Internationale ouvrière

exemple au centre de l’attention tout comme le monde bourgeois. De plus la création des grands magasins et du prêt-à-porter permet l’accroissement de la cause. Comme le dit la  Revue des deux mondes c’est la « démocratisation du luxe » -La classe ouvrière et rurale est la classe la plus représentée et pourtant c’est a classe la plus dévalorisée et la plus pauvre. 56% des français sont ruraux alors qu’ils ne représentent que 35% du revenu national. Ils ne sont pas touchés par la modernisation mais

matérielles ne suffit pas à forger une conscience collective. III. Mimétisme avec la classe ouvrière On ne peut pas vraiment parler de conscience de classe sans mentionner la conscience de classe ouvrière au sens marxiste du terme. Selon lui, la conscience de classe ne peut naitre que de la prise de conscience d’une exploitation, d’une lutte pour sortir de sa condition. Aussi, aucune autre classe que la classe ouvrière ne pourrait développer de véritable conscience de classe. En effet, la classe moyenne

aussi pour cette raison qu'ils ont du mal a trouver un travail, c'est une sorte de ''cercle vicieux'' et ils connaissent le chômage de masse que ne connaissent pas les travailleurs qualifiés. D'autre part malgré l'effondrement de la '' classe ouvrière'', la classe bourgeoise est la dernière à se maintenir car elle réunit aussi bien les critères objectifs comme le niveau de patrimoine, de revenu que des critères subjectifs comme la conscience de soi, la solidarité interne. Ces critères ont fait

ou par leurs agents. Les marxistes reconnaissent trois classes principales : la petite bourgeoisie, dont les membres possèdent des entreprises (moyens de production), travaillent à leur compte et n'ont pas d'employés; le prolétariat ou la classe ouvrière, dont les membres ne détiennent aucun moyen de production et échangent leur force de travail contre un salaire; et la bourgeoisie ou la classe capitaliste, regroupant les détenteurs des moyens de production, qui achètent la force de travail, vivent

organise l’aliénation idéologique des prolétaires : les bourgeois impose un système de valeurs à ceux qu’ils exploitent, valeurs aptes à maintenir la structure sociale en place. Cette organisation économique et sociale inégalitaire dépossède la classe ouvrière qui cherche à renverser la bourgeoisie. Les prolétaires vont constituer une classe sociale : ensemble d’individus occupant la même place dans les rapports de production (classe en soi) et prenant conscience d’appartenir à une classe commune ayant

et du soin apporté à la présentation. I: TRAVAIL PREPARATOIRE. (10 points) Vous répondrez à chacune des questions en une dizaine de lignes environ. 1. Quelles sont les difficultés pour cerner les frontières actuelles de la classe ouvrière (document 1) ? (2 points) 2. Quelles transformations intervenues depuis un siècle expliquent ces difficultés (document 1) ? (2 points) 3. Caractérisez et mesurez (au moyen d'un indicateur que vous choisirez et calculerez) l'évolution présentée

production. Les classes moyennes sont de plus en plus nombreuses. Elles vivent sur le modèle de la bourgeoisie. Ses revenus sont modestes, mais elle peut se consacrer aux loisirs, contrairement à la classe ouvrière, tout en bas de l’échelle sociale. L’exode rural s’intensifiant, une concentration ouvrière prit place autour des grandes villes. Puis la formation de flux migratoire aida cette classe à s’affirmer en Europe. Toutefois, ce prolétariat est constamment menacé par le chômage, et même la précarité

qu'il subirait. Pour autant, peu de précisions sont données sur les populations concernées. L'ouvrage de Serge Bosc souligne ainsi d'emblée l'ambivalence de l'expression « classe moyenne » ou « classes moyennes » puisqu'à la différence de « la classe ouvrière », de « la paysannerie » ou de la « bourgeoisie », elle n'est pas spontanément associée à des groupes sociaux délimités. Elle l'incarne l'entre-deux entre les classes supérieures et les classes populaires et associe deux « ordres d'analyse » qui

LA FORMATION DE LA CLASSE OUVRIÈRE Traditionnellement on regroupe dans la classe ouvrière, au sens de Marx, les ouvriers de la grande industrie. Or, ce prolétariat reste, en nombre, minoritaire jusqu’à la fin du XIXesiècle. Ces ouvriers travaillent dans de grandes entre- prises, surtout dans la branche textile, et connaissent des conditions de vie très difficiles dénoncées par quelques philanthropes bourgeois, tels que Louis-René Villermé dont l’enquête est à l’origine du «mythe prolétarien»

usines. Tout comme les adultes, ils travaillent 16h par jour et doivent se rendre à l'usine à pied. Tout ceci engendre un état de fatigue extrême, favorise le développement des maladies et les accidents du travail. Le taux de mortalité de la classe ouvrière est d'ailleurs plus important que les autres classes sociales. L'homme est employé jusqu'à la limite de ses forces car aucune loi ne le protège et il n'a pas de couverture sociale. Victor Hugo dénonce cette situation et s'engage contre un fléau