sont pas nocifs pour une grossesse Au contraire, Les femmes qui souffrent d'IST, de mycose vaginale, d'infections urinaires à répétition ou qui ont une plaie du vagin, ne peuvent pas les utiliser. En effet, les spermicides peuvent être inactivés par

assurances vie, par ex.) ; - les embryons et les foetus in utero (dans l’utérus maternel) : c’est le diagnostic prénatal, avec les problèmes psychologiques et d’eugénisme que cela pose (dans les cas non soignables, proposition d’IMG = Interruption Médicale de Grossesse) ; - les embryons résultant d’une fécondation in vitro avant implantation dans l’utérus maternel : c’est le diagnostic préimplantatoire (DPI), avec les problèmes d’eugénisme que cela pose (pas d’implantation en cas d’anomalie). Étude

évolutions très récentes du statut et des droits de l’embryon, notamment sa protection, en distinguant le cas de l’enfant conçu in utero (A) et ex utero (B) II. Les lois récentes sur le statut et la protection de l’embryon : Les progrès techniques et médicaux spectaculaires, l’impact des croyances religieuses ou morales ainsi que l’évolution des besoins économiques et sociétaux, ont relancé la reflexion juridique sur l’accès aux droits de l’embryon et permis de réglementer des situations nouvelles, en

couples hétérosexuels auront la possibilité de procréer naturellement, d'adopter un enfant et si l'hypothèse se présente de faire appel à l'assistance médicale à la procréation pour les aider à concevoir un enfant. Le deuxième sera celui laissé aux couples homosexuels féminins qui auront la possibilité d'adopter mais aussi d'utiliser les techniques médicales à la procréation aboutissant à faire de l'une d'elles le parent d'un futur enfant. Enfin, un dernier profil de mariage se présentera, celui laissé

abandon de l’enfant" par la mère porteuse.La reconnaissance à l’état civil des enfants nés par GPA à l’étranger est également évoquée.La solution d’une "GPA éthique ou altruiste pour indication médicale" (par exemple pour les femmes infertiles) ne fait pas consensus car "la GPA ne peut pas être un acte médical La PMADéfinition  de Procréation médicalement assistée ( PMA ) La procréation médicalement assistée est un ensemble de pratiques cliniques et biologiques